J'ai trouve cette garde intéressante sur le plan humain, c'est une bonne chose d'être confronté à cela.
Cette nuit nous confronte à la solitude des personnes défavorisées.
La maraude est une partie très intéressante de la garde durant laquelle on est confronté aux problèmes de la rue. […] Les équipes peuvent aussi être confrontées à la violence et devoir faire preuve de fermeté face aux personnes demandeuses.
Par ailleurs, cette nuit m'a permis d'être confronté directement à la dureté de certaines situations et de certaines histoires. Ainsi, je pense que c'est une bonne chose que cette garde soit rendue obligatoire car elle nous montre une approche plus humaine des situations très précaires auxquelles nous sommes confrontés à l'hôpital.
Cela nous permet d'être confrontés à la réalité sociale.
C'était parfois dur aussi de se confronter à la détresse de certaines personne.
Je trouve cette expérience extrêmement enrichissante Elle nous a permis d'être confronté a la réalité des problèmes sociaux et l'importance d'aider certaines personnes en difficultés.
Je remercie la faculté de nous confronter aux réels problèmes sociaux, indispensables à notre future pratique médicale.
J'ai trouvé ça très intéressant humainement d'être confronté à la pauvreté surtout à Paris.
Me confronter à autant de misère et me sentir totalement impuissante face à celle-ci était perturbant.
Facilite les relations lorsqu'on sera confronté à des patients dans cette situation au cours de notre cursus.
Je considère que cette soirée m'a été utile dans la mesure ou elle nous confronte à la réalité des personnes vivants dans la rue et les difficultés auxquelles elle doivent faire face.
C'était une expérience très enrichissante, nous manquons d'experience dans le domaine du social dans nos études de medecine, et pourtant nous sommes confrontés tous les jours a la misère du monde.
Faire sortir les étudiants en Médecine de leur fac et de leurs hôpitaux est une très bonne chose et les confronter à ces situations sociales difficiles est humainement enrichissant.
Je trouve que la garde au SAMU social met bien en avant les problèmes sociaux auxquels ont est amené à être confronté à l'hôpital et les solutions qui peuvent être amenées.
J'ai été positivement surprise de voir qu'il y avait des structures d'accueil avec beaucoup de places (je n'ai pas été confrontée à l'impossibilité de trouver un lit pour quelqu'un qui en cherchait, mais peut être était-ce de la "chance"). […] Pour un futur médecin c'est important d'être confronté à toutes les populations et de comprendre un peu mieux le mode de vie de certaines personnes.
L'expérience est juste quelque peu difficile sur le plan moral mais en même nous confronte à une réalité que l'on n'imagine pas toujours.
Expérience intéressante, la garde au samu social permet de se sensibiliser au quotidien d'équipes confrontées à une misère finalement peu vue en médecine.
C'était une garde très intéressante qui m'a permis de découvrir un autre versant de ce milieu défavorisé auquel on est confronté souvent à l'hôpital.
Le fait d être confronte à ce genre d ateliers remet rapidement les idées en place et permet de prendre du recul sur nos petits problèmes du quotidien.
J'ai été confronté à la dureté de la vie dans les rues de paris, et de l'extrême précarité et insalubrité dans laquelle les sdf sont obligés de survivre.
Enfin le plus exigent moralement est d’être confronté à des situations d'échecs auprès de personnes rencontrées régulièrement auxquelles on s'attache.
Elle nous confronte directement, sans le biais médiatique, aux difficultés rencontrées par les équipes pour trouver un abris aux personnes à la rue.
Elle m'a en effet permis d'observer de plus près la détresse de certaines personnes, qui est encore différente de celle face à laquelle nous sommes confrontés tous les jours à l'hôpital.
Cette maraude fût une première pour moi, c'était très enrichissant, elle nous change de notre cadre hospitalier où l'on nous confronte à une inégalité face à la santé, cette fois c'était une inégalité sociale qui n'en est pas moins pire.
La garde au samu social nous confronte avec une dure réalité qui hélas peut très facilement passer inaperçue : la misère.
Cela permet de nous confronter aux situations les plus difficiles socialement, qui sont souvent associés à une détérioration de l'état de santé.
J'ai trouvé ce stage court au samu social très intéressant sur le point de vue humain car ce sont des situations auxquelles nous ne sommes pas confrontés lors de nos stages à l'hôpital.
Cette garde permet de comprendre le fonctionnement du Samu Social, l'investissement des équipes, les problèmes auxquels ils sont confrontés comme le manque de place dans les centres de logement...
