J'ai eu la chance d'avoir une équipe super sympa, ce qui permet de rendre très sympa cette longue nuit! J'ai eu la "chance" de faire ma garde en été car j'ai pu évité la nuit dans le froid parisien, mais en contre partie je n'ai pas eu d'aperçu de l'activité d'urgence du samu social.
On se rent compte de notre chance.
C'est vraiment une chance d'avoir pu passer une nuit avec le SAMU social.
J'ai eu la chance de tomber sur une équipe très sympathique prête à me faire participer à l'ensemble des actions.
On se rend compte de la chance qu'on a quand on retrouve notre lit après une nuit dans le froid et sous la pluie.
Leur apporter du soutient avec la proposition d'un lieu ou dormir est essentiel pour ne pas que ceux qui n'ont plus la chance de dormir sous un tout se sentent oubliés.
J'ai trouvé cette expérience intéressante dans la mesure ou il y a peu de chance que je remonte un jour dans un camion du SAMU social.
Expérience enrichissante qui donne envie de s’investir dans ce combat, et de réduire les inégalités de chance dans la prise en charge.
J'ai eu la chance de pouvoir visiter deux centres d'hébergement différents, Montrouge et la Boulangerie, et de pouvoir les comparer. Et ainsi me rendre compte des conditions désastreuses dans lesquelles les personnes sont installées dans ce dernier centre, malgré la chance qu'elles ont comparé à de nombreux autres d'y avoir une place.
Par contre la diminution des moyens attribués se fait sentir (moins de camions...) et le nombre d'appel est très important ce qui fait qu'il y a une grande part de "chance" dans l'attribution d'un lit pour la nuit, il faut appeler au bon moment (places disponibles) et avoir assez de chance pour tomber sur quelqu'un au téléphone (appels saturés)
J’ai beaucoup apprécié cette garde au Samu social, c’est une chance pour nous de pouvoir enfiler le manteau et de faire tout de suite partie de l’equipe.
Ils n'ont pas forcément eu de chance dans leur vie, ils méritent donc qu'on leur donne au moins une petite chance de s'en sortir en leur tendant la main, en les guidant, en les soignant si ils en ont besoin etc.
Je trouve qu'on a de la chance d'avoir dans notre pays une organisation qui s'occupe de ces problèmes et qui permet aux défavorisés de ne pas se sentir totalement abandonnés.
On est dans le camion, on écoute de la musique sur la route direction le centre d'hébergement Romain Rolland pour les quatre qui auront la chance de dormir sous un toit ce soir.
J'ai eu la chance de tomber sur une équipe très sympa qui m'a permis de vite prendre mes marques et mettre la main a la pâte.
Ça fait réaliser la chance qu'on a d'avoir un toit sur la tête tous les soirs.
C'était sa rue, son quartier, comme le ressentent les personnes qui ont la chance d'avoir un toit.
Les gens dansent et chantent au karaoké, savourant l'instant présent et la chance de dormir une nuit au chaud.
Beaucoup de rencontres m'ont touchées, on se rend compte de la chance qu''on a et surtout des préjugés qu'on a sur les gens dans la rue
Beaucoup de rencontres m'ont touchées, on se rend compte de la chance qu''on a et surtout des préjugés qu'on a sur les gens dans la rue
Du coup pendant la maraude beaucoup trop de personne n'ont pas eu la chance d'être Hébergés et sont rester dans le froid et la neige avec comme seul réconfort un café et un duvet.
De belles rencontres, des histoires de mal chance...
Lors de la double écoute j'ai eu la chance d'assister à un premier appel qui fut très intéressant. […] Je n'ai pas eu la "chance" de voir des personnes à la rue demandant de l'aide mais c'était tout de même une expérience enrichissante et nouvelle pour moi.
