épandirent en écheveaux de soie jusqu’à la taille. Mais la négresse s'
écria
: — Mes frères bien-aimés, comment pourraisjje de
ir. Elle jeta un regard sur le lit de Loundja et elle comprit. Elle s’
écria
: — Loundja ma fille m’a trahie. Loundja m’a aban
prit sous son aile le jeune homme et l'éleva dans les airs. Loundja s'
écria
: — Oh, j’ai trahi ma mère, et me voici trahie à
raçonnée de soie et le roi l’escorta. Mais au bout d’un moment elle s'
écria
: — J’ai oublié mon peigne I Elle descendit de sa
de la lumière, car ses cheveux étaient d’or et d’argent. Le sultan s’
écria
: — C’est Aïcha 1 Qui a pu la conduire là ? Il la
'épie du grenier I Proverbes L’âne est emporté par la rivière Et il s'
écrie
: « O les beaux pâturages ! » Le feu engendre la
fut seule à lui barrer le chemin. Comme Mehend la bousculait, elle s’
écria
: — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour f
e faucon déclara : — Je guérirai la jeune princesse. — O mon frère, s’
écria
Mehend devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’a
oup mortel et s’abattit sur le sol, les ailes étendues. Les bergers s’
écrièrent
: — Que Dieu renforce ton bras. Nous te rendons g
t pour lui barrer le chemin : — Ta renommée est venue jusqu’à nous, s’
écrièrent
-ils. Accepte notre hospitalité et tue-nous le lio
paradis s’y trouvaient et toutes les fleurs et tous les oiseaux. Il s’
écria
: — Je comprends maintenant pourquoi le sultan cr
te couvre de ses bienfaits ! Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’
écria
le sultan. Et il courut porter l’heureuse nouvell
toute la nuit. Lorsqu'ils lui eurent raconté leur aventure, la mère s’
écria
: — Que m'importe l'âne, que m’importent les fève
jeune homme bondit et referma la bouche sur l’un de ses seins. Elle s'
écria
: — Malheureux ! si tu n'avais bu de mon lait, je
ne de vous en emportera la moitié.» Alors il entendra la vraie mère s’
écrier
: «Seigneur, ne le tue pas, au nom de Dieu I › •Le
rte une lame pour que nous partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’
écria
l’une des femmes, il mourra 1 Alors le roi lui te
devras parcourir, d’étape en étape, nourris-le d'un peu de moelle et
écrie
-toi : ‹ O joie, mon frère gazouille, mon frère so
fillette s'arrêta, mit un peu de moelle entre les lèvres du bébé et s'
écria
: — O joie, mon frère gazouille et sourit ! Elle
un village. Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’
écria
: — O joie, mon frère met un pied en avant I Elle
it droit devant elle. Près d’un ruisseau, elle déposa l’enfant pour s'
écrier
: — O joie, mon frère marche ! Et elle le vit mar
de galette. Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’Ali et s’
écria
: — O joie, mon frère est un petit homme, il pour
nirent et Reskia offrit à son frère ce qui lui restait de moelle en s’
écriant
: — O joie, mon frère est un homme, mon frère est
voix forte. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Loué soit Dieu I s’
écria
le vieillard. Il a eu la mort qui depuis toujours
lissa dans sa poche. — C’est lui, c’est bien lui ! Dieu soit loué I s’
écrièrent
Roundja et sa compagne au visage de lait. Et un g
ues pas, mais les cailloux se mirent à lui piquer les épaules. Elle s’
écria
: — Retire tes genoux, Velâjoudh, ils me font mal
essant Tseriel au pied. — Que Dieu te trompe comme tu m’as trompé I s’
écria-t
-elle. Un jour sera ton jour et je t’attraperai. D
dés d’allégresse et d’espoir : — Où allons-nous te mettre, ô joie ! s’
écrièrent
-ils. Nous ne connaîtrons plus la peur. Nous pourr
pour entrer dans la cour et se dresser devant eux. — O notre fille, s’
écrièrent
-ils, est-ce bien toi que nous pensions à jamais p
, & ne jamais chercher à le surprendre. — Et toi, pauvre naïve, s'
écrièrent
ses sœurs indignées, tu as vécu tout ce temps san