rand des aigles se vengea : il prit sous son aile le jeune homme et l'
éleva
dans les airs. Loundja s'écria : — Oh, j’ai trahi
coup de roseau sur l’aile. Et il laissera ton fils tomber. Le père s’
éleva
donc sur le plus haut sommet, sacrifia la génisse
êtes ; il pourrait t’arriver malheur si tu t’aventurais. Le serpent l’
éleva
. Il fut pour elle à la fois un père et une mère.
'or qui jouaient et se poursuivaient de façon charmante. Un vieillard
élevait
dans ses bras le septième enfant aux cheveux d’or
t recevait de l’huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à
élever
ses sept enfants. Quelques-uns la secondaient et
pour pleurer sur la tombe de leur mère. Mais voici que deux roseaux s’
élevèrent
de la tombe. L’un donnait du beurre et l'autre du
t au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’arbre tandis que Aîcha s’
élevait
jusqu'aux plus hautes palmes. Les hommes qui la p
une fille si belle qu’autour d’elle tout semblait plus lumineux. Il l’
éleva
dans les airs, l’assit devant lui sur son cheval
tent les monts. › Son amour pour toi l’affole au point qu’il voudra s’
élever
vers les hauteurs inaccessibles où les aigles le
e se battent les monts. Le père des aigles le prit sous son aile et l’
éleva
vers le Septième Mont, de tous le plus majestueux
nt. Elle le porta dans ses bras durant des jours et des jours. Elle l'
éleva
, le nourrit de la moelle que la lapine avait reti
ient les sept Notables comme de blancs ramiers. Une immense clameur s’
éleva
: c’étaient six, parmi les Notables, qui criaient
nt, C’est la joie qui fait fleurir. Chant de méditation J'entendais s'
élever
l'appel à la prière Quand un sommeil perfide endo
r près du figuier. Un beau matin, Velâjoudh retourna au figuier. Il s’
éleva
jusqu'à la plus haute branche et, regardant non p
confiance, N’en laissant même pas un brin l Proverbe Celui qui veut s'
élever
en vertu Qu'il soit humble et doux ; Celui qui ve
de redécouvrir. Il attendit que la nuit fût très obscure. Alors, il s’
éleva
dans le ciel, tenant Yamina endormie sur son cœur
te bougie qu’elle avait glissée dans son corsage. L’Oiseau de l’Orage
éleva
son épouse dans les airs, vogua à travers des flo