hante et pleure. » Oiseau, sois vif comme le vent. Toi aux brillantes
ailes
, Et pose-toi dans la cour. Tiens-toi au bord de s
’un bâton. Mais le plus grand des aigles se vengea : il prit sous son
aile
le jeune homme et l'éleva dans les airs. Loundja
Elle dit au père en arrivant : — Ton fils, un aigle l’a pris sous son
aile
et l’a enlevé en plein ciel ! * Le père attendit
gle n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il l’a mis sous son
aile
, il ne l’a pas tué. Pour délivrer ton fils voici
ront pour s’en repaître. Celui qui tient ton fils prisonnier sous son
aile
sera plus lourd que les autres ; il ne s’envolera
s’envolera que difficilement. Toi, donne-lui un coup de roseau sur l’
aile
. Et il laissera ton fils tomber. Le père s’éleva
ne remuer. Comme il allait essayer de s'envoler, le père lui frappa l'
aile
d'un roseau : le Jeune homme tomba. Il était auss
tout noir et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau partit l’
aile
basse. Arrive la Perdrix : — Qu’as-tu, mon oncle
avaient depuis fort longtemps déserté les jardins) volèrent à tire d’
aile
vers la chambre de Soumicha. Alors, les hommes su
e sur un agneau, il reçut un coup mortel et s’abattit sur le sol, les
ailes
étendues. Les bergers s’écrièrent : — Que Dieu re
ur honneur est dans un coffre ! Chant des olives Aoulêlam t La petite
aile
de l'oisillon ! Ma mère. J'ai mal au pied I Aoulê
ur laquelle se battent les monts. Le père des aigles le prit sous son
aile
et l’éleva vers le Septième Mont, de tous le plus
tre d’un énorme plat de couscous, arrosé de sauce écarlate et garni d’
ailes
et de cuisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs
: — C’est moi qui partagerai le poulet. H donna la tête au père ; les
ailes
aux jeunes filles ; les cuisses aux deux garçons
: elle est le cœur de la maison. A nous, les filles, tu as donné les
ailes
: nous ne resterons pas ici ; nous nous envoleron
. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te sentiras des
ailes
. Tu ne sauras comment me témoigner ta gratitude.
vint à passer au-dessus de sa tête, froufroutant de toutes ses jolies
ailes
. — Qu’as-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il arr
t de ces messages. Alors, survint un jour un archange qui d’un coup d’
aile
changea le beau prince cruel en Moche, le chat co
n aigle tout déplumé qui suppliait ses enfants de le couvrir de leurs
ailes
car il tremblait de froid. — Nous n’en ferons rie
Yamina endormie sur son cœur. On eût dit qu'il fendait de ses grandes
ailes
des nappes de soie noire, n vola, il vola. Un peu
couvrit sa voix. L’Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de ses grandes
ailes
. Il laissa Yamina comme un chiffon sur le seuil d
face de Dieu › Je suis comme l’aigle blessé L'aigle blessé entre les
ailes
. Tous ses enfants se sont envolés Et lui ne cesse
vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses cheveux sont comme l’
aile
du corbeau Ses prunelles et ses sourcils plus noi
souciance A la bouche chantante. Mohand était l'aigle Couvrant de ses
ailes
Les enfants qui m’avaient quittée. Oh ! ce jour o
les Les enfants qui m’avaient quittée. Oh ! ce jour où ils eurent des
ailes
, Où s'élançant dans l'espace lis prirent leur vol
l'espace lis prirent leur vol et me laissèrent ' Hirondelle, Bats des
ailes
et hâte^toi Vers le pays où est ma fille. A son c
uets comme des charognards I 0 toi aigle à la tête bleue, Déploie tes
ailes
dans les nuées Et fonds sur le pénitencier. Salue