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1 (1966) Le grain magique
tour. Ce soir je suis trop bien assise pour me déranger. Tseriel qui aimait sa fille n’insista pas. Elle ne tarda pas à s’end
e le prit contre lui et le ramena. Loundja prit soin de celui qu'elle aimait . Il avait souffert de la faim : elle ne le nourri
ne lune paraît, Les étoiles peuvent bien scintiller ; Envers la femme aimée , La malveillance des beaux-parents est vaine. Cha
la fois un père et une mère. Il lui apprit à préparer les repas et à aimer l’ordre. Il la combla, l’entoura de tendresse. El
vécut heureuse à la cour durant quelques mois. Le prince, son mari l’ aimait . A la grande joie de toute la famille royale, ell
le fut surnommée : ‹ celle qui croque ses enfants ›. Mais le prince l’ aimait toujours. Huit ans s’étaient écoulés depuis que J
ide et tu n’as pas désespéré et tu n'as pas humilié ma fille. Tu l'as aimée au contraire et tu l’as protégée. Voici tes enfan
Veillez sur elle et que rien de fâcheux ne lui arrive ! Les orphelins aimaient leur sœur. Ils partirent tous les trois. A peine
ient une clarté surnaturelle et douce. Il n’avait pas d’âge. Mehend l’ aimait comme son frère. Sept ans s'étaient écoulés depui
s, abandonnèrent un jour le toit paternel pour courir le monde. Ils s' aimaient d’amour très tendre. Avant de les laisser partir,
nt de les laisser partir, le père leur recommanda solennellement de s’ aimer toujours et de ne se séparer jamais. Ils le lui p
ui tu es ! › Elle lui répondit dans un murmure : «Je suis celle qui t' aime . › Le plus jeune et l'aîné entendirent ces mots.
r couteau. Et les trois frères unis comme les doigts de la main qui s’ aimaient d’amour si tendre, s’entretuèrent pour la femme-a
ne méchante fée. Et la femme-arbrisseau pleura le jeune homme qu’elle aimait et le bonheur qui l’avait fuie. Mais voyant tombe
de leur joie Mehend et Soumicha fille de Hitine. Mehend et Soumicha s’ aimèrent comme le pigeon et la colombe. Quand le ciel leur
ir de la sauver, que mon seul mérite, à moi pauvre prince, était de l' aimer plus que le haut-ciel et de la chercher éperdûmen
s légitime que j’aille vers ce père dont le crime est de m’avoir trop aimé , et vers cette mère qui me pleure depuis tant d’a
oncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a rencontré la femme qu’il aime et l’a épousée ! Le sultan sourit tristement mais
ait doucement, sous l’œil malveillant de son frère. Non que la mère n’ aimât pas le fils aîné qu’elle soignait tout autant. Ma
paration. Car il est bien dans son vouloir De l'infliger à ceux qui s' aiment . Proverbes La puce s’est mariée avec le pou malad
fillette. L’homme s’étonna bien de ne pas voir le petit garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme répondit : — Mes
son grand-père et ce qu’elle lui avait dit pour le distraire. L’aïeul aimait beaucoup à la voir venir. Mais un jour, l’Ogre ap
uelques pas : — Nous ne sommes qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la jeune fille. Il ne savait pas qu’elle l’ava
dit encore le Sage. Après s'être bien reposés, Mehend et celle qu’il aimait plus que la lumière, quittèrent un matin l’ermita
l. Il fit entrer les voyageurs. C’est alors que Mehend et celle qu’il aimait découvrirent six autres hommes identiques au prem
de santé comme une grenade et toute rieuse? Elle répondit : — Si tu m’ aimes , si tu tiens à me voir guérir, donne-moi la pomme
suis parti pour la chasse. Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’ aimes , si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-
? Nous n’avons pourtant pas détruit un sanctuaire I Et mes parents m’ aiment trop pour me poursuivre de leur malédiction parce
’il n'y ait d’autre roi que Dieu — et ce roi avait un fils tendrement aimé qui lui dit : — Roi, mon père, laisse-moi aller a
s d’autre fils, finit par céder : — Epouse-la, mon fils, puisque tu l’ aimes I Le prince offrit à sa fiancée de l’or, de l'arg
evé. Je l'ai marié. Sa femme m’a tout de suite détestée, mais lui m’a aimée et respectée jusqu’à ce jour. Tout a changé pour
ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier l' aimait . Il l'épousa. Il était riche ; il possédait de no
n oncle Ali. › Le père en rentrant trouva son fils en larmes. Or il l’ aimait d’une tendresse infinie. Cet enfant était sa vie.
