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1 (1966) Le grain magique
nte fut la première éblouie par cette b?auté. Venue pour apporter aux époux leur déjeuner, elle s’en retourna pour annoncer à
sus et le dévora. Au matin, lorsque la servante entra pour saluer les époux et leur servir leur déjeuner, elle découvrit la c
elle découvrit la chienne veillant jalousement sur les restes de son époux . La servante s’enfuit en hurlant : — Monsieur est
I U fait l’idiot dans son intérêt. Tes proches sont comme ta chance : Epouse -les, ne les vends pas. Bons ou mauvais, le destin
emps anciens, aux temps où parlaient les bêtes, la Grenouille était l’ épouse du Crapaud. Ils vivaient très heureux. L'abondanc
ie, elle en fit une galette qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux . Et puis, elle roula le grain du couscous. Lorsqu
plus qu’à attendre. Au crépuscule, elle se porta à la rencontre de l’ époux : il avançait péniblement. Elle le rejoignit, l’a
it défaire la laine, l’effilocher en légers flocons, à mesure que son époux la battait. A midi, toute la laine était propre.
ssa en corbeille qu’il remplit de figues, de raisins et de mûres. Son épouse l’attendait patiemment. Elle avait découvert une
rbeille, il mit des figues et des raisins. Et il s’en revint vers son épouse . Elle lui dit : — Jamais nous n’avons été plus he
par dire : — Tu resteras ici jusqu’à ce que Dieu t’ouvre un chemin. J' épouse ta faim et ta soif : tu seras mon enfant. Mais tu
mort. Il dit encore : — Le jour où tu m’as quitté pour aller vers ton époux , je t’avais recommandé de ne pas revenir en arriè
er, œil. Le sourcil est au-dessus de toi. Vois une femme accomplie et épouse sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le vent
la Pas un jouvenceau Ah I la la. Ma fille, ô ma tille Ah I la la Ne l’ épouse pas Ah I la la Epousailles de vieux Ah I la la Se
it sa joie. Il ne vivait que par elle. Il lui cherchait patiemment un époux digne d'elle et digne de régner sur nous un jour
étoilé d’or qui l’enveloppait tout entière, attendait patiemment son époux dans la chambre nuptiale, assise sur de moelleux
— Jeune fille plus belle que lune en plein ciel, je ne puis être ton époux car je suis le Génie de la mer et les eaux sont m
s vers toi, ô Soumicha, le visage tourné vers l’Orient. C’est lui ton époux : il est fils de roi. Et le jeune homme aux yeux
seule eut l’audace de me barrer le chemin. Elle me dit : «Serais-tu l’ époux de Soumicha, fille de Hitinc, ô Mehend, pour être
égorgé. Toi, son père, rai dis toi dans ta douleur. Et toi, sa mère, épouse à jamais le deuil. n Le jour de son départ, sur s
érité. Mais un jour que Mehend était allé chasser de grand matin, son épouse entendit comme un faible gémissement. Elle prêta
referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter sur son lit. Le jeune époux s’approcha d'elle très doucement et lui remit les
, ce qui rassura Mehend. Elle retrouva son enjouement et persuada son époux de retourner dès le lendemain à la chasse. Et ell
faire aller plusieurs matins en suivant. A peine s’éloignait-il que l’ épouse au lumineux visage sautait hors de son lit et se
d’être toujours sur le qui-vive. Il nous faut absolument envoyer ton époux à un endroit d’où il lui soit impossible de reven
ù les aigles le dévoreront. Une fois encore le jeune homme trouva son épouse frison- nant et claquant des dents. Il s'assombri
ous allons cette fois confier Mehend à la gueule du lion. Lorsque ton époux rentrera ce soir, feins d’être malade à mourir et
une honte. Nous deviendrions la risée des pays voisins I — Si je ne l’ épouse pas, dit le prince, je ne me marierai jamais. Le
erai jamais. Le roi qui n’avait pas d’autre fils, finit par céder : — Epouse -la, mon fils, puisque tu l’aimes I Le prince offr
; elle y rangea son trousseau et elle l’emporta dans la demeure de l’ époux . Les noces donnèrent lieu à des réjouissances qui
ses parents, la jeune reine ouvrit le coffre. Elle prit doucement son époux dans ses bras et l’étendit sur son lit. Assise à
plus accomplies du village. Le mariage eut lieu. Et Zahoua, la jeune épouse , détesta sa belle-sœur et devint jalouse d’elle.
