/ 1
1 (1966) Le grain magique
hante et pleure. » Oiseau, sois vif comme le vent. Toi aux brillantes ailes , Et pose-toi dans la cour. Tiens-toi au bord de s
’un bâton. Mais le plus grand des aigles se vengea : il prit sous son aile le jeune homme et l'éleva dans les airs. Loundja
Elle dit au père en arrivant : — Ton fils, un aigle l’a pris sous son aile et l’a enlevé en plein ciel ! * Le père attendit
gle n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il l’a mis sous son aile , il ne l’a pas tué. Pour délivrer ton fils voici
ront pour s’en repaître. Celui qui tient ton fils prisonnier sous son aile sera plus lourd que les autres ; il ne s’envolera
s’envolera que difficilement. Toi, donne-lui un coup de roseau sur l’ aile . Et il laissera ton fils tomber. Le père s’éleva
ne remuer. Comme il allait essayer de s'envoler, le père lui frappa l' aile d'un roseau : le Jeune homme tomba. Il était auss
tout noir et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau partit l’ aile basse. Arrive la Perdrix : — Qu’as-tu, mon oncle
avaient depuis fort longtemps déserté les jardins) volèrent à tire d’ aile vers la chambre de Soumicha. Alors, les hommes su
e sur un agneau, il reçut un coup mortel et s’abattit sur le sol, les ailes étendues. Les bergers s’écrièrent : — Que Dieu re
ur honneur est dans un coffre ! Chant des olives Aoulêlam t La petite aile de l'oisillon ! Ma mère. J'ai mal au pied I Aoulê
ur laquelle se battent les monts. Le père des aigles le prit sous son aile et l’éleva vers le Septième Mont, de tous le plus
tre d’un énorme plat de couscous, arrosé de sauce écarlate et garni d’ ailes et de cuisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs
: — C’est moi qui partagerai le poulet. H donna la tête au père ; les ailes aux jeunes filles ; les cuisses aux deux garçons
: elle est le cœur de la maison. A nous, les filles, tu as donné les ailes : nous ne resterons pas ici ; nous nous envoleron
. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te sentiras des ailes . Tu ne sauras comment me témoigner ta gratitude.
vint à passer au-dessus de sa tête, froufroutant de toutes ses jolies ailes . — Qu’as-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il arr
t de ces messages. Alors, survint un jour un archange qui d’un coup d’ aile changea le beau prince cruel en Moche, le chat co
n aigle tout déplumé qui suppliait ses enfants de le couvrir de leurs ailes car il tremblait de froid. — Nous n’en ferons rie
Yamina endormie sur son cœur. On eût dit qu'il fendait de ses grandes ailes des nappes de soie noire, n vola, il vola. Un peu
couvrit sa voix. L’Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de ses grandes ailes . Il laissa Yamina comme un chiffon sur le seuil d
face de Dieu › Je suis comme l’aigle blessé L'aigle blessé entre les ailes . Tous ses enfants se sont envolés Et lui ne cesse
vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses cheveux sont comme l’ aile du corbeau Ses prunelles et ses sourcils plus noi
souciance A la bouche chantante. Mohand était l'aigle Couvrant de ses ailes Les enfants qui m’avaient quittée. Oh ! ce jour o
les Les enfants qui m’avaient quittée. Oh ! ce jour où ils eurent des ailes , Où s'élançant dans l'espace lis prirent leur vol
l'espace lis prirent leur vol et me laissèrent ' Hirondelle, Bats des ailes et hâte^toi Vers le pays où est ma fille. A son c
uets comme des charognards I 0 toi aigle à la tête bleue, Déploie tes ailes dans les nuées Et fonds sur le pénitencier. Salue
/ 1