J'ai beaucoup appris de cette nuit et je retournerai volontier faire des gardes au samu social!
Cette nuit au Samu Social m’a beaucoup ouvert l’esprit et appris les différentes aides qu’il pouvait y avoir pour les personnes dans le besoin.
J'ai beaucoup appris cette nuit, tant sur le plan humain que sur le plan social.
Toute l'équipe était extrêmement sympa, les gens du camion m'ont expliqué plein de choses, et j'ai beaucoup appris sur les personnes en situation de précarité extrême.
En effet on apprend beaucoup sur le plan humain.
Finalement nous avons rencontré un certain nombre de personne souriantes et qui ne se plaignaient absolument pas de la rue, une femme de la 50aine m’a même rétorqué « il faudrait qu’un stage obligatoire d’une semaine soit fait pour tous les jeunes pour qu’ils apprennent la vie !
Cette maraude effectuée au SAMU social fut une belle expérience qui m'a beaucoup appris.
La réalité est tout autre malheureusement, j'ai appris en discutant avec les responsables que à peine 1personne sur 10 composant le 115 est susceptible d'être logée pour la nuit .
Ils ont beaucoup à nous apprendre et sont loin d'être bêtes. […] Car comme dit le proverbe : "donne un poisson à homme, il mangera un jour, apprend lui a pêcher , il mangera toujours " L'impression que j'ai eu c'est que ces hommes et femmes sont dans la rue depuis des années et qu'ils vont de foyers en foyers mais qu'il n'y a pas d'évolution, pas de ré-insertion ...
Cela m'a beaucoup appris, notamment vis à vis de l'abord et du premier contact avec une personne issue d'un milieu tellement défavorisé et différent de notre quotidien, qu'on ne sait souvent pas comment s'y prendre pour ne pas braquer ou heurter la personne.
Cette garde est très enrichissante, tout d'abord sur le plan humain, car, habitués à rester un peu dans sa bulle, on apprend à s'approcher des plus défavorisés, à leur parler, à discuter avec eux, à leur montrer notre considération et attention pour eux.
La partie écoute téléphonique était paradoxalement pour moi la plus intéressante bien que ce soit la plus courte ou on apprend un peu les systèmes d'hébergement et leur fonctionnement .
Néanmoins il est toujours bien de savoir qu'un organisme tel que celui ci existe et d'en comprendre le fonctionnement, d'autant plus qu'il est apparemment amené à disparaître : j'ai eu le droit à une réunion syndicale mouvementée en ces temps d’élection présidentielle, au cours de laquelle j'ai d'ailleurs été plus qu'étonné d'apprendre que ces travailleurs sociaux touchent 1100€ par mois après 10 ans d'ancienneté.
Ca reste personnel, mais je n'ai rien appris en double écoute et je me suis plutôt ennuyé.
De plus, j’ai appris pour ma pratique future que des lits d’aval d’hospitalisation ( les LIHSS ) existent pour les SDF qui ne peuvent pas bénéficier d’une infirmière à domicile (pour les pansements ou des injections de Lovenox après une opération par exemple).
J'ai beaucoup de respect pour les personnes engagées dans le Samu social, leur travail peut parfois être dur (par exemple, lorsque les sans abris apprennent qu'ils n'auront pas de place dans un hébergement pour la nuit, et qu'ils se mettent en colère), mais c'est un travail utile et humain.
J'ai été déposé plus tôt car il n'y avait plus de signalements ni de places en foyer, j'ai pourtant vu et appris beaucoup de choses tout en ayant pu dormir une partie de la nuit, et un retour vers 1h me paraîtrait une meilleure solution pour profiter pleinement de l'expérience.
On apprend à mieux les connaître, à mieux les comprendre et ainsi à faire tomber nos préjugés.
Cette nuit avec le 115 m’a vraiment permis d’ouvrir les yeux concernant la situation des sans abris aujourd’hui dans Paris et d’apprendre ce qui est fait pour eux par le SAMU social ainsi que par les autres organisations qui les aident. […] Ensuite, pendant l’écoute, j’ai appris quelle organisation est mise en place afin que les places d’hébergement soient réparties équitablement entre les personnes en ayant besoin. […] J’aurais ainsi aussi appris ce qui peut être proposé à ces hommes et ces femmes pour les héberger.