Cette nuit est un bon complément à la formation, c'est important de savoir qu'un tel service existe et de se faire une idée des problèmes et des difficultés auxquels il est confronté.
C'est une expérience enrichissante tant sur le plan personnel ( je n'avais sans doute jamais bien pris conscience de l'ampleur des difficultés auxquels étaient confrontés les personnes démunis de logement) que sur le plan professionnel.
Pour la nuit dans le camion, on est vraiment confronté a la misère sociale, et on réalisé a quelle point c'est dur de dormir dehors par ce temps froid et pluvieux.
La garde était très intéressante, et soulevait des questions auxquelles nous sommes peu confrontés directement à l'hôpital.
En effet, cette garde permet aux étudiants d'aborder la dimension sociale et humaine de leur futur métier et de nous confronter à des situations qu'on a pas l'habitude de voir en stage à l'hopital.
Cette nuit faisait parti des première nuits froides de l'année et cela m'a permis de constater les difficultés d'organisation auxquelles est confronté le personnel du SAMU social alors que les places d'hiver ne sont pas encore ouvertes.
Nous sommes souvent confrontés à des personnes sans-abris qui viennent demander de l'aide aux urgences, et là avec le samu social on apprend à les voir différemment, "sur le terrain", et à comprendre leur détresse dans une perspective autre que celle du soin.
On est parfois confronté à des situations dramatiques, parfois sans cause médicale, ce qui nous permet d'apprendre comment aider des personnes dans le besoins autre que par le fait de les traiter.
C'est une partie intéressante de la garde, qui permet de se rendre compte des difficultés pratiques auxquelles sont confrontées les personnes les plus défavorisées.
Il est vrai qu'on y va (un peu) à reculons au début, mais d'être confronté à la misère social, en présence de personne qui la côtoie tout les jours, permet vraiment de nous sensibiliser sur les plus démunies qu'on a un peu trop vite tendance à voir comme faisant parti du décors...
Humainement c'était très enrichissant, Ca nous confronte à une réalité qu'on imagine pas forcement ou du moins pas comme ça, et à une réalité qu'on ne voit pas à l'hopital mais qui est tout à fait complémentaire à notre pratique clinique.
Pour cela, ce stage est très utile du point de vue médical, en étant confrontés à des personnes que nous n'avons pas l'habitude de rencontrer, et zn nous permettant de comprendre les détresses sociales auxquelles peuvent être soumis les patients que nous rencontrerons pendant notre pratique.
L'équipe était aimable et à notre écoute mais le travail réalisé pendant la nuit était fastidieux et d'une maigre utilité pour nous, dans la mesure où nous sommes déjà confrontés régulièrement à ce genre de situation lors de nos stages.
Expérience humaine enrichissante, c'est la première fois que j'étais confronté frontalement à la "misère humaine".
Elle permet de réaliser les difficultés auxquelles ces personnes peuvent être confronté qui sont très divers (à la fois soucis d'intégration, de travail non déclarés et des arnaques subient dont profitent certains chefs d'entreprise, problème d'abri pour la nuit, lutter contre le froid, se nourrir...).
Elle permet de réaliser les difficultés auxquelles ces personnes peuvent être confronté qui sont très divers (à la fois soucis d'intégration, de travail non déclarés et des arnaques subient dont profitent certains chefs d'entreprise, problème d'abri pour la nuit, lutter contre le froid, se nourrir...).
Le plus perturbant, c'est d'être confrontée à la précarité de certaines personnes ne paraissant pas dans le besoin au premier abord.
Ce fut une expérience fort enrichissante: se confronter à la dureté de la rue et se rendre compte en discutant avec un des sans domicile fixe qu'au final on pourrait tous se retrouver dans leur situation un jour ou l'autre.
Pour ma part, cette nuit a été très enrichissante car elle nous confronte à la réalité du quotidien des plus démunis.
En effet nous serons confrontés dans notre vie professionnelle à la précarité sociale.
Les études de médecine nous confrontent à une douleur physique, morale parfois, mais il me semble important de prendre conscience de la détresse plus globale et la peur du lendemain qu'éprouvent les hommes et femmes rencontrées.
Il est en effet important d'être confronté à cette misère sociale que l'on côtoie mais à laquelle nous ne réfléchissons pas forcément...
C'est assez violent de se confronter à la détresse de ces personnes.
Cette garde permet de se confronter concrètement à des réalités dont on a conscience, mais qui peuvent rester assez abstraites dans la vie quotidienne.
J'avais déjà été confrontée en stage à des patients sans domicile fixe mais la préoccupation sociale de leur orientation était restée pour moi assez floue.
