ciel, à ton intention, comme une graine de bonheur : ‹ Va, ma fille,
Dieu
fasse que ton soleil perce les nuages.» EN MANI
venant au monde je vous avais chassés de notre maison. Settoute — que
Dieu
la brûle I — vous a trompés. Et maintenant me voi
ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs ! Proverbe Le chat dit : Que
Dieu
décime les habitants de la maison et les aveugle
a maison et les aveugle Afin que je puisse voler. Mais le chien dit :
Dieu
multiplie les habitants de la maison et me les re
entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se montra.
Dieu
seul avait pu la créer : son teint était blanc co
s où aller. Ne pourrais-tu me donner asile pour cette nuit, au nom de
Dieu
? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de Tser
Un mendiant est passé, ce soir, et je lui ai fait l’aumône, au nom de
Dieu
. C'est son odeur que tu sens. Tseriel s’avança et
Mais avant d’être engloutie l’ogresse clama une dernière fois : — Que
Dieu
te trahisse comme tu m’as trahie, Loundja I Le je
la terre, — Hommes, la terre, à qui est-elle ? (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu'Allah.) La nourriture seule nous est due ; La
est due ; La terre, son maître est un seigneur. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu'Allah.) Nous, c’est la mort qui nous attend. L
ui nous attend. Les tombes seront notre refuge. (Il n'est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Proverbes Qui osera dire au lion : ‹ t
une pièce fausse. Celui qui a de la beauté est prestigieux : Même le
Dieu
des morts en a peur. Sois la bienvenue, fine beau
itée. Des débris tombent sur mon dîner. — Je suis le Chevrier. Viens,
Dieu
veuille t’inspirer. Retourne auprès de ton mari.
encelle du jouvenceau m’a délaissé. — Je vais la prier de revenir, si
Dieu
veut la conseiller. — Dame Grenouille? appela-t-i
tu n’aurais pas trahi la confiance qu’avait mise en toi le Prophète.
Dieu
ne t'aurait point maudit. Après avoir été tout bl
ne des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La voix de
Dieu
lui répondit : — Ne pleure plus ton fils Tîfas. T
pondit : — Ne pleure plus ton fils Tîfas. Tifas est au paradis, Uni à
Dieu
dans sa splendeur. Si tu préfères vivre en ce mon
yeux comme des étoiles et la regarda.-11 regarda la petite fille que
Dieu
seul avait pu ^réer. La course avait rendu son vi
blouit le serpent ; tant de grâce et de faiblesse l'émut. Il remercia
Dieu
dans son cœur. L’enfant tremblait. Il lui dit : —
ds autour de lui et finit par dire : — Tu resteras ici jusqu’à ce que
Dieu
t’ouvre un chemin. J'épouse ta faim et ta soif :
der I › Il écarta les branches et lui dit en s’avançant : — Au nom de
Dieu
, je t’en prie, dis-moi qui tu es, créature I Elle
nir de la fille du serpent ? Mais le prince qui mettait son espoir en
Dieu
répondit & la reine et au roi : — J’ai choisi
aciles les prouesses I Le chat qui souille le blé Et qui ose craindre
Dieu
! Mieux vaut que je m'endorme sur mon souper Plut
n. Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui répondit : • — Femme,
Dieu
veuille te raisonner . comment pourrais-je vendre
elle est cette vache ?» il disait : — C’est la vache des orphelins. —
Dieu
veuille nous préserver de la malédiction des orph
et dit à sa femme : — Personne n’a voulu l’acheter. Tous m’on dit : ‹
Dieu
veuille nous préserver de la malédiction des orph
e puits Aïcha, ta sœur, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi
Dieu
soit avec elle et avec toi I › Or, le Génie du pu
le puits Aïcha, ta sœur, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi
Dieu
soit avec elle et avec toi l › Le Cheikh de la Mo
le puits Aïcha, ta sœur, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi
Dieu
soit avec elle et avec toi ! › Le Cheikh de la Mo
le puits Aïcha, ta sœur, est dans le puits Elle ne peut rien pour toi
Dieu
soit avec elle et avec toi I › Très surpris, le s
zelle, reste gazelle Si tu es née homme, redeviens-le Par la force de
Dieu