Si Reskia ne se doutait de rien, par contre Zahoua attira un soir son époux dans un coin et lui chuchota : — As-tu observé ta
eaux. Dans ce jardin, Reskia se promenait de longues heures. Lui, son époux , l'entourait de tendresse, la comblait de présent
r son frère un bonheur encore plus parfait. Elle le maria et la jeune épouse divisa ceux qui étaient aussi unis que les doigts
trailles de la malheureuse qui ne se doutait de rien. Alors, la jeune épouse dit au frère : ‹ As-tu observé ta sœur? Elle est
rsque tu m’as épousé ? H redoubla d’attentions. Il gâta follement son épouse mais ce fut ‹ comme s'il dansait devant un aveugl
ma fortune. Mettons-nous en ménage. Elle y consentit. Alors les deux époux décidèrent que de ces dix sous ils feraient leur
La Puce se mit à moudre le blé. Lorsque le Pou revint, il trouva son épouse en train de mettre la marmite sur le feu. Ils lav
la louche pour la seconde fois, elle voit dans la louche flotter son époux ! Elle laisse retomber la louche, prend la marmit
u poète qui lui a donné l’âme. Que le sultan, mon père, me donne pour épouse Roundja et je guérirai. Dès le lendemain, accompa
i rêvé cette nuit que j’avais décidé ta jeune femme à t’accepter pour époux . Laisse-moi essayer de la convaincre. — Dieu veui
— Dieu m’est venu en aide : La sultane consent à devenir vraiment ton épouse et à descendre de sa tour. Mais elle exige que nu
s, vêtue de longs voiles de soie étoilés d'or. Elle attendait que son époux veuille bien la prendre par la main et l’emmener.
enfant, répondit Settoute. Ne pourrai-tu me venir en aide ? Celle des épouses qui avait le pouvoir de se transformer en nègre d
Smaïn. Et mes deux compagnes qui te sourient du balcon sont aussi les épouses de Cheikh Smaïn • Si tu n'étais aveugle, tu les v
omblé des hommes : il avait retrouvé son pays. Et il vivait parmi des épouses aussi belles que sages qui, loin de se nuire et d
à qu’il voulut lui offrir un festin digne de lui. Alors, celle de ses épouses au visage de lait n’eut qu’à faire tourner un ann
é de Dieu et celle de mon père s’accomplissent 1 — Du moins, reprit l’ épouse , emporte cette ‘levrette dans tes bras : Elle te
vers la fontaine où l’attendait son père : — Maître, lui avait crié l’ épouse qui avait le pouvoir de se transformer en nègre,
us déclariez devant mes sujets qu’il n’y a aucun sacrilège à ce que j’ épouse les veuves de mon fils, j’ordonne que vous clamie
Oui, bonnes gens, il est permis, il est digne et juste que le sultan épouse les veuves de son fils I Une seule voix, inexorab
ne te suffisait pas : tu as corrompu tes Notables, tu as convoité mes épouses et mes biens I » Et Cheik Smaïn, sourd aux cris a
multiples fontaines et des innombrables oiseaux, la fraîcheur de son épouse au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs,
, le pauvre homme était malheureux. Prenait-il le parti de sa mère, l' épouse rassemblait en un éclair son trousseau et courait
nées l’homme vécut en enfer. Mais un jour, l'attirant dans un coin, l' épouse finit par lui dire : — Homme, tant que ta mère vi
e dans le fond d’une petite jarre et tu découvrirais le visage de ton époux . Toutes les bêtes de l’étable — les vaches, les
qu’elle avait glissée dans son corsage. L’Oiseau de l’Orage éleva son épouse dans les airs, vogua à travers des flots d’encre
it l’aider à repousser la tentation de connaître enfin le visage de l' époux , à demeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle étai
des saisons entières; elle attendit durant des années le retour de l’ époux . Mais bien des orages éclatèrent sans qu’elle ent
les trois en un an Et sans que j’aie pu seulement les revoir, Soleil, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœ
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
femme et ses enfans. MORALITÉ Attendre quelque temps pour avoir un époux Riche, bien-fait, galant et doux, La chose est as
tost que cette histoire Est un conte du temps passé. Il n’est plus d’ époux si terrible, Ny qui demande l’impossible, Fût-il
ant aperceu, luy dit qu’il la faisoit la maistresse sur le choix d’un époux , et qu’elle n’avoit qu’à se déclarer. Comme, plus
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