Le SAMU social nous permet de nous confronter au monde réel et à ses difficultés.
J’ai pu etre confronté à une réalité, que certes on peut voir tous les jours, mais qui en participant de manière tellement active me montre qu’on peut vraiment faire la différence, faire quelque chose pour aider.
Il est bon d'etre parfois confrontés a la misère et a la détresse qui nous entoure, dont on ne prend pas toujours consience a l'hopital lorsqu'on renvoie une personne sans domicile dans la rue, en fermant les yeux sur le fait qu'il ne pourra probablement pas etre pris en charge et continuer les soins nécessaires a son retablissement.
Je trouve que c'est une expérience importante à vivre, d'autant plus pour les gens qui exerceront des métiers sociaux par la suite, et qui seront forcément confrontés à des situations un peu similaires à celles qu'on a pu voir pendant la garde.
Durant ma garde, mon équipe a été confrontée à la mort d'un SDF qu'il connaissait très bien et a été dans l'incapacité de continuer la maraude.
Nous sommes déjà confronté aux classes sociales défavorisées tout au long de nos stages.
A chaque intervention, les membres de l'équipe ont pu m'expliquer les différentes situations auxquelles nous étions confronté à partir de leur expérience personnelle au sein du Samu et les différents moyens qui pouvaient être mis en place.
Ceci étant, pour les étudiants ayant stage aux urgences, l'expérience peut paraître redondante puisqu'il s'agit d'une population à laquelle nous sommes deja confrontés toutes les nuits de garde, avec globalement les mêmes problématiques et les mêmes histoires tragiques.
J'ai été confrontée à quelques situations téléphoniques difficiles où nous devions dire aux gens de rester dirmir dehors mar manque de place.
La double écoute est aussi intéressante mais peu vite s'avérer difficile, les opératrices étant confrontées à la précarité et à la détresse des gens.
Elle nous permet d’être confrontés à une précarité sociale extrême, à quelques pas de nos lieux de stages ou de vie, qui nous serait impossible de côtoyer aussi fortement lors de nos stages hospitaliers.
Je trouve cette expérience importante, pour notre cursus tout comme dans d'autres cursus, car elle nous oblige à nous confronter à une réalité devant laquelle nous fermons bien trop souvent les yeux...
J'ai appris beaucoup de choses sur le fonctionnement du SAMU SOCIAL et sur les situations auxquelles on est confronté lors des gardes.
Le 1er décembre était une des premières nuit de grand froid, aussi j'ai été confrontée au manque important de lits malgré les conditions météorologiques difficiles.
J'ai beaucoup apprecié cette garde qui a pu m'ouvrir les yeux sur certains aspects de notre beau pays dont j'etais consciente mais auxquels je n'avais jamais été confrontée réellement : un gros travail reste à faire pour l'hebergement et j'espere que nous arriverons à ce qu'un jour plus personne en France ne passe la nuit dehors .
Se confronter à la misère sociale et à l'injustice pour mieux réaliser les difficultés de la vie pour certains et donc mieux les prendre en charge dans l'avenir, en restant patient et compréhensif.
En effet, je n'avais jamais eu l'occasion de faire de la double écoute, et malgré le fait que se soit assez passive dans le sens où nous ne pouvons pas intervenir dans la conversation ou donner notre avis, j'ai particulièrement apprécié prendre le temps d'écouter les gens et de comprendre la difficulté bien réelle auquelle ils sont confrontés.
En terme de médecine, on n'apprend pas grand chose et il est fatiguant de caler une garde au milieu d'un programme universitaire et hospitalier déjà surchargé, mais cet aspect social est intéressant à développer, surtout pour des personnes n'ayant jamais été confrontées à ce genre de situation.
Je suis allée à cette garde sans rien connaitre au fonctionnement du samu social et je ne savais pas à quel type de personnes j'allais être confrontée durant la nuit.
D'ailleurs, occasion de découvrir le guide Solidarité à Paris qui nous pourra être fort utile en tant que étudiants en médecine souvent confrontés à des patients en situation de précarité.
Cela m'a beaucoup sensibilisé de voir les difficultés auxquelles sont confrontés quotidiennement tant de gens,l'injustice et le décalage qui existe par rapport à "notre" réalité.
L'importance de cette garde consiste à se confronter à des personnes trop souvent laissées de côté, des personnes pour qui nous avons trop d'à priori.
