en montagne. Comme ils s'engageaient dans un col, ils aperçurent deux
aigles
qui se querellaient. Le jeune homme les sépara à
Le jeune homme les sépara à l'aide d’un bâton. Mais le plus grand des
aigles
se vengea : il prit sous son aile le jeune homme
es. Ils te mèneront chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton fils, un
aigle
l'a emporté ». ‘Loundja vit la négresse s’approch
maison du jeune homme. Elle dit au père en arrivant : — Ton fils, un
aigle
l’a pris sous son aile et l’a enlevé en plein cie
en plein ciel ! * Le père attendit quelques jours dans l’espoir que l’
aigle
lâcherait sa proie. Et puis il décida de consulte
de consulter le Vieux Sage. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'
aigle
n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il
une génisse, la plus belle, la plus grasse que tu auras trouvée. Les
aigles
descendront pour s’en repaître. Celui qui tient t
sommet, sacrifia la génisse la plus belle et s'éloigna pour épier les
aigles
. Il les vit descendre ; il les observa tandis qu’
sant, à l’heure chaude où les bergers se reposent sous les arbres, un
aigle
descendit du ciel. Comme il allait fondre sur un
moi. Le long de son voyage, il avait semé le bien, tué un chacal, un
aigle
en plein ciel, un tigre, un lion, une panthère. L
au point qu’il voudra s’élever vers les hauteurs inaccessibles où les
aigles
le dévoreront. Une fois encore le jeune homme tro
; la plus belle que tu trouveras, et égorge-la dans la montagne. Les
aigles
descendront du ciel pour s'en repaître et le plus
ns la montagne et l’égorgea. Caché derrière un arbre, il attendit les
aigles
. Il les vit bientôt descendre et les regarda mang
ent comme jamais. Alors, quand ils furent tous rassasiés, le père des
aigles
parla. Il dit : — Si je connaissais celui qui nou
ette eau merveilleuse pour laquelle se battent les monts. Le père des
aigles
le prit sous son aile et l’éleva vers le Septième
n, il perçut très haut dans l’arbre une sorte de plainte : c’était un
aigle
tout déplumé qui suppliait ses enfants de le couv
Cheikh Smaïn a ses yeux dans ses poches, répondit gravement le vieil
aigle
. S’il veut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenn
u jour l’éblouira au réveil. Cheikh Smaïn écouta le discours du vieil
aigle
et pria Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’en
gardait dans le ciel fleuri d’étoiles. Cheikh Smaïn remercia le vieil
aigle
et rendit grâce à Dieu dans son cœur. Et puis il
spère pas : Un jour nous verra sous la face de Dieu › Je suis comme l’
aigle
blessé L'aigle blessé entre les ailes. Tous ses e
jour nous verra sous la face de Dieu › Je suis comme l’aigle blessé L'
aigle
blessé entre les ailes. Tous ses enfants se sont
maître des vents, Venez en aide à ceux qui souffrent. Je suis comme l'
aigle
des montagnes, Sur la roche le plus haut dressée.
t un entant Plein d'insouciance A la bouche chantante. Mohand était l'
aigle
Couvrant de ses ailes Les enfants qui m’avaient q
tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les yeux de l’
aigle
qui n’est plus : Je ne me résignerai jamais. Il m
n seul jour de gaieté. Nous voici muets comme des charognards I 0 toi
aigle
à la tête bleue, Déploie tes ailes dans les nuées