Nous avons aussi amener 5 SDF au centre d'hébergement de Romain Rolland, dont 4 qui se sont présentés tous les 4 ensemble, on leur a alors dit que pour avoir plus de chances d'avoir un hébergement pour la nuit il ne valait mieux pas qu'ils se présentent tous en même temps (car c'est rare d'avoir 4 places d'un coup et si par exemple on n'en a que 2 on ne leur dira pas et on leur donnera une réponse négative pour l'hébergement car sinon cela risquerait de créer des tensions si seulement 2 sur les 4 obtenaient une place par exemple) mais finalement par chance ils ont eu une place tous les 4! […] J'ai eu de la chance d'avoir une équipe très sympathique, l'infirmière était adorable et j'ai bien discuté avec la travailleuse sociale et le chauffeur. […] C'était dur par moment tout de même car il faisait vraiment froid cette nuit là et je pensais à la chance que j'avais de ne pas dormir dans la rue et ceux qui allaient dormir dehors me faisaient vraiment de la peine.
Je suis réellement reconnaissante vis-à-vis de la faculté de nous avoir donner la chance de s'ouvrir aux autres plus démunis et moins chanceux que beaucoup.
L'homme savait qu'ils avaient plus de chances d'obtenir un logement de longue durée.
D'un point de vue plus égoïste, cette expérience permet de réfléchir tout simplement au confort de vie dans lequel nous évoluons et que tout le monde n'a pas la chance d'avoir. Nous, après avoir passée cette nuit difficile, sous le froid et la pluie sommes heureux de retrouver la chaleur de notre lit et de notre douche, mais toutes les personnes que nous avons vu ce soir, qui ont eu elles des conditions encore plus difficiles que nous, n'ont pas la chance de retrouver ce confort.
C'est terrible de savoir qu'ils peuvent passer des heures au téléphone pour essayer de joindre quelqu'un au 115, qui finalement (à condition qu'ils arrivent à les joindre) a de fortes chances de leur répondre qu'ils n'ont pas de place pour eux pour la nuit, d'autant plus que la nuit de ma garde était la première nuit vraiment froide de la saison, et qu'il pleuvait toute la nuit. […] Certains étaient dans un état tel qu'ils ne voulaient pas bouger de leur emplacement sous la pluie sur une plaque chauffante, ou sous un pont, et la seule chose qu'on a pu faire pour les aider a été de les couvrir et de les aider à avaler un peu de soupe chaude pour les réchauffer Je considère que c'était vraiment une expérience très importante, qui m'a permis de me rendre compte de ce qu'est vraiment la vie dans la rue, et par conséquent la chance qu'on peut avoir de vivre comme on le fait
Il n'y avait presque personne dans les rues le soir de ma garde, l'équipe a dit que je n'avait "pas de chance".
C'est assez brutal mais ça m'a permis de prendre conscience de la chance que j'ai.
Une expérience unique car j'ai eu la chance de rencontrer plusieurs profils, un jeune homme arrivé en France il y a 2 mois plein de bonne volonté avec toujours le sourire, quand nous l'avons déposé dans le centre, je me suis sentie particulièrement privilégiée car les conditions de vie sont il me semble très rudes!
Je pense que cela aura changé mon regard par rapport aux SDF aux urgences, qui ne voient de médecin qu’exceptionnellement pour certains et que cela représente une chance pour le médecin de faire du dépistage et de la prévention.
Elle nous permet de nous rendre compte de la chance que nous autres avons à ne pas avoir un toit à rechercher chaque nuit, au confort d'une habitation, à la sensation de ventre rempli et repus,...
J'ai découvert les foyers, le mode de vie et discuté avec quelques personnes sans domicile, j'ai sans doute eu de la chance car elles étaient ouvertes à l'aide et prêtent à partager un peu.
J’ai eu la chance de participer à la maraude pure, on a scruter toutes les rues du 12ème arrondissement.
J'ai eu la chance d'être affectée à une équipe très très sympathique qui m'a laissée monter à l'avant du camion (pour être au coeur de l'action) et qui m'a expliquée comment on s'organisait (principe de signalement et maraude simple).
C'est une chance d'avoir un service humain et social comme le 115 en France.
J'ai eu la chance de passer pendant une période où le samu social joue un rôle important, encore plus que d'habitude.