Ce fut une nuit très enrichissante pour moi et que je ne suis pas prêt d'oublier, en effet être confronter à la misère des gens, et constate qu'ils arrivent à vivre dans des conditions déplorables, m'a beaucoup touché.
Cette expérience était à la fois très bénéfique pour quelqu'un comme moi qui n'a jamais été confronté aux difficultés sociales de certains, mais également très décevante en terme d'aide qui est apportée à ces gens qui n'ont plus rien.
Cette garde est une excellente idée pour des étudiants en médecine, nous sommes souvent confrontés à l'hospitalisation de ces personnes et cette expérience nous permet de mieux appréhender le contexte et d'eviter des jugements attifs.
Cela permet d'être confronté à une détresse sociale, qu'on sait exister mais dont on ne connait au final pas grand-chose, tout en étant encadrés par des professionnels qui en ont l'habitude et savent l'aborder.
L'ambiance qui régnait au sein du SAMU social était chaleureuse, et je recommande vivement cette "garde" qui permet de voir différemment un monde auquel on n'est pas souvent confronté : la rue.
De même, j'ai déjà eu à plusieurs reprises l'occasion d'être confronté à la vie dans la rue, et cette nouvelle confrontation ne m'a pas apporté beaucoup plus, en dehors de l'organisation du Samu social, du fonctionnement du 115 et de l'hébergement en région parisienne, ce qui me semble quand même suffisant pour justifier cette garde.
Pour résumer: c'est une très grande expérience humaine, mais aussi professionnelle puisque nous sommes et serons confrontés tous les jours à ces personnes en grande détresse sociale.
Nous avons aussi été confrontés à des personnes refusant une aide plus poussée comme des soins médicaux en centre et qui d'une certaine manière préféraient continuer à vivre dans l'exclusion par perte d'espoir sûrement, c'est l'aspect le plus difficile à accepter.
les équipes sont confrontées au manque de moyen de façon cruelle la double écoute m'a permis de voir que la solitude est très présente et que l'appel au 115 est parfois le seul moment de la journée ou la personne parle, l'unique moyen de raconter à quelqu'un sa journée.
J’ai trouvé difficile de ne pas pouvoir trouver de solution pour tout le monde et d’etre confronté à la réalité du terrain...
J'ai trouvé cette garde intéressante à faire et je pense que c'est important que l'on soit confronté à ce genre de choses, notamment dans le cadre de notre formation, que l'on sache les structures médicalisées qui existent pour accueillir les SDF.
Cette nuit au SAMU SOCIAL m'a beaucoup marquée, car on est confronté à la misère comme on l'est rarement dans la vie de tous les jours.
Intéressant d'aller à la rencontre d'un public auquel on est confronté à l'hôpital (aux urgences +++, en hospitalisation aussi) mais que l'ont connait finalement mal.
Durant ma double écoute j'ai pu être confrontée à la difficulté d'entendre dire qu'il n'y avait plus de places à l'hôtel pour de nombreuses familles.
Concernant la maraude, c'est une l'expérience peut être enrichissante humainement pour ceux qui n'ont jamais été confronté aux problèmes de la rue.
Avant d'aller à cette garde je ne m'imaginait pas du tout que je serai confrontée à cette situation.
Cependant les missions du samu social sont confrontées à de véritables problématiques de pérennisation, et de définition de leur cible .
Enfin si il était besoin de le rappeler mais ça permets vraiment de voir la misère humaine qui peut exister juste en bas de chez nous d'un peu plus près encore et de voir la personne sans abris à laquelle on est parfois confronté aux urgences, à l'hopital directement dans son "lieu de vie", son quotidien.
Elle a été intéressante dans la mesure où elle nous a montré le fonctionnement du SAMU social et son manque de moyen affolant, mais aucune des situations à laquelle j'ai été confrontée ne m'a particulièrement ému.
Une expérience essentielle pour tout le monde, et en particulier pour les étudiants en médecine qui seront souvent confrontés à traiter les sans abris à l'hôpital.
Certaines situations rencontrées sont dramatiques (notamment situations de migrants fuyant les violences de leur pays et arrivant en France sans rien) et m'y confronter en vrai m'a fait prendre conscience de la réalité du quotidien de ces personnes et de leur courage, bien plus que lorsqu'on aborde le sujet à la télévision ou dans les journaux.
Le fait de commencer par écouter la régulation téléphonique permet de se faire une idée sur les situations auxquelles on est confronté par la suite pendant la maraude.
Cette garde a été humainement intéressante car elle permet de se confronter à une pauvreté sur laquelle on ferme habituellement les yeux, partiellement au moins, consciemment ou pas.