Mon équipe m'a vraiment mis à l'aise dès le début, et m'appris beaucoup de choses en étant aussi à mon écoute et en répondant avec plaisir à mes questions. […] L'accueil des étudiants en médecine est très positif et nous apprenons beaucoup, il faut saluer le travail et l'accueil du SAMU social de Paris et poursuivre les gardes pour les externes.
La garde au samu social nous apprend qu'elles sont les difficultés quotidiennes de ces personnes en marge de ma société : trouver un logement pour la nuit, ne pas se faire voler ses affaires, toucher les aides sociales.
Pour commencer, la double écoute m'a montré que des hôtels étaient à la disposition des plus démunis, en particulier des familles, et que le samu social prenait le temps de parler avec chaque personne malgré le fort nombre d'appels (probablement la partie la plus intéressante de la garde mais je n'ai rien appris de nouveau) Par la suite, pendant la maraude, j'étais assis à l'arrière de façon quasi-constante auprès de SDF ivres (dont un était tellement odieux et agressif qu'on a du s'arrêter pour le faire descendre) que l'on devait ramener dans des centres d'hébergement et, à part stimuler mon odorat avec des odeurs révolutionnaires et craindre pour ma sécurité, cette partie était totalement inutile et devrait être supprimée car elle n'apporte absolument rien.
Aussi j'ai appris d'un Mr dans un refuge que j'étais née un jeudi, grâce à un calcul fait en 30 secondes "à partir de l'année de naissance de Jésus", c'est une découverte qui m'a beaucoup amusé.
C'est sur ce point qu'on apprend le plus à mon goût.
Mais je pense que pour ceux qui ont plus de mal, par peur par exemple de leur agressivité, de leur exclusion, ils peuvent apprendre beaucoup de cette garde en voyant les relations que l'on peut créer avec ces personnes dans le besoin, qui n'expriment que leur détresse.
J'ai été bousculée, choquée quand en parlant avec une personne vivant dans la rue depuis plus de dix ans, j'ai appris que sa dernière adresse était dans ma rue, réalisant que tout perdre par un enchainement de situations peut arriver à chacun d'entre nous.
Tout ça nous permet d’apprendre à appréhender des situations difficiles face à des personnes en situation de précarité et sans ressources.
Pendant le transport, nous apprenons que la mère de famille est régulièrement humiliée, insultée, des coups pleuvent.
J'ai aussi appris les droits et les démarches possibles pour que les sdf puissent s'en sortir, grâce aux travailleurs sociaux avec qui nous avons très peu de contact à l'hôpital.
L'expérience m'a appris pour mon futur travail médical, de prendre en compte toutes les difficultés de la prise en charge du patient sdf, à savoir la relation psychologique, bienveillante avant tout, la résolution des problèmes de la rue qu'ils soient énoncés ou non, l'intérêt d'un examen complet comprenant les pieds, bien souvent dans un état infectieux ou diabétique extrême, et la prise en charge des dépendances.
Je crois qu'apprendre à parler et à écouter les gens, tous les gens, même ceux qui ne nous ressemble pas (surtout eux en fait) est une condition nécessaire au bon exercice de mon futur métier.
C'est par des expériences comme celle la qu'on apprend à relativiser, et à se contenter de ce que l'on a.
J'ai pu à travers cette garde apprendre et comprendre la mission du samu social auprès des plus démunis et des plus isolés, qui d'essayer petit à petit en créant un lien de les aider à faire valoir leurs droits et leur apporter quand cela est possible, une présence, un petit peu à manger ou à boire ou encore leur proposer une structure où passer la nuit.
Le personnel est très abordable et désireux de nous apprendre leur quotidien et de répondre à nos questions.
Par ailleurs je remercie l'équipe avec laquelle j' ai réalisé la maraude pour leur bonne humeur et ce qu'ils m'ont appris.
