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1 (1966) Le grain magique
our chenet. Son pied pour tisonnier. Sa main pour pelle à cendre. Ils égorgèrent donc la négresse. Ils la brûlèrent et répandirent
us la neige, chasser dans la montagne. Ils tuèrent une perdrix. Ils l’ égorgèrent , son sang coula sur la neige et l’empourpra. L’un
sa femme lui déclara : — Puisque tu ne parviens pas à la vendre, tu l’ égorgeras . Car la vache qui a frappé ma fille, ne saurait v
r la vache qui a frappé ma fille, ne saurait vivre dans ma maison. Il égorgea la vache. Les orphelins se rendirent alors au cim
n faisant le tour. La femme jalouse finit par dire à un serviteur : — Egorge -moi cette gazelle ! L’homme prit un grand couteau
femme jalouse demanda successivement à tous les serviteurs de la lui égorger . Mais tous lui répondirent : — Nous ne pouvons tu
nt dispersés par les champs I Le chrétien leur donne la chasse Et les égorge par les chemins. O Dieu, n'aurez-vous pas pitié ?
ons Laounis, le bien-aimé. Comme il revenait du Sud Des bandits l'ont égorgé . Toi, son père, rai dis toi dans ta douleur. Et t
! Comme qui ferait de l’œil à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A MANGÉ MA SŒUR A RASSEMBLÉ MES OS L’o
amps et de boire à la source. Il était rose et tout essoufflé. Elle l’ égorgea comme un agneau et le coupa en morceaux qu’elle j
u linge, un matin, pour se poser sur le toit et chanter : Ma mère m’a égorgé , égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a
un matin, pour se poser sur le toit et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé ... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemb
rs que l'oiseau se posa sur le toit et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé , égorgé... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a
'oiseau se posa sur le toit et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé ... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemb
voici : Empare-toi d’une génisse ; la plus belle que tu trouveras, et égorge -la dans la montagne. Les aigles descendront du ci
e de la génisse la plus grasse. Il la conduisit dans la montagne et l’ égorgea . Caché derrière un arbre, il attendit les aigles.
orps : alors, toi, fais le mort et laisse-toi tomber. Le nègre fidèle égorgea dans la nuit un agneau. H remplit de sang un long
n eut-elle ouvert la porte, que Velâjoudh lui sautait à la gorge. H l’ égorgea , et la jeta dans la marmite. Tl revêtit alors ses
u qu’Allah.) Loué soit le Cheikh tout-puissant Qui ressuscite le bœuf égorgé . (U n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes E
rs et de vent      85 'Le subtil et l’innocent      99 Ma mère m’a égorgé , mon père m’a mangé, ma sœur a rassemblé mes os
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
t toutes les femmes que la Barbe-Bleuë avoit épousées. et qu’il avoit égorgées l’une aprés l’autre). Elle pensa mourir de peur,
i craignoit quil ne prit à l’Ogre quelque remords de ne les avoir pas égorgés dés le soir même, se leva vers le milieu de la nu
es prit pour ses filles, et ses filles pour les garçons qu’il vouloit égorger . La chose réüssit comme il l’avoit pensé ; car l’
n haut, où elle fut bien surprise lorsqu’elle aperçût ses sept filles égorgées et nageant dans leur sang. Elle commença par s’év
son de l’Ogre où il trouva sa femme qui pleuroit auprés de ses filles égorgées . Vostre mary, lui dit le petit Poucet, est en gra
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