et des amis de Dieu ! » C’est ainsi qu’Ali retrou
Si tu es née homme, redeviens-le Par la force de Dieu et des amis de
Dieu
! » C’est ainsi qu’Ali retrouva sa forme humaine
le comme un long fil I Il était un roi (bien qu’il n’y ait de roi que
Dieu
) et ce roi n’avait qu’un enfant auquel il donna l
t faim. Ils s’arrêtèrent à la première porte et demandèrent au nom de
Dieu
une cruche d’eau et un morceau de galette. Une vi
ndit le jeune homme aux yeux de faucon. Je suis sous la protection de
Dieu
. Peu après il était au chevet de la princesse qui
une femme baignée de lune. Il se mit à l’implorer dans la nuit : «Par
Dieu
et son prophète, ô femme ! regarde-moi, parle-moi
périeuse, en regardant intensément la jeune fille : — Par la grâce de
Dieu
qui est grande et par la mienne, ô méchante fée,
e cette jeune fille, je te l’ordonne. Je te l’ordonne par la grâce de
Dieu
et des amis de Dieu ! Soumicha, la princesse, fer
je te l’ordonne. Je te l’ordonne par la grâce de Dieu et des amis de
Dieu
! Soumicha, la princesse, ferma lentement les pau
er pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pas que
Dieu
avait décidé de me révéler la splendeur de sa cré
usé toute lumière et toute nourriture, durant des jours et des jours.
Dieu
finit par s’en émouvoir et lui envoyer un songe.
man ne demeurerait pas toujours ignoré, que la justice impitoyable de
Dieu
ferait la lumière. Depuis longtemps les pluies av
ormé par la flûte, chanta la mort tragique d’Hacène, l’adolescent que
Dieu
s'était plu à parer de tous les dons et de toutes
es frères, et partons Même en dépit du verglas. (Il n'est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Allons révérer Cheikh Mohand Aux yeux
Cheikh Mohand Aux yeux de faucon bienveillant. (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu'Allah.) Ceux qui boivent dans sa main Ne seron
boivent dans sa main Ne seront pas impatients. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Proverbes Traîne des savates jusqu’à c
s d’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes Traîne des savates jusqu’à ce que
Dieu
te procure des souliers. Le mendiant l’a mendié U
evauchait depuis longtemps, lorsque des bergers l’arrêtèrent : — Pour
Dieu
, lui dirent-ils, tue-nous l’oiseau de proie qui p
attit sur le sol, les ailes étendues. Les bergers s’écrièrent : — Que
Dieu
renforce ton bras. Nous te rendons grâce ! Mainte
is des bouviers l’aperçurent. Ils accoururent pour lui dire : — C’est
Dieu
qui t’envoie pour nous délivrer d’un tigre monstr
jeune homme. — Je te l'accorderai, reprit le sultan. Parle I — Alors,
Dieu
veuille t’inspirer de me donner ta fille ! Le sul
éclairs et de vent, s’émerveillant de tant de richesses octroyées par
Dieu
. Tseriel, l’ogresse, l’épiait mais il ne la voyai
cal, un aigle en plein ciel, un tigre, un lion, une panthère. Lorsque
Dieu
nous l’envoya, le dragon-aux-sept-têtes régnait s
nonça Ahmed au sultan. La rivière emporte son cadavre vers la mer 1 —
Dieu
te bénisse, mon fils et te couvre de ses bienfait
tements de soie. Aux écharpes immaculées, Nous vous prions d'implorer
Dieu
. Qu'afflue vers nous l'abondance. Proverbe La fai
Ce qui est passé est passé : je n'aurais jamais pu vous punir comme'
Dieu
vient de vous punir. Allons vite retrouver votre
es frères ; Que chacun s’apitoie sur son frère. (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu’Allah.) Comme l'affamé, le repu Verra venir l'
affamé, le repu Verra venir l'heure de sa mort. (Il n'est pas d'autre
Dieu
qu'Allah.) Quand nous nous dresserons devant le T
n'aurons dans nos mains que nos bonnes actions. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Proverbes Le bien et le mal sont frère
né Il n’était encore qu’un enfant. C’est l’injuste peine infligée par
Dieu
, Il s'en est allé sans l’ombre d’un ami. Proverb
me et une femme qui avaient un enfant. Ils étaient déjà vieux lorsque
Dieu
les dota de cet unique enfant. Ils l’appelèrent M
e enfant. Ils l’appelèrent Mehend et vécurent les yeux fixés sur lui.
