tour. Ce soir je suis trop bien assise pour me déranger. Tseriel qui
aimait
sa fille n’insista pas. Elle ne tarda pas à s’end
e le prit contre lui et le ramena. Loundja prit soin de celui qu'elle
aimait
. Il avait souffert de la faim : elle ne le nourri
ne lune paraît, Les étoiles peuvent bien scintiller ; Envers la femme
aimée
, La malveillance des beaux-parents est vaine. Cha
la fois un père et une mère. Il lui apprit à préparer les repas et à
aimer
l’ordre. Il la combla, l’entoura de tendresse. El
vécut heureuse à la cour durant quelques mois. Le prince, son mari l’
aimait
. A la grande joie de toute la famille royale, ell
le fut surnommée : ‹ celle qui croque ses enfants ›. Mais le prince l’
aimait
toujours. Huit ans s’étaient écoulés depuis que J
ide et tu n’as pas désespéré et tu n'as pas humilié ma fille. Tu l'as
aimée
au contraire et tu l’as protégée. Voici tes enfan
Veillez sur elle et que rien de fâcheux ne lui arrive ! Les orphelins
aimaient
leur sœur. Ils partirent tous les trois. A peine
ient une clarté surnaturelle et douce. Il n’avait pas d’âge. Mehend l’
aimait
comme son frère. Sept ans s'étaient écoulés depui
s, abandonnèrent un jour le toit paternel pour courir le monde. Ils s'
aimaient
d’amour très tendre. Avant de les laisser partir,
nt de les laisser partir, le père leur recommanda solennellement de s’
aimer
toujours et de ne se séparer jamais. Ils le lui p
ui tu es ! › Elle lui répondit dans un murmure : «Je suis celle qui t'
aime
. › Le plus jeune et l'aîné entendirent ces mots.
r couteau. Et les trois frères unis comme les doigts de la main qui s’
aimaient
d’amour si tendre, s’entretuèrent pour la femme-a
ne méchante fée. Et la femme-arbrisseau pleura le jeune homme qu’elle
aimait
et le bonheur qui l’avait fuie. Mais voyant tombe
de leur joie Mehend et Soumicha fille de Hitine. Mehend et Soumicha s’
aimèrent
comme le pigeon et la colombe. Quand le ciel leur
ir de la sauver, que mon seul mérite, à moi pauvre prince, était de l'
aimer
plus que le haut-ciel et de la chercher éperdûmen
s légitime que j’aille vers ce père dont le crime est de m’avoir trop
aimé
, et vers cette mère qui me pleure depuis tant d’a
oncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a rencontré la femme qu’il
aime
et l’a épousée ! Le sultan sourit tristement mais
ait doucement, sous l’œil malveillant de son frère. Non que la mère n’
aimât
pas le fils aîné qu’elle soignait tout autant. Ma
paration. Car il est bien dans son vouloir De l'infliger à ceux qui s'
aiment
. Proverbes La puce s’est mariée avec le pou malad
fillette. L’homme s’étonna bien de ne pas voir le petit garçon qu’il
aimait
comme sa prunelle. Mais la femme répondit : — Mes
son grand-père et ce qu’elle lui avait dit pour le distraire. L’aïeul
aimait
beaucoup à la voir venir. Mais un jour, l’Ogre ap
uelques pas : — Nous ne sommes qu’un, toi et moi. Car il croyait être
aimé
de la jeune fille. Il ne savait pas qu’elle l’ava
dit encore le Sage. Après s'être bien reposés, Mehend et celle qu’il
aimait
plus que la lumière, quittèrent un matin l’ermita
l. Il fit entrer les voyageurs. C’est alors que Mehend et celle qu’il
aimait
découvrirent six autres hommes identiques au prem
de santé comme une grenade et toute rieuse? Elle répondit : — Si tu m’
aimes
, si tu tiens à me voir guérir, donne-moi la pomme
suis parti pour la chasse. Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’
aimes
, si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-
? Nous n’avons pourtant pas détruit un sanctuaire I Et mes parents m’
aiment
trop pour me poursuivre de leur malédiction parce
’il n'y ait d’autre roi que Dieu — et ce roi avait un fils tendrement
aimé
qui lui dit : — Roi, mon père, laisse-moi aller a
s d’autre fils, finit par céder : — Epouse-la, mon fils, puisque tu l’
aimes
I Le prince offrit à sa fiancée de l’or, de l'arg
evé. Je l'ai marié. Sa femme m’a tout de suite détestée, mais lui m’a
aimée
et respectée jusqu’à ce jour. Tout a changé pour
ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier l'
aimait
. Il l'épousa. Il était riche ; il possédait de no
n oncle Ali. › Le père en rentrant trouva son fils en larmes. Or il l’
aimait
d’une tendresse infinie. Cet enfant était sa vie.
ire : — H était un homme qui possédait une perdrix, une perdrix qu’il
aimait
plus que tout au monde ; plus que sa femme et que
Notre mère, abrite-nous, au nom de Dieu I » Elle les accueillit, les
aima
et les adopta. Elle était seule au monde : en mou
avait quinze ans. La plus jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha
aimait
à se tenir près du feu, si près que la cendre pou
sa la tête. Il lui semblait que la terre se creusait sous lui, car il
aimait
cette femme. Sûre de son pouvoir, la marâtre repr
, le soir, empêcher son cœur de s’emplir de mélancolie. L’hiver, elle
aimait
toujours à se tenir près de Pâtre et à jeter dans
ent accompli, il dit un jour à son père : — Noble sultan, mon père, j’
aimerais
sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon fi
une larme venait de tomber sur sa joue. Alors, il vit que celle qu’il
aimait
pleurait. — Qu’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heu
pouses aussi belles que sages qui, loin de se nuire et de s'envier, s'
aimaient
. Aussi ne manquait-il pas chaque matin d’en rendr
le royaume. Cheikh Smaïn connut la paix parmi ces gens simples qui l’
aimaient
. Mais il était dit qu'il entrerait à nouveau dans
t nous serons heureux. Quant à toi, amandier, Incline-toi vers moi. J'
aimerais
t'épouser, Mon père ne le veut pas. Viens à moi,
Puisqu'il ne se moissonne pas, Depuis que m’a trahie la voisine Que j'
aimais
comme père et mère. Négligeant de me méfier, Je l
me dit l’admirable conteuse, je ne comprenais pas pourquoi les mères
aimaient
leurs enfants plus et mieux que leurs enfants ne
s mères aimaient leurs enfants plus et mieux que leurs enfants ne les
aimaient
. Comme je me tournais un jour vers ma vieille ami
amais de ton mari ? Vas-tu partir sans nous dire comment il est? Ne l’
aimerais
-tu pas? Pourquoi s'est-il enfui sans que nos pare
, rends-lui léger l'exil Et transfigure-la au regard de chacun. Qu’on
aimerait
suivre les âmes Au pays où elle s'enfuient. Je ma
Nous nous élèverions en plein ciel Vers mes enfants bien-aimés. Qu’on
aimerait
suivre les âmes Au pays où elles s’enfuient. J’ir