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1 (1966) Le grain magique
épandirent en écheveaux de soie jusqu’à la taille. Mais la négresse s' écria : — Mes frères bien-aimés, comment pourraisjje de
ir. Elle jeta un regard sur le lit de Loundja et elle comprit. Elle s’ écria : — Loundja ma fille m’a trahie. Loundja m’a aban
prit sous son aile le jeune homme et l'éleva dans les airs. Loundja s' écria : — Oh, j’ai trahi ma mère, et me voici trahie à
raçonnée de soie et le roi l’escorta. Mais au bout d’un moment elle s' écria : — J’ai oublié mon peigne I Elle descendit de sa
de la lumière, car ses cheveux étaient d’or et d’argent. Le sultan s’ écria : — C’est Aïcha 1 Qui a pu la conduire là ? Il la
'épie du grenier I Proverbes L’âne est emporté par la rivière Et il s' écrie : « O les beaux pâturages ! » Le feu engendre la
fut seule à lui barrer le chemin. Comme Mehend la bousculait, elle s’ écria : — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour f
e faucon déclara : — Je guérirai la jeune princesse. — O mon frère, s’ écria Mehend devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’a
oup mortel et s’abattit sur le sol, les ailes étendues. Les bergers s’ écrièrent : — Que Dieu renforce ton bras. Nous te rendons g
t pour lui barrer le chemin : — Ta renommée est venue jusqu’à nous, s’ écrièrent -ils. Accepte notre hospitalité et tue-nous le lio
paradis s’y trouvaient et toutes les fleurs et tous les oiseaux. Il s’ écria : — Je comprends maintenant pourquoi le sultan cr
te couvre de ses bienfaits ! Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’ écria le sultan. Et il courut porter l’heureuse nouvell
toute la nuit. Lorsqu'ils lui eurent raconté leur aventure, la mère s’ écria : — Que m'importe l'âne, que m’importent les fève
jeune homme bondit et referma la bouche sur l’un de ses seins. Elle s' écria : — Malheureux ! si tu n'avais bu de mon lait, je
ne de vous en emportera la moitié.» Alors il entendra la vraie mère s’ écrier : «Seigneur, ne le tue pas, au nom de Dieu I › •Le
rte une lame pour que nous partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’ écria l’une des femmes, il mourra 1 Alors le roi lui te
devras parcourir, d’étape en étape, nourris-le d'un peu de moelle et écrie -toi : ‹ O joie, mon frère gazouille, mon frère so
fillette s'arrêta, mit un peu de moelle entre les lèvres du bébé et s' écria : — O joie, mon frère gazouille et sourit ! Elle
un village. Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’ écria : — O joie, mon frère met un pied en avant I Elle
it droit devant elle. Près d’un ruisseau, elle déposa l’enfant pour s' écrier : — O joie, mon frère marche ! Et elle le vit mar
de galette. Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’Ali et s’ écria : — O joie, mon frère est un petit homme, il pour
nirent et Reskia offrit à son frère ce qui lui restait de moelle en s’ écriant : — O joie, mon frère est un homme, mon frère est
voix forte. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Loué soit Dieu I s’ écria le vieillard. Il a eu la mort qui depuis toujours
lissa dans sa poche. — C’est lui, c’est bien lui ! Dieu soit loué I s’ écrièrent Roundja et sa compagne au visage de lait. Et un g
ues pas, mais les cailloux se mirent à lui piquer les épaules. Elle s’ écria : — Retire tes genoux, Velâjoudh, ils me font mal
essant Tseriel au pied. — Que Dieu te trompe comme tu m’as trompé I s’ écria-t -elle. Un jour sera ton jour et je t’attraperai. D
dés d’allégresse et d’espoir : — Où allons-nous te mettre, ô joie ! s’ écrièrent -ils. Nous ne connaîtrons plus la peur. Nous pourr
pour entrer dans la cour et se dresser devant eux. — O notre fille, s’ écrièrent -ils, est-ce bien toi que nous pensions à jamais p
, & ne jamais chercher à le surprendre. — Et toi, pauvre naïve, s' écrièrent ses sœurs indignées, tu as vécu tout ce temps san
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ce costé-cy, mais ils sont bien loin encore. » « Dieu soit loué ! s’ écria-t -elle un moment aprés, ce sont mes freres. Je leur
de monsieur le marquis de Carabas ! — Comment, monsieur le marquis, s’ écria le roy, ce chasteau est encore à vous ? Il ne se
ondit la brutale en jettant deux viperes et deux crapaus. — O Ciel, s’ écria la mere, que vois-je là ? C’est sa sœur qui en es
agoter, nous n’avons qu’à nous enfuir sans qu’ils nous voyent. Ah ! s’ écria la Bucheronne, pourois-tu toy-même mener perdre t
sa femme lors qu’il vit cet affreux spectacle. Ah, qu’ay-je fait là s’ écria-t -il, ils me le payeront les malheureux, et tout à
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