Dieu
régnait dans le ciel et l'enfant sur la terre : M
taisie. Il rencontra un jour une créature si belle qu’on en bénissait
Dieu
qui l’avait créée. Elle était blanche et rose, lu
lui demanderas de te laisser cueillir la Pomme Enchantée. Va, et que
Dieu
vienne en aide à celui qui, pour une femme, a per
ndre : — Crois-moi, je te le jure par cette barbe toute blanche et ce
Dieu
qui nous a créés, cette femme en veut à ton âme.
ciel pour s'en repaître et le plus âgé te viendra en aide. Va, et que
Dieu
te rende la raison I Le jeune homme se mit en quê
ntes fois exposé à une mort certaine et tu m’as préféré un Ogre ! Que
Dieu
te trahisse comme tu m’as trahi, car tu ne mérite
un long fil I Il y avait un roi — bien qu’il n'y ait d’autre roi que
Dieu
— et ce roi avait un fils tendrement aimé qui lui
artirent à pied. Le prince déclara : — Je me suis enfui du paradis de
Dieu
. J’ai refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est l
a : — Je me suis enfui du paradis de Dieu. J’ai refusé ce que voulait
Dieu
. Le chemin est long ; porte-moi ou je te porterai
en route, tu as déclaré à mon père : ‹ Je me suis enfui du paradis de
Dieu
›. C’est la pluie qui, pour la terre, est le para
radis de Dieu ›. C’est la pluie qui, pour la terre, est le paradis de
Dieu
: Tu craignais donc de te mouiller? Et puis tu as
donc de te mouiller? Et puis tu as dit : « J’ai refusé ce que voulait
Dieu
». C’est la mort que tu refusais? Dieu veut que n
: « J’ai refusé ce que voulait Dieu ». C’est la mort que tu refusais?
Dieu
veut que nous mourions, mais nous, nous ne voulon
chent, Nous irons dans la Maison de la Balance. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort a touché les orteils Ses membr
ocient, Nous entrerons dans la Maison Inconnue. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu'Allah.) La mort a pris les genoux Et se propag
se propage Comme le feu dans un four à tuiles. (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu’Allah.) La mort arrive à la cuisse Recueillez-
se lamente, Revets le deuil, poutre maîtresse. (11 n’est pas d'autre
Dieu
qu'Allah.) La mort a touché les mains On repousse
, Les vieillards sont allés tailler le linceul. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort a pris les doigts Que la famil
e la famille l'entoure Et lui fasse ses adieux. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu'Allah.) La mort atteint les épaules Sa maison
pleine et regorge, Que ses mérites le sauvent. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort arrive à la gorge, La parole s
e s’étrangle, Il ne s'exprime qu’avec les cils. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort atteint le menton La vie le fu
La vie le fuit, Il passera la nuit au tombeau. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort est montée jusqu’aux lèvres Se
montée jusqu’aux lèvres Ses amis entrent et sortent, Que les amis de
Dieu
intercèdent pour lui. ta mort a touché la langue
Pour qu’il te recommande sa maison et ses biens. (U n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort atteint tes narines Il râle de
longs râles, Qu'il a de chance l’homme de bien. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort a touché les cils Son regard n
nnaît plus, Il entrera dans la Maison Dernière. (Il n'est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) La mort a gagné la tête Psalmodiez pou
chants rituels, Que sa mère lui terme les yeux. (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu’Allah.) La mort a franchi le seuil et emporte
s actions l’embellissent Au regard du Créateur. (Il n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Provbrbb J’ai reçu mille coups Et tu v
Et tu le découvriras derrière toi. Tu as bien compris?... Va, et que
Dieu
soit avec toi. Reskia serra son frère contre elle
s la rejoignirent et lui dirent : — Notre mère, abrite-nous au nom de
Dieu
1 Elle leur ouvrit sa maison, les nourrit de cous
y a huit ans que je ne sais rien de mon frère, laisse-nous partir et
Dieu
t’en saura gré. Le père la regarda et ne dit mot.