C'était un moment vraiment enrichissant dont je me souviendrai, car il fait ouvrir les yeux sur les choses simples de la vie que chacun de nous peut réaliser chaque jour pour aider un peu plus ces personnes, que j'ai aussi appris à découvrir : certaines sont violentes tellement la détresse les a atteints, il est alors difficile de les aider, mais d'autres sont, malgré tous ces malheurs qui leur sont arrivés, tellement attachants, ils ne demandent qu'à parler, ils ont pleins de choses à raconter, ils sont gentils, ils nous aident à ouvrir les yeux sur les choses importantes dans la vie.
Dans notre cursus nous n'avons pas ou peu l'occasion d'apprendre à véritablement "parler" aux gens qui sont en face de nous, de s'intéresser à leur histoire, leur environnement, leur quotidien, leur entourage etc, souvent par manque de temps mais aussi parfois malheureusement, par indifférence.
On peut en apprendre beaucoup de ces personnes.
La rencontre que j'ai préféré à été celle d'une femme qui nous avait appelé pour refaire un pansement à la jambe, ce que l'infirmier a fait dans un arrêt de bus à 3 h du matin pendant que je lui tenait la jambe, en faisant fi de toutes les consignes d'asepsie durement apprises à l'hôpital ce qui était au final plus gratifiant et peut-être même un peu libérateur.
Globalement je garde un bon ressenti de cette garde qui m'auras surtout appris comment fonctionne tout ce milieu (SAMU social, centre d'hébergement etc...), avec ce système d'hébergement d'urgence assez précaire auquel je n'étais pas famillier.
L'équipe avec laquelle je suis tombée (Louis et Camille) était top, ils étaient dynamiques et sympathiques, ce qui m'a permit de me sentir tout de suit à l'aise et de pouvoir, malgré la fatigue, apprécier le moment et en apprendre d'avantage.
En nous racontant son histoire, j'ai appris qu'il était à la rue depuis qu'il s'était disputé avec son père puis que son oncle l'avait jeté dehors faute de place et de moyens.
Je voudrai volontier réitérer l expérience, pour en apprendre davantage.
J'ai appris en l'espace d'une soirée et avec l'aide de l'équipe à laquelle j'avais été affectée à surpasser cette crainte, liée à un sentiment d'impuissance et de culpabilité à la fois je présume.
J'ai donc passé une très mauvaise soirée, à quelques jours des partiels, entre deux gardes de réanimation, avec l'impression de perdre mon temps comme rarement (ah si, peut être lors des autres partenariats "exceptionnels" type samu75, SIS, tabac info service), puisque je n'ai rien appris qui puisse servir à ma pratique médicale, que je n'ai été d'aucune utilité, que je n'ai pas été rémunéré (cela dit je préfère qu'on supprime cette garde plutôt que de nous faire l'honneur de nous rétribuer par 20 euros).
Après quelques minutes j'apprends que cet homme est bien connu des équipes du SAMU SOCIAL qui l'aide régulièrement le soir pour trouver un hébergement la nuit.
En effet, elle nous permet d'apprendre à parler et à écouter les personnes dans le besoin, ce qui nous sert dans les différents stages.
J'ai donc beaucoup appris sur le rôle et le fonctionnement du SAMU social, mais également sur le plan humain.
J'ai partagé la nuit avec des hommes et des femmes que je ne reverrai probablement jamais, pas une seule seconde je ne serai capable de comprendre ce qu'ils vivent, moi qui suis rentrée tranquillement dormir dans mon lit à 4H, mais j'ai appris à prêter attention à ces vies qui sont là dans la rue et que j'évitais le plus souvent dans le métro et dans les gares.
Là j'ai été surprise d'apprendre que les mairies de paris enlevaient de plus en plus les cabines téléphoniques alors qu'elles sont souvent le seul moyen pour eux de joindre le 115.
Au départ, je ne voulais pas du tout assister à cette garde, par manque de motivation, finalement une fois sur place, j'ai appris à découvrir un autre monde, pas celui que je vois tous les jours en sortant du métro.
Je suis moi même investie dans une asso qui vient en aide aux personnes sans logements et j'attendais beaucoup de cette garde, et j'en ai rien appris, j'étais déprimée et en plus de ça j'ai du me payer un Uber car lâchee à 4h sans être ramenée, je me sentais bien seule dans ce hangar de camions hors de Paris.
J'ai la sensation d'avoir en une seule nuit appris énormément.
