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1 (1966) Le grain magique
rand des aigles se vengea : il prit sous son aile le jeune homme et l' éleva dans les airs. Loundja s'écria : — Oh, j’ai trahi
coup de roseau sur l’aile. Et il laissera ton fils tomber. Le père s’ éleva donc sur le plus haut sommet, sacrifia la génisse
êtes ; il pourrait t’arriver malheur si tu t’aventurais. Le serpent l’ éleva . Il fut pour elle à la fois un père et une mère.
'or qui jouaient et se poursuivaient de façon charmante. Un vieillard élevait dans ses bras le septième enfant aux cheveux d’or
t recevait de l’huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à élever ses sept enfants. Quelques-uns la secondaient et
pour pleurer sur la tombe de leur mère. Mais voici que deux roseaux s’ élevèrent de la tombe. L’un donnait du beurre et l'autre du
t au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’arbre tandis que Aîcha s’ élevait jusqu'aux plus hautes palmes. Les hommes qui la p
une fille si belle qu’autour d’elle tout semblait plus lumineux. Il l’ éleva dans les airs, l’assit devant lui sur son cheval
tent les monts. › Son amour pour toi l’affole au point qu’il voudra s’ élever vers les hauteurs inaccessibles où les aigles le
e se battent les monts. Le père des aigles le prit sous son aile et l’ éleva vers le Septième Mont, de tous le plus majestueux
nt. Elle le porta dans ses bras durant des jours et des jours. Elle l' éleva , le nourrit de la moelle que la lapine avait reti
ient les sept Notables comme de blancs ramiers. Une immense clameur s’ éleva : c’étaient six, parmi les Notables, qui criaient
nt, C’est la joie qui fait fleurir. Chant de méditation J'entendais s' élever l'appel à la prière Quand un sommeil perfide endo
r près du figuier. Un beau matin, Velâjoudh retourna au figuier. Il s’ éleva jusqu'à la plus haute branche et, regardant non p
confiance, N’en laissant même pas un brin l Proverbe Celui qui veut s' élever en vertu Qu'il soit humble et doux ; Celui qui ve
de redécouvrir. Il attendit que la nuit fût très obscure. Alors, il s’ éleva dans le ciel, tenant Yamina endormie sur son cœur
te bougie qu’elle avait glissée dans son corsage. L’Oiseau de l’Orage éleva son épouse dans les airs, vogua à travers des flo
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
e rien ne marque tant la vaste estenduë d’un esprit, que de pouvoir s’ élever en même temps aux plus grandes choses, & s’ab
s’égaroient , et s’enfonçoient dans la Forest. La nuit vint, et il s’ éleva un grand vent qui leur faisoit des peurs épouvent
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