comme sang abandonna la perdrix à son compagnon, mit son fusil sur l' épaule et suivit la direction qui lui était indiquée. Il

charge de laine et lui ôta la sacoche de provisions qui pendait à son épaule . Ils rentrèrent. Elle alluma la lampe à huile ; e

is plus faire un pas. Alors le Crapaud la prit à califourchon sur ses épaules . Au bout d’un moment, il dit agacé : — Quelle est

’est la laine I Le Crapaud, excédé, jeta la Grenouille par-dessus son épaule . Or, près de là, se trouvait une mare. La Grenoui

r tous les chiens du voisinage. Le vent rabattit les flammes vers ses épaules . Le feu gagna ses vêtements et descendit jusqu'à

rmit. Dans son sommeil, il sentit une main se poser doucement sur son épaule et il entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Me

que è l’arbrisseau et se rendormit, la tête du benjamin confiée à son épaule . Le benjamin et l’aîné dormaient depuis un long m

me réveiller qu’au crépuscule. Une main ferme et tendre me touchait l' épaule , une voix persuasive me disait à l’oreille : «Meh

s devenir folle et tu fuis de dégoût Pour t'abattre en pleurant sur l' épaule de ton père. Et toi, Djohra Orner, Si joliment fo

lescent, il alla de champ en champ et de bois en bois, le fusil sur l’ épaule , au gré de sa fantaisie. Il rencontra un jour une

endre en train de moudre du grain : elle aura ses seins rejetés sur l’ épaule . Toi, élance-toi sur elle, empare-toi d’un de ses

esse, nue jusqu’à la ceinture, les yeux clos, ses seins rejetés sur l’ épaule , était en train de moudre du blé, tout en chantan

ses adieux. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) La mort atteint les épaules Sa maison est pleine et regorge, Que ses mérites

t. Reskia se leva dès l'aube. Elle s’habilla pauvrement, jeta sur son épaule l'outre aux serpents, prit son fils d’une main, u

isparu I 'Le Porteur laisse tomber ses outres pleines, charge sur ses épaules les bâts et abandonne ses ânes. Une voisine qui s

. Elle fit quelques pas, mais les cailloux se mirent à lui piquer les épaules . Elle s’écria : — Retire tes genoux, Velâjoudh, i

s tu ne te sauveras pas ! dit-elle en jetant à la hâte Poutre sur son épaule . Velâjoudh essaya vainement de la piquer avec ses

mps ? — Moi I dit Yamina, la plus jeune des filles. Elle jeta sur ses épaules une vieille couverture, traversa la cour sous l'a

prit l’écuelle encore chaude qu’il posa sur le seuil, chargea sur ses épaules la fillette et s’envola avec elle comme un oiseau

travaux des champs. Elle se rendit & la fontaine, la cruche sur l' épaule . Elle mangea la nourriture frugale mais savoureus

in. Il la prit une dernière fois dans ses bras. Il la chargea sur son épaule et l’emporta à travers la pluie et les éclairs. Y

s la salle des gardes, qui estoient rangez en haye, la carabine sur l’ épaule , et ronflans de leur mieux. Il traverse plusieurs