ire : — H était un homme qui possédait une perdrix, une perdrix qu’il aimait plus que tout au monde ; plus que sa femme et que
Notre mère, abrite-nous, au nom de Dieu I » Elle les accueillit, les aima et les adopta. Elle était seule au monde : en mou
avait quinze ans. La plus jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se tenir près du feu, si près que la cendre pou
sa la tête. Il lui semblait que la terre se creusait sous lui, car il aimait cette femme. Sûre de son pouvoir, la marâtre repr
, le soir, empêcher son cœur de s’emplir de mélancolie. L’hiver, elle aimait toujours à se tenir près de Pâtre et à jeter dans
ent accompli, il dit un jour à son père : — Noble sultan, mon père, j’ aimerais sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon fi
une larme venait de tomber sur sa joue. Alors, il vit que celle qu’il aimait pleurait. — Qu’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heu
pouses aussi belles que sages qui, loin de se nuire et de s'envier, s' aimaient . Aussi ne manquait-il pas chaque matin d’en rendr
le royaume. Cheikh Smaïn connut la paix parmi ces gens simples qui l’ aimaient . Mais il était dit qu'il entrerait à nouveau dans
t nous serons heureux. Quant à toi, amandier, Incline-toi vers moi. J' aimerais t'épouser, Mon père ne le veut pas. Viens à moi,
Puisqu'il ne se moissonne pas, Depuis que m’a trahie la voisine Que j' aimais comme père et mère. Négligeant de me méfier, Je l
me dit l’admirable conteuse, je ne comprenais pas pourquoi les mères aimaient leurs enfants plus et mieux que leurs enfants ne
s mères aimaient leurs enfants plus et mieux que leurs enfants ne les aimaient . Comme je me tournais un jour vers ma vieille ami
amais de ton mari ? Vas-tu partir sans nous dire comment il est? Ne l’ aimerais -tu pas? Pourquoi s'est-il enfui sans que nos pare
, rends-lui léger l'exil Et transfigure-la au regard de chacun. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pays où elle s'enfuient. Je ma
Nous nous élèverions en plein ciel Vers mes enfants bien-aimés. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pays où elles s’enfuient. J’ir
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
a donné ; j’irai revoir mes enfans, mes pauvres enfans, que j’ay tant aimez ! » Car elle les croyoit morts, depuis qu’on les
rtie à marier sa sœur Anne avec un jeune gentilhomme dont elle estoit aimée depuis long-temps, une autre partie à acheter des
t avec cela une des plus belles filles qu’on eust sceu voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mere estoit fo
t, qu’elle leur pardonnoit de bon cœur, & qu’elle les prioit de l’ aimer bien toûjours. On la mena chez le jeune Prince, p
de l’esprit autant qu’on en sçauroit avoir à la personne que je dois aimer le plus ; et comme vous estes, Madame, cette pers
nes princes des royaumes voisins firent leurs efforts pour s’en faire aimer , et presque tous la demanderent en mariage ; mais
on humeur et de mes manieres ? — Nullement, répondit la princesse ; j’ aime en vous tout ce que vous venez de me dire. — Si c
la princesse. — Cela se fera, répondit Riquet à la Houppe, si vous m’ aimez assez pour souhaiter que cela soit ; et, afin, Ma
iroit, vous a aussi fait le don de pouvoir rendre beau celuy que vous aimerez , et à qui vous voudrez bien faire cette faveur. —
s un conte en l’air que la verité même. Tout est beau dans ce que ton aime , Tout ce qu’on aime a de l’esprit. AUTRE MORAL
que la verité même. Tout est beau dans ce que ton aime, Tout ce qu’on aime a de l’esprit. AUTRE MORALITÉ Dans un objet
uit, si vous ne voulez pas nous retirer chez vous. Et cela étant nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous mange, peut-e
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