ncer ces mots : ‹ O fille de nègres, dépouille ta peau I › répondit l’
aîné
. Le cadet se dit alors : ‹ Si une négresse se rév
er le pot. Chant de méditation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'
aîné
de ses enfants. La voix de Dieu lui répondit : —
a retrouver aux champs. Les autres, elle les laissait à la garde de l'
aînée
, une fillette que la misère et les soucis avaient
ain village, il était un homme qui avait une femme et deux enfants. L’
aînée
était une fillette : elle s’appelait Aicha. Le pe
t en respect les fauves et de l'entretenir tandis que dormiraient ses
aînés
. La pleine lune éclairait merveilleusement la for
me le trancha. Et il se mit à le sculpter, 'à lui donner un visage. L’
aîné
se réveilla et vint s’asseoir près du feu. Comme
rendormit, la tête du benjamin confiée à son épaule. Le benjamin et l’
aîné
dormaient depuis un long moment lorsque le cadet
dit dans un murmure : «Je suis celle qui t'aime. › Le plus jeune et l'
aîné
entendirent ces mots. Ils se dressèrent et se jet
vivait une famille composée du père, de la mère et de deux garçons. L’
aîné
, Abderahman, avait dix ans. Le plus 'jeune, Hacèn
s l’œil malveillant de son frère. Non que la mère n’aimât pas le fils
aîné
qu’elle soignait tout autant. Mais elle le gâtait
Or, voici qu’à l’insu de la mère, la jalousie germa dans le cœur de l’
aîné
et grandit comme une méchante plante épineuse et
ls passaient dans les montagnes, tout près du ciel, leurs journées. L’
aîné
, Abderahman, avait poussé comme un bâton d’aloès.
luisants que l’herbe des prés. Mais c’était surtout ses cheveux que l’
aîné
abhorrait, les cheveux doux et brillants que la m
oiseaux, heureux de vivre et plein d'insouciance. Un jour d’orage, l’
aîné
revint à la maison sans son aimable compagnon. le
et la folie du ciel avaient-elles fini par gagner le cœur sombre de l’
aîné
?... Car c’est ce jour-là que Abderahman poussa «o
isait disparaître les dernières traces de son crime, lorsque rentra l’
aînée
, une fillette silencieuse et douce. Zaïna comprit
ombre. On mena la belle jeune fille se reposer dans une chambre. Et l’
aîné
des frères déclara au jeune homme : — Nous allons
es provisions vinrent à manquer, en dépit de l’économie de Aïcha. Les
aînées
cernèrent l’enfant et lui dirent : — Arrange-toi
eune fille, et regardaient avec inquiétude approcher les voyageurs. L'
aîné
dit : — Si ce sont d’honnêtes passants, nous leur
des fruits et du lait. — Cette jeune fille est notre sœur, expliqua l’
aîné
. Le roi des Incroyants veut nous la ravir et chaq