le suivit et lui dit : — Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de
Dieu
! Il les fit entrer, elle et son fils. Comme ils
ais un cavalier vint à passer qui revenait d’un marché voisin : c’est
Dieu
qui le lui envoyait. Il délivra la jeune fille. I
ue la nuit. Je lui dis : ‹ Console-toi, ma fille, Et prends appui sur
Dieu
: Il n’est pas de nœud qui ne se dénoue I › Prove
é Par de venimeuses paroles Trop innombrables pour que je les endure.
Dieu
m'a fait une nature chagrine, Je ne demanderais q
it une nature chagrine, Je ne demanderais qu'à l'échanger, Mais c’est
Dieu
qui me l'impose. Je fuirai ce pays Car ma souffra
subir, les perdrix se sentirent largement payées de leur peine. — Que
Dieu
vous bénisse et vous donne le prestige et la maje
i ses parents ? Proverbe Dire : « tais-toi », c'est encore crier ! Et
Dieu
lui a dit ; ‹ Puisque tu n’es pas las de persécut
elles partiront ou je partirai ! — Femme I suppliait le père, femme,
Dieu
veuille te raisonner ! Que ferais-je de mes petit
de les enterrer vives. Mais il comptait sans les desseins profonds de
Dieu
. Et plus il avançait vers sa demeure, plus le pau
oi que nous mangerons, car tu es la plus faible. Aïcha se tourna vers
Dieu
et se remit à gratter le sol. Elle gratta si bien
hasser. Elles firent le tour de tous leurs biens et rendirent grâce à
Dieu
dans leur cœur : que de tapis, de couvertures et
ra son regard. H médita un temps avant de poursuivre : — Mais puisque
Dieu
vous a conduites jusqu’ici, puisqu’il a permis à
mais cruel comme une lame et sacrilège car il voulut se substituer à
Dieu
lui-même. Pour avoir une armée innombrable qui ru
xigea des femmes qu’elles missent au monde des enfants sans répit. Or
Dieu
seul octroie les enfants, les octroie comme il l’
pays : il sema le mal à longueur de journée et fit couler les larmes.
