e porta vers elle et découvrit une maisonnette, entourée d’une haie d’
épines
. Il appela ; une jeune fille se montra. Dieu seul
hait à la.fois à la terre et au ciel. Sa tête était un vrai buisson d’
épines
. Elle entra en se courbant. Dès le seuil, elle as
ici que pour toi. — Bien, lui dit-elle. Et ils sortirent. Une haie d’
épines
les arrêta. Loundja dit : — O haie de miel et de
a dit : — O haie de miel et de beurre, laisse-nous passer I La haie d'
épines
s’ouvrit pour les laisser passer et se referma de
. Loundja m’a abandonnée I Et elle partit à sa recherche. A la haie d’
épines
elle dit d’une voix furieuse : — Haie d'ordures,
e dit d’une voix furieuse : — Haie d'ordures, laisse-moi passer I Les
épines
se firent plus aiguës, grandirent démesurément. T
pu ^réer. La course avait rendu son visage semblable à une rose ; les
épines
avaient égratigné ses pieds et ses mains. Ses vêt
de chaume. Les cheveux se dressaient vers le ciel comme un buisson d’
épines
. C’était Tseriel. Elle se dirigea vers le métier
piétiner?» (j'entends encore sa voix sifflante). M’ayant planté cette
épine
dans le cœur, elle disparut et je revins au palai
r son dos. Us traversèrent la cour et se trouvèrent devant une haie d’
épines
. Le Subtil se fraya un passage et dit à son frère
ines. Le Subtil se fraya un passage et dit à son frère : — Remets les
épines
I L’Innocent déposa la porte pour prendre sur son
es I L’Innocent déposa la porte pour prendre sur son dos un buisson d’
épines
. Il faisait nuit. Le Subtil courait droit devant
es gens de l'approcher. Ils ne souffraient pas de le voir toucher une
épine
. Us le virent ainsi grandir à l’abri du mal, de l
er cette nuit. Ils avancèrent avec peine vers la maison qu’une haie d’
épines
défendait. Mehend appela : un homme très grand se
qu’Allah.) Provbrbb J’ai reçu mille coups Et tu viens me retirer une
épine
I 0 VOUÏEDHMIM, MON FILS I Que mon conte so
é dans la marmite et il a disparu ! La brebis s’approche d’une haie d'
épines
et y accroche sa toison. La haie d’épines se penc
bis s’approche d’une haie d'épines et y accroche sa toison. La haie d’
épines
se penche et demande : — Qu’as-tu, Dame Puce? — H
aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu ! La haie d'
épines
se déracine et va se précipiter dans le fleuve. L
j’ai? Hou ! hou I Que n’est-il arrivé I Le fleuve démonté, la haie d’
épines
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie ,1a
ou ! Ce que j’ai ? Que n’est-il arrivé l Le fleuve démonté, la haie d’
épines
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
Que n’est-il arrivé ! Le rocher éboulé, le fleuve démonté, la haie d’
épines
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
rsé, le soleil en'fui, le rocher éboulé, le fleuve démonté, la haie d’
épines
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
déchaînée s’avance et balaie tout. Plie entraîne le rocher, la haie d’
épines
, la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépou
es. Et ma vue s'est tant obscurcie Que je ne puis même distinguer une
épine
. La mort de mes fils bien-aimés A laissé mon cœur