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1 (1966) Le grain magique
et le soleil piquant, ils s’apprêtèrent à faire la sieste. Le Crapaud étendit son burnous à l’ombre des peupliers : ils se couc
la galette de blé et but du lait. Dans un endroit bien abrité, il lui étendit une couche et l’y conduisit pour qu’elle s’y repo
lives et de la neige. Elle avait fait dîner ses enfants et leur avait étendu des couches près du foyer. Elle s’approcha du mét
apparut : un dattier qui touchait à la terre et au ciel. La gazelle s’ étendit au pied de l’arbre tandis que Aîcha s’élevait jus
ra le poisson et s'éloigna, emmenant le cheval par la bride. Mehend s’ étendit sur le sable, près du poisson, et se mit à réfléc
urde de petit-lait. Ils burent et mangèrent, mangèrent et burent et s’ étendirent sur des nattes. Lorsqu’ils furent reposés, ils ba
ès doucement le ventre de Tseriel. Il retira d’abord le lévrier qu’il étendit au soleil. Et puis son frère. Et enfin le cheval
prit dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l’ogresse. Il l’ étendit avec précaution sur la couche la plus moelleuse e
presque tendres). Ils croquèrent aussi les petits pois. Et puis ils s’ étendirent au soleil dans le champ. Quand il ne leur resta p
e son frère. La fillette les ramassa soigneusement, les essuya et les étendit sur le toit. Quand ils furent bien secs, elle les
ndait le sorcier : il acheta du miel, s’en remplit la gorge et alla s' étendre au soleil, la bouche ouverte. Une armée de fourmi
Ogre s’en retourna chez lui. Il mangea encore et encore du miel. Il s’ étendit de longues heures au soleil. Il laissa des légion
re du repos C’est toi qu’a épousé son cœur. Sommeil viens doucement T’ étendre près de lui. Proberbb N’ayez confiance dans le ci
ne ouvrit le coffre. Elle prit doucement son époux dans ses bras et l’ étendit sur son lit. Assise à son chevet, elle attendit p
erger ! Et elle le vit courir autour des arbres. Elle l’appela. Ils s' étendirent à l'ombre et s’endormirent. Un vent frais les rév
e serpent apparaître, il s'arrêta. H délia la pauvre jeune fille et l’ étendit sur un lit. Comme il se disposait à tuer les serp
s midi elles se déclarèrent fatiguées. Il faisait chaud, le père leur étendit son burnous sur l’herbe, à l’ombre d’un figuier.
la chasse pour ne rentrer qu’à la nuit. Alors, il ranimait son feu, s’ étendait sur la peau de panthère et s’en prenait obstinéme
flamber son feu, répandait autour du foyer «des noyaux 'd’olives et s’ étendait nonchalamment sur la peau de panthère. Chaque foi
iers froids. Il fit un grand feu, s’en approcha le plus possible et s’ étendit avec satisfaction sur la peau de panthère. A tout
sert des rues leur serra le cœur. Quelle était cette cité morte qui s’ étendait sous leurs yeux? Tandis qu’elles avançaient médus
bientôt le surnom de « Mehend qui bat le beurre ›, et sa popularité s' étendit à tout le royaume. Cheikh Smaïn connut la paix pa
et la plume. Yamina était au milieu d’une chambre merveilleuse. Elle étendit mollement le bras et découvrit sur un plateau du
nies de l'Occident, soyez favorables A mon enfant qui vient vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses cheveux sont comme
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
mage de la mort s’y presentoit par tout, et ce n’estoit que des corps étendus d’hommes et d’animaux qui paroissoient morts. Il
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