Dieu
l’avertit une première fois de veiller à ne plus
. H contraignit ses sujets à fuir la ville et même le pays. Loué soit
Dieu
mille fois qui nous en a enfin délivrés, mes fill
es Seigneurs ! Proverbe Celui qui est propre comme l’eau Au regard de
Dieu
, je le jure, Ne paraîtra pas impur. Chant satiriq
isier lui a donné un corps, le tailleur une robe. Je vais, moi, prier
Dieu
de lui donner une âme». Et la poupée devint une f
ent chercher Roundja. Le sultan put ainsi l’admirer à loisir et bénir
Dieu
qui avait créé si surprenante beauté. Et les tamb
endre la forme d’une femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour
Dieu
, ne me tue pas. Femme, je serai ton esclave. Nègr
n et nous sommes fourbus. Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de
Dieu
. La vieille femme les fit entrer dans sa maison e
drais-tu pas la voir de notre part? supplia Cheikh Smaïn. — Mon fils,
Dieu
m’est témoin que je ne demanderais qu’à vous donn
femme à t’accepter pour époux. Laisse-moi essayer de la convaincre. —
Dieu
veuille t’entendre et te venir en aide I soupira
rant le plus merveilleux visage qui se puisse voir sous la lumière de
Dieu
. La vieille femme lui sourit de loin et lui fit d
ant sa maison. La vieille retourna auprès du sultan pour lui dire : —
Dieu
m’est venu en aide : La sultane consent à devenir
de s’y promener en voiture. — Que sa volonté s’accomplisse, loué soit
Dieu
qui t’a envoyée ! Aujourd'hui nul ne sortira dans
— Ne crains rien, dit-il tendrement à la jeune fille. Avec l’aide de
Dieu
et de mon ami fidèle, nous les vaincrons. Le prin
s'aimaient. Aussi ne manquait-il pas chaque matin d’en rendre grâce à
Dieu
dans son cœur, la face tournée vers l’Orient. Mai
je vois du sang parmi tes proches. Il répondit ; — Que la volonté de
Dieu
et celle de mon père s’accomplissent I — Du moins
je vois du sang sur tes vêtements. Il répondit : — Que la volonté de
Dieu
et celle de mon père s’accomplissent 1 — Du moins
, emporte cette ‘levrette dans tes bras : Elle te conduira. Mais pour
Dieu
, suis-la docilement ou tu es perdu I Le prince pr
il avait été assez insensé pour répondre encore : — Que la volonté de
Dieu
et celle de mon père s'accomplissent ! Une joie d
es, répondit gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la lumière de
Dieu
, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel arbre au
ira au réveil. Cheikh Smaïn écouta le discours du vieil aigle et pria
Dieu
que se réalisât ce qu’il venait d’entendre. Il te
uri d’étoiles. Cheikh Smaïn remercia le vieil aigle et rendit grâce à
Dieu
dans son cœur. Et puis il s'enveloppa étroitement
s et s’endormit heureux, sur un lit de feuilles sèches. La lumière de
Dieu
l’éblouit au réveil .11 se leva. Il cueillit un b
et je te vois travailler. ' — Mon fils, répondit le vieillard, c’est
Dieu
qui t’envoie, car nous sommes seuls ma femme et m
s propre ; un beau figuier l’ombrageait et la rendait accueillante. —
Dieu
nous a envoyé un fils I annonça dès le seuil le v
heureuse rencontre. Et les deux vieux et le prince rendirent grâce à
Dieu
d’avoir donné un fils à deux vieillards solitaire
longuement et la glissa dans sa poche. — C’est lui, c’est bien lui !
Dieu
soit loué I s’écrièrent Roundja et sa compagne au
ps. Par sept fois les six premiers Notables déclarèrent : — La loi de
Dieu
permet l’union du père avec ses brus. Et par sept
ois, la voix du septième Notable clama de plus en plus pathétique : —
Dieu
maudit l’union du père avec ses brus ! Et par sep
tête aux six Notables qui avaient osé proclamer à la face du ciel : ‹
Dieu
permet l’union du père avec ses brus. › Au septiè
a beauté en fleur. Ronde de la neige La neige tombe comme des toisons
Dieu
extermine les meuniers l La neige tombe et tond D
omme des toisons Dieu extermine les meuniers l La neige tombe et tond
Dieu
dévaste les Aith Aissi ! Chant de méditation Cess
de saison ? Que ceux qui veulent en manger accourent : le paradis de
Dieu
est descendu sur la terre ! Bien entendu, le figu
cailloux se répandirent et roulèrent, blessant Tseriel au pied. — Que
Dieu
te trompe comme tu m’as trompé I s’écria-t-elle.
