ang coula sur la neige et l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui
épouserait
une femme au teint blanc comme neige et vermeil c
Alors le jeune homme alla trouver son père et lui déclara : — Je veux
épouser
la négresse. — Comment oserons-nous regarder en f
le père. Tu veux notre honte. Mais le jeune homme dit encore : — Je l’
épouserai
ou je mourrai. Il l’épousa. Loundja reçut toutes
Mais le jeune homme dit encore : — Je l’épouserai ou je mourrai. Il l’
épousa
. Loundja reçut toutes sortes de riches présents e
sera-ce d'une chienne?... ne se révèlera-t-elle pas une déesse? › Il
épousa
donc une chienne. La nuit, lorsqu’il fut seul ave
tes pieds Non en suivant tes yeux. Qui a chanté tes louanges, ô jeune
épousée
? — C’est ma mère, en présence de ma tante. Jette
a. Le prince s'en alla trouver son père ; il lui déclara : •— Je veux
épouser
la fille du serpent. Le roi s’indigna. Le prince
par demander : — Mon fils, qu’est-ce qui te guérirait ? — Laisse-moi
épouser
la fille du serpent, dit le prince, et tu verras
our à un enfant. Le sultan était au comble de la joie car, s’il avait
épousé
plusieursxfemmes, aucune ne lui avait donné d’hér
velle au sultan : — Notre fils a rencontré la femme qu’il aime et l’a
épousée
! Le sultan sourit tristement mais n’osa pas la c
e tous les dons et de toutes les grâces. Le cafard s’est marié : Il a
épousé
la grenouille. Le subtil comprend avec un signe d
mme ceux du maïs. Combien sont venus vainement de toutes parts pour l’
épouser
I Le sultan ne la donnera qu’à un homme valeureux
sef. Mais toi, ô Fatima, Bijou finement ciselé, Un morveux hideux t'a
épousée
. Aussi, dès qu'il renifle et que sa morve coule,
sur elle. Je ne regarderai ni à l’argent, ni à rien. Mais, te laisser
épouser
une vagabonde rencontrée par hasard sur le chemin
’aiment trop pour me poursuivre de leur malédiction parce que je t’ai
épousée
contre leur gré. Elle répondit à travers ses larm
viens sommeil T'endormir près de lui ; Frère du repos C’est toi qu’a
épousé
son cœur. Sommeil viens doucement T’étendre près
e terre ne peut devenir pot de verre. La louche s’est mariée : Elle a
épousé
la cuiller. Celui qui est debout, tout le monde l
e prince alla trouver le roi son père et lui déclara : — Moi, je veux
épouser
la fille du surveillant du marché. Te roi s’indig
du marché. Te roi s’indigna : — Comment pourrais-tu, toi fils de roi,
épouser
la fille d'un surveillant ? Ce serait une honte.
eveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier l'aimait. Il l'
épousa
. Il était riche ; il possédait de nombreux champs
élivra la jeune fille. Il l’emmena dans sa demeure. Il la soigna et l'
épousa
. A mesure que Reskia parlait, elle voyait pâlir s
peine, La jeune femme revivait Le jour de ses noces. Un hibou l’avait
épousée
Pour la sevrer de joie Tant le matin que la nuit.
pas d’entrailles? Tu en as pourtant accepté la charge lorsque tu m’as
épousé
? H redoubla d’attentions. Il gâta follement son
de beignets que les fillettes devaient porter en offrande à la jeune
épousée
. La marâtre donna par surcroît des paniers d’œufs
et la prospérité d’antan. Les jeunes filles, à l'exception de Aïcha,
épousèrent
des princes venus des royaumes voisins. Aïcha rég
Ma volonté te voici satisfaite : Nul n’est responsable que moi. J’ai
épousé
un homme que ma main a choisi Et ma main, aujourd
t que rose. Le sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon fils, a résolu d’
épouser
votre sœur ou de mourir. ■Les sept frères allèren
belle que lune et que rose. A peine la vit-il, notre sultan ébloui l’
épousa
. Mais, elle, dit-on, s’est enfermée dans une tour
ls, j’ordonne que vous clamiez bien fort qu’il est permis au sultan d’
épouser
les veuves de son fils. — Bien. Seigneur, répondi
Malheur au père qui ose convoiter .ses brus. Malheur au père qui ose
épouser
les veuves de son fils, car il commet un sacrilèg
ns heureux. Quant à toi, amandier, Incline-toi vers moi. J'aimerais t'
épouser
, Mon père ne le veut pas. Viens à moi, basilic, Q