l comme sang ! L’autre répondit : — Il n’y a que Loundja, la fille de
Tseriel
, qui soit ainsi : blanche comme neige et vermeill
e et vermeille comme sang. ’ — Et où se trouve cette Loundja fille de
Tseriel
? demanda le premier. L’autre montra une direction
tte nuit, au nom de Dieu ? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de
Tseriel
. La fille de l’ogresse. Ma mère est allée à la ch
lle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa mère.
Tseriel
, l’ogresse, marchait pesamment : Tseriel touchait
elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment :
Tseriel
touchait à la.fois à la terre et au ciel. Sa tête
je lui ai fait l’aumône, au nom de Dieu. C'est son odeur que tu sens.
Tseriel
s’avança et ordonna : — Sers-moi mon dîner ! Loun
s qui cachait l’entrée du souterrain. Dès qu'elle eut fini de manger,
Tseriel
déclara : — Je m’en vais, ce soir, enduire de hen
viendra son tour. Ce soir je suis trop bien assise pour me déranger.
Tseriel
qui aimait sa fille n’insista pas. Elle ne tarda
Et elles se refermèrent, une fois qu’ils eurent atteint l’autre rive.
Tseriel
.se réveilla tandis que fuyait la jeune fille au t
i passer I Les épines se firent plus aiguës, grandirent démesurément.
Tseriel
passa néanmoins, mais ses pieds furent déchirés e
I Mais Loundja avait changé de maître I La rivière arrêta l’ogresse.
Tseriel
lui cria furieusement : — Rivière d’immondices, j
je veux passer I Mais la rivière se mit à gronder de façon menaçante.
Tseriel
s’y jeta. Une vague énorme l’emporta. Mais avant
cheveux se dressaient vers le ciel comme un buisson d’épines. C’était
Tseriel
. Elle se dirigea vers le métier et y entra. Elle
er et poursuivre notre tâche. › Quand il n’y eut plus de cordelettes,
Tseriel
et la veuve sortirent du métier et s’assirent prè
milieu un brandon et se gratta avec l'extrémité qui ne flambait pas.
Tseriel
voulut l'imiter. Mais c'est la partie incandescen
lement des chiens et du vent. Une mare se présenta enfin devant elle.
Tseriel
s’y jeta et s'enlisa dans la vase. Mon conte est
s et de vent, s’émerveillant de tant de richesses octroyées par Dieu.
Tseriel
, l’ogresse, l’épiait mais il ne la voyait pas. Lo
pproche de la forêt ? — Parce que c’est là que se trouve le jardin de
Tseriel
, répondit le Vieux Sage. Si Mehend s’y est aventu
mpatience, guidé par son chien. A peine eut-il franchi la rivière que
Tseriel
lui apparaissait immense, dans son merveilleux ja
prit un fin poignard et fendit doucement, très doucement le ventre de
Tseriel
. Il retira d’abord le lévrier qu’il étendit au so
utes les beautés répandues autour de lui. Ahmed explora le domaine de
Tseriel
et découvrit sa maison sous les arbres. Toutes le
. La nuit trouva les deux frères, assis côte à côte dans la maison de
Tseriel
. Elle les trouva mangeant des œufs frais, de la g
dans leurs couffins. Or ce champ miraculeux était celui de l’Ogresse
Tseriel
. Elle revint de la chasse dans l’après-midi et tr
l’âne que les oreilles I Us se demandaient que faire lorsque survint
Tseriel
. Elle leur dit d’une voix joyeuse : — Soyez les b
partirez. Sa maison était là, tout près, cachée par de grands arbres.
Tseriel
les fit entrer et leur demanda : — Qu’allez-vous
ée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce voix pour demander à
Tseriel
: — Maman-grand’mère, comment entre en toi le som
t le Subtil qui se coucha et fit mine de dormir. En réalité il épiait
Tseriel
. Il attendait que se missent à crier toutes les b
ois. Ils lui racontèrent toute leur aventure : — Nous avons échappé à
Tseriel
, dit l’Innocent. Nous étions dans son champ en tr
a attaché ses oreilles à une branche. La nuit est tombée sur nous et
Tseriel
nous a emmenés chez elle. Le Subtil ajouta : — J'
d, indique-moi où me procurer la pomme enchantée. — Dans le jardin de
Tseriel
, consentit à dire le Vieux Sage. Mais, afin que l
Mehend s’éloigna. Il marcha longtemps avant de découvrir le jardin de
Tseriel
. C’était l’heure chaude ; l'Ogresse, nue jusqu’à
heure chaude, l'ogresse passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes :
Tseriel
, l’ogresse, allait boire au ruisseau qui arrosait
r. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut manger des figues?... ›
Tseriel
était aveugle mais géante; sa chevelure, comme un
éante; sa chevelure, comme une broussaille, se dressait vers le ciel.
Tseriel
dit : — C’est justement toi que je cherchais ! El
cailloux ; il en remplit l’outre qu’il referma et puis il s’éloigna.
Tseriel
pria. Ensuite elle tira de son corsage un morceau
elâjoudh gagnait une petite éminence pour ne rien perdre de la scène.
Tseriel
essaya de soulever l’outre. L’outre lui tomba des
e lien se brisa et les cailloux se répandirent et roulèrent, blessant
Tseriel
au pied. — Que Dieu te trompe comme tu m’as tromp
outre, il ne put échapper à l'ogresse. A peine arrivé dans sa maison,
Tseriel
tâta Velâjoudh et le trouva maigre. Afin qu’il en
amena Vetellis. Vetellis avait un œil blanc. La veille du grand jour,
Tseriel
se tourna vers elle et lui dit : — Mouds du blé,
dait pas un mot des recommandations que l’ogresse faisait à sa fille.
Tseriel
sortit à l’aube. Vetellis rangea la maison, allum
roncs d’arbres et des fagots. Ils étaient quatre-vingt-dix-neuf. Avec
Tseriel
, ils étaient cent : ogrillons et ogrillonnes grou
h prit alors une poignée de poivre et sauta sur le toit en criant : —
Tseriel
a mangé sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipité
poivre et sauta sur le toit en criant : — Tseriel a mangé sa fille 1
Tseriel
s’était déjà précipitée. Elle venait juste d’attr
nçaient à son secours, lorsque de hautes flammes embrasèrent la cour.
Tseriel
et sa famille entreprirent d’éteindre l’incendie.
lle que lune et que rose .. 181 Histoire de Velâjoudh et de l’ogresse
Tseriel
203 Le chat pèlerin 211 Le foie du capuc