s de saison? Que ceux qui veulent en manger accourent ; le paradis de
Dieu
est descendu sur la terre I A l’heure chaude, sur
ogresse déclara : — Je t’accorde encore huit jours. C’est tout ce que
Dieu
t’aura donné de vie : maigre ou gras, ce sera mêm
conte est comme un ruisseau, je l'ai conté à des Seigneurs. Proverbe
Dieu
ne montre pas son chemin à l’orphelin. Chant sati
écrit un message en français, O habitants de la terre, En présence de
Dieu
lui-même. Mais la chance est un brin de paille ;
is allé à la Mecque ; je me suis purifié. Maintenant, je vais honorer
Dieu
. Je ne mangerai plus un seul rat. Je vais me mari
-pèlerin I Comment te portes- tu, fl notre onde le pèlerin? Loué soit
Dieu
, car te voici sain et sauf ! A leur tour les rats
conte est comme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbes
Dieu
a été clairvoyant qui n’a pas donné de cornes à l
hand Quel Houssine Etait pieux déjà tout enfant. (U n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Quand il s’est retiré au cœur de la fo
dèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont mangé. › (Il n’est pas d'autre
Dieu
qu’Allah.) Loué soit le Cheikh tout-puissant Qui
ikh tout-puissant Qui ressuscite le bœuf égorgé. (U n’est pas d’autre
Dieu
qu’Allah.) Proverbes En apparence il est guéri, M
, vivaient au milieu de leurs nombreux enfants un homme et une femme.
Dieu
avait octroyé plus de filles que de garçons mais
ône, nul ne faisait la sourde oreille ni ne répondait cruellement : ‹
Dieu
y pourvoira ›, car dans cette famille, le mendian
ira ›, car dans cette famille, le mendiant était appelé : ‹ L’hôte de
Dieu
›. A peine entendait-on sa voix, que l’un des enf
ne entendait-on monter au crépuscule la grande plainte : ‹ Le pain de
Dieu
, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courai
hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’envoyé de
Dieu
sa part de galette, de couscous ou de lait. C’est
de la pluie et du vent, la voix puissante d’un mendiant. — Le pain de
Dieu
, û hommes de bonne volonté I implorait cette voix
traversa la cour sous l'averse, ouvrit la porte et dit à l’invité de
Dieu
i — Voici ta part du souper. Mais le mendiant pri
Il y avait là tous les fruits susceptibles de mûrir sous le soleil de
Dieu
, à la fois ceux de l’automne, du printemps, de l'
it au plus fort de la tourmente une grande voix clamer : — Le pain de
Dieu
, ô hommes de bonne volonté I Yamina était prête :
t jamais, dominant la tourmente, la grande voix clamer : — Le pain de
Dieu
, ô hommes de bonne volonté ! Mon conte est comme
autrui sont nocifs : S’ils ne tuent pas, ils amoindrissent- Proverbes
Dieu
, lorsqu’il veut donner Connaît la maison. Lorsque
ur Dieu Car les êtres vous abandonnent. Ne sois pas impatient Puisque
Dieu
est là. Comme aujourd’hui la tristesse nous sera
poires et les figues Et toutes les richesses Qui emplissent le monde,
Dieu
les a données à ses créatures. Mais il leur a dit
s mains nues De ce monde éphémère, Car n'est éternelle que la face de
Dieu
. Et Dieu leur a dit : Si vous semez le bien Je vo
ues De ce monde éphémère, Car n'est éternelle que la face de Dieu. Et
Dieu
leur a dit : Si vous semez le bien Je vous recevr
ir, parmi les étoiles, Le visage de ceux qui se sont envolés. Je prie
Dieu
et les amis de Dieu Pour que lui apparaissent en
s, Le visage de ceux qui se sont envolés. Je prie Dieu et les amis de
Dieu
Pour que lui apparaissent en rêve Les enfants qui
prisonniers Qui souffrent un exil sans fin. La patience est l'amie de
Dieu
. (Une autre version de ces poèmes figure dans le