J'ai également eu la chance de tomber sur une équipe du SAMU social vraiment formidable.
Cependant, je ne m'attendais pas à être si mal à l'aise, non pas à cause de l'équipe (au contraire ils ont été très sympathiques et compréhensifs) mais parce que je me suis rendu compte de la chance que j'avais d'être dans ma situation.
La nuit au SAMU SOCIAL m'a vraiment très marquée et je trouve que c'est une grande chance d'avoir la possibilité de pouvoir avoir une impression du travail fait par les personnes s'investissant pour le SAMU SOCIAL. […] J'avais la chance d'avoir une super équipe et je suis vraiment impressionnée de ce qu'ils font tous les jours pour les gens qui vivent dans des conditions les plus difficiles et si ce n'est que de passer un petit moment avec eux.
J'ai eu la chance de marauder avec des anciens, visiter plusieurs hôtels, et de rencontrer des personnes très différentes (sortie de prison, tox, jeunes, SDF depuis plusieurs années).
Pour le reste, j'ai eu la chance d'avoir une équipe de 3 personnes très prévenantes et très soucieuses de me faire découvrir leur mission et je ne regrette pas du tout l'expérience.
Mais en même temps, cette nuit m'a empli de frustration dans le sens que finalement beaucoup n'ont pas eu la chance d'avoir une place pour pouvoir dormir au chaud et aussi que malheureusement la prise en charge du 115 se résume souvent à du court terme, et je trouve cela très frustrant, même si les équipes font du mieux qu'elles peuvent pour à leur échelle aider ces personnes démunis à se réintégrer dans le système.
On est pas seulement là pour prescrire des médicaments, parfois la santé passe par le contact et le soutien moral, cette garde nous donne la chance de nous exercer.
J'ai eu la chance de trouver un hébergement à l'ensemble des personnes que nous sommes allés voir, je garde donc de cette nuit là un réel sentiment de fierté envers les intervenants, et je n'ai pas manqué de les remercier pour leur travail.
Ils devront attendre le lendemain au soir pour savoir s’ils auront de nouveau cette chance.
Tout d'abord merci de nous avoir laissé la chance de pouvoir faire ce genre de garde.
Au final, une expérience très enrichissante qui ne laisse pas indifférent, qui fait réellement réfléchir et nous fait apprécier la chance que l'on a!
Cette expérience au samu social était très enrichissante, elle m'a permis de relativiser sur tous mes problèmes et de réaliser la chance que j'avais.
Lors de la double écoute au 115, ce qui m'a le plus marquée est le manque de place par rapport à la demande : lorsque quelqu'un appelait, son dossier était examiné et si le demandeur avait eu une nuit en foyer dans la semaine, sa demande n'était pas prioritaire et il n'avait aucune chance d'obtenir une place cette nuit là (à moins d'être en grande détresse ou malade).
Autant de problématiques que je n'envisage pas au quotidien, ayant la chance d'avoir un toit sous lequel loger, et avec peu d'expérience dans le domaine associatif.
J'ai d'ailleurs eu la chance (par hasard) de recevoir un signalement en double écoute, puis d'aller récupérer cette même personne avec le camion plus tard.
La gratitude des personnes que nous rencontrons et que nous avons parfois la chance d'amener dans un centre d'hébergement d'urgence est très agréable.
J'ai beaucoup de chance.
La double-écoute m'a peut-être encore plus marquée que la maraude en elle-même, puisque j'ai eu la chance d'écouter au standard et d'avoir affaire à un panel d'usagers bien plus large que celui que j'imaginais à la base (réfugiés politiques, travailleurs mais sans logement, etc.).
Je me suis rendue compte aussi que les gens que nous aidons sont très attachants: c'est humainement enrichissant de pouvoir discuter avec des gens qui n'ont pas la chance d'être logés, ou d'autres qui reconnaissent avoir une addiction pour l'alcool par exemple et qui confient être très difficile d'arrêter.
Pour finir je voudrais saluer la motivation ainsi que les compétences humaines remarquables des professionnels que j'ai eu la chance de suivre la nuit dernière.
