« Cheikh Smaïn ›. Et l’ange disparut. Le petit prinee s'appela Cheikh
Smain
et grandit dans le bien. Devenu un adolescent acc
la nuit, les serviteurs arrivèrent avec leur gibecière pleine. Cheikh
Smain
avait la sienne vide. Ils la lui remplirent et re
lui remplirent et revinrent avec iui au palais. Le lendemain. Cheikh
Smain
voulut encore chasser.. Ce fut au tour de deux au
ôté tandis que j’irai du mien et ce soir, retrouvons-nous ici. Cheikh
Smain
fit quelques pas et aperçut un perdreau qui trott
l'âme. » Bougie, toi qui sais, dis-nous à qui est cette femme. Cheikh
Smain
alors se dressa et dit, excédé, au jeune savant :
fille plus belle que lune et que rose. Le sultan leur dit : — Cheikh
Smain
, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou de mo
rs et les flûtes annoncèrent à tout le pays les fiançailles de Cheikh
Smain
et de la fille la plus belle qui se puisse trouve
seule verdissait de jalousie (la vieille sorcière en voulait à Cheikh
Smain
depuis ce jour où, rendant la justice, il ne s'ét
i longtemps que je n’ai joui de ta compagnie charmante ! Comme Cheikh
Smain
se disposait à partir, le lendemain, sa jeune fem
ce n’avait de regard que pour la chienne. Elle s’arrêta enfin. Cheikh
Smain
la prit alors sur ses genoux, s'assit à l’endroit
a jalousie était en lui comme un feu dévorant. C’est ainsi que Cheikh
Smain
échappa à cette mort qui paraissait si sûre. Mais
attre s’exaspérait. Un matin, de guerre lasse, il alla trouver Cheikh
Smain
et lui demanda : — De grâce, qu’est-ce qui pourra
l appela ses serviteurs et leur commanda d’arracher les yeux à Cheikh
Smain
et de les lui mettre dans ses poches. Le prince s
fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au cœur de la forêt, Cheikh
Smain
dit au serviteur qui l’accompagnait : — Et toi, n
fois, cet homme juste, fut roué de coups et couvert d’injures. Cheikh
Smain
enfin laissa tomber le masque qui le rendait méco