Le fait de demander après la pause si l'on veut continuer les maraudes ou rentrer chez nous est une bonne chose, j'avais la chance de ne pas travailler le lendemain, mais ça n'est pas donné à tout le monde, et dans ce cas, la fatigue s'accumule.
J'ai eu la chance de tomber sur une équipe qui m'a bien intégrée, qui se rendait compte de la difficulté que la première nuit en maraude peut représenter.
Malheureusement les lignes sont saturés, ainsi que les foyers, beaucoup de personnes n'ont pas la chance de trouver une place, il est difficile de repartir et les laissés dans leurs situations.
C'est une chance ineffable de pouvoir plonger dans la profondeur de l'homme.
J'ai eu de la chance d'être avec une équipe super sympa et sur un secteur intéressant (le 18éme) donc j'ai vu un certain nombre d'interventions.
Les deux premiers groupes que nous rencontrons ont la chance de trouver un hébergement pour la nuit.
Je pense que cette garde nous aide à retrouver notre humilité face à la vie, à relativiser les choses quand on pense à ceux qui vivent dans une situation précaire, et à être reconnaissant de la "chance" que nous avons pour pouvoir vivre sous un toit, été comme hiver.
On ne se rend pas bien compte de la chance que l'on a d'avoir un abris,et que ces personnes se rejouissent avec un bouillon, et une paire de chaussettes...
J'ai également pu comprendre que les sans-abris ne sont pas tous des marginaux ou des immigrés, mais le plus souvent des gens qui n'ont pas eu de chances et qui souhaitent vraiment s'en sortir.
La deuxième partie de la nuit m'a fait réaliser que finalement on se rend pas compte de la chance qu'on a ou du moins on est pas assez reconnaissant. […] Je ne comprends pas comment encore aujourd'hui on ne se donne pas les moyens de faire plus pour tous ces gens qui pour beaucoup n'ont juste pas eu de chance dans la vie..
Pendant la nuit, j'ai eu la chance de découvrir ce qui se cache derrière quelqu'un qui est sdf, j'ai pu surmonter les barrières ( odeurs, salleté...) et au fil des heures, je me sentais utile, j'examinais certains patients à la demande de l'infirmière pour valider son avis de les transférer à l'hôpital en urgence, j'écoutais attentivement ce que disent les gens, dont un homme qui malgré son état ce jour, était un grand poète et ne cessait de chanter et de réciter certains de ses poèmes pendant le transfert dans un établissement d'acceuil.
J'ai eu cette chance avec une équipe sympathique et dynamique mais d'après les retours que j'en ai eu ça n'est malheureusement pas toujours le cas..
Je ne sais pas si c'est grâce à l'équipe sur laquelle j'ai eu la chance de tomber, mais j'ai trouvé que, à la fois l'ambulancier, le travailleur social et l'infirmière ont fait preuve d'une grande générosité, d'une véritable volonté d'aider les personnes sans domicile et cela sans la moindre manifestation de jugement.
Expérience très enrichissante au niveau social, change la perspective et le regard que 'loin peut porter sur les personnes sans domicile fixe et que que la société peut nous faire voir de manière péjorative mais également grande remise en question sur soi même et sur la chance que nous avons de ne serait ce qu'avoir un toit ou dormir la nuit au chaud.
J'ai eu la chance d'avoir lors de la garde des cas très différents de sans abris avec des personnes seules, des migrants, un couple et une famille.
En effet, en mission on se rend compte de la chance qu’est le samu social pour les personnes à la rue, que cette institution constitue un potentiel tremplin voire une motivation pour se ressaisir dans sa vie.
Apparemment, les nuits sont plus ou moins stimulantes selon les arrondissements, j'ai personnellement été affecté dans le camion partant pour le 16e arrondissement réputé calme mais j'ai quand même pu voir toutes sortes "d'interventions" différentes: simple bonsoir à un usager connu, amener un usager dans un centre d'hébergement, s'arrêter pour donner un repas à des usagers qui ont la chance de nous voir passer, aller voir un signalement puis le rediriger soit en hébergement soit à l'hôpital.
La garde du SAMU Social est un bon moyen de nous rappeler la chance qu'on a.
J'ai eu la chance de tomber sur une "ancienne".
J'ai par ailleurs eu la chance de marauder avec une équipe agréable et ouverte, cependant, j'ai eu le sentiment en croisant d'autres équipes que la motivation à s'intéresser et à intéresser l'étudiant pouvait être très fluctuante.
Nous avons la chance, selon moi, de bénéficier de ce partenariat entre notre faculté et le Samu social.
J'ai été positivement surprise de voir qu'il y avait des structures d'accueil avec beaucoup de places (je n'ai pas été confrontée à l'impossibilité de trouver un lit pour quelqu'un qui en cherchait, mais peut être était-ce de la "chance").
Cela m'a vraiment fait réaliser à quel point j'ai de la chance.
J'ai eu la chance de pouvoir suivre un usager du début à la fin : être à la double écoute de son appel qui a duré presque 1h, puis me retrouver dans le camion de maraude qui est allé dans son secteur, et donc de le rencontrer puis l'accompagner jusqu'à son hébergement.
Je me suis vraiment dit toute cette nuit que j'avais vraiment beaucoup de chance de pouvoir rentrer chez moi après la garde.
Les familles sans abris ont encore moins de chance de trouver un toit pour une nuit!
L'ensemble de l'équipe est super acceuillante, super sympathique J'ai eu la chance d'avoir une nuit plutot calme, pendant laquelle nous avons eu peu de signalement, ce qui nous a permit de passer beaucoup de temps à marauder, et aller au contacte des gens.
j'ai ensuite eu la chance de monter dans une EMA hyper accueillante, je sais que ça leur rajoute du boulot et de la fatigue donc j'ai essayé d'etre le plus facile a vivre possible, j'ai parlé au SDF que l'on rencontrait et pris des initiative.
Pendant cette nuit certains de mes préjugés se sont transformés en empathie, car j'ai remarqué que beaucoup des SDF étaient des gens qui n'ont pas eu de chance dans leur vie.
Par ailleurs, j'ai eu la chance de visiter plusieurs centres d'hébergement à Paris et en proche banlieue.
par manque de chance, je suis tombé sur le groupe qui effectuait ses missions dans le territoire vers le 19ème ou le 20ème, sachant que les 2 centres d'hébergement auxquels on est allés se situent dans le 14ème, on a passé beaucoup plus de temps sur le périph que pour la maraude en elle-même.
Mais en fait, tout d'abord l'équipe est formidable, l'ambiance est géniale (puis j'ai eu de la chance, il refaisait beau, et c'était l'anniversaire du régulateur Philippe et de l'IDE Audrey, donc le gâteau que j'ai ramené était par chance très bien tombé, et j'ai eu la chance d'assister à une petite cérémonie à la fin, vers 5h.
J'ai eu la chance d'être au sein d'une équipe de maraude qui a su vraiment me mettre à l'aise, répondre à toutes mes questions en m'expliquant toutes les démarches et l'attitude à adopter.
G semble optimiste quant à ses chances de réussite à Paris : il nous assure que c'est la crise au Maroc, mais pas ici!
Intéressant de prendre le recul et de se dire finalement qu'on a de la chance!
On ne mesure vraiment pas la chance que l'on a de vivre sous un toit.
En effet, aller à la rencontre des clochards, leur parler, les écouter et les prendre en charge pour les amener dans les différents hôtels du 115 sans préjuger ni de leur état ni de leur aspect nous fait réaliser la chance qu’on a d’avoir un toit sur la tete.
Cette expérience rend humble et fait prendre conscience d'une réalité qui, par chance, nous épargne.
Pour moi, qui ait eu la chance de pouvoir voyager dans des pays en voie de développement, je me suis vraiment rendue compte que c'est bien beau de faire de l'humanitaire aux Quatre Coins du monde mais qu'il y a aussi des personnes dans le besoin juste en bas de chez nous!