J'ai appris beaucoup de choses au cours de cette garde.
Ce sont des gens vraiment adorables, qui ont fait que cette expérience restera un très bon souvenir pour moi, et qui m'ont vraiment appris des choses.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Je ne comprend pas pourquoi la scolarité nous impose cette garde, qui n'a aucun lien avec nos études de médecine, et qui ne nous apprend rien.
J'ai beaucoup appris lors de cette garde, et je pense que nous avons beaucoup de chance de pouvoir faire partie, ne serait-ce qu'une nuit, d'une équipe du samu social.
Arrivés sur place, on apprend qu'elle est en France depuis 2 jours.
Cela m'a aussi appris le rôle du 115 que je pourrais donc appeler dans le futur dans les conditions adaptées.
J'ai appris beaucoup de choses que je ne soupçonnais pas, qui défient les clichés que l'on présente partout, et rencontré des gens très dignes malgré leur situation difficile.
Au niveau de la maraude, mon équipe a été adorable avec moi et a été encline à m’apprendre et à me laisser participer.
Je les considérais pas comme des SDF simplement, j'ai appris leur nom, leurs histoires, leurs habitudes, on échange des sourires, une poignée de main, on prend un café.
Oui, je n'ai rien appris de médical, mais sur le plan humain c'était fantastique, quel lecon de vie donné par les maraudeurs et les sans abris !
J'ai appris que des gens étaient là pour veillé sur les eux ( ce que je ne savais pas au début ) qu'il y a des situations auquelles ont peut trouvé des solutions du moins provisoire ( chambre ) mais d'autres non ( Sdf qui voulait seulement de l'argent ou ceux qui voulaient trouvé du travail )
Il était extrêmement agréable de parler avec lui, il était en effet très cultivé et m'a appris notamment de nombreuses choses sur les catacombes de Paris.
La maraude par la suite m'aura appris une seconde chose toute aussi importante: le besoin de ressentir de l'humanité de la part de ses semblables est omniprésent pour ces personnes délaissées, que ce sont des gestes simples, une seule démonstration qui peuvent remplir leur journée aussi oui...
Chemin très périlleux pour ce monsieur, aveugle : sa chambre qui se situe en haut d'un escalier dangereux ; si bien que l'on apprend que ce monsieur préfère parfois dormir dans le local à poubelles au rez-de-chaussée.
On apprend à connaître Paris d'un autre point de vue, celui où tout n'est pas toujours rose.
De plus, cela m’a appris à mieux comprendre comment s’exprimer face à des situations de vie très difficiles, de façon posée et aidante.
Cela nous permet de prendre conscience qu’il y a une part non négligeable de personnes démunies vivant en exclusion dans des conditions inadaptées et cela nous enseigne l’empathie qui ne peut pas s’apprendre dans les ouvrages médicaux mais plutôt sur le terrain dans l’école de la vie, qui est celle où l’on apprend les plus belles et les plus grandes leçons.
Sur le coup je me suis dit "bon va falloir bien apprendre la dermato...". […] On a longuement parlé et cela m'a vraiment appris beaucoup de choses.
On en profite, on écoute et on apprend aussi.
J’ai beaucoup appris de cette nuit au SAMU Social. […] J’ai beaucoup ri et j’ai appris plein de choses.
J'ai appris les critères qui faisaient qu'on octroyait une place d’hébergement à une personne et non pas à une autre.
Cependant, j'ai beaucoup appris surtout pendant la double écoute mais aussi avec mon équipe de maraude qui était très chaleureuse et qui a su répondre à toutes mes questions.
En discutant avec mon écoutante, j’ai appris que nous étions passés de 1 femme pour 9 hommes à 1 femme pour 4 hommes dans la rue, et que les centres ne s’étaient pas adaptés, certains sont mixtes mais une grande majorité sont réservés aux hommes comme la Boulangerie ou la Mie de Pain.
Bref, ok, ce n'est pas une garde où on apprend à cocher les bonnes réponses à l'ECN, mais c'est encore mieux : c'est une garde qui nous fait prendre un regard différent sur le rapport que nous avons, en tant que médecins, avec les plus pauvres.
J'ai donc appris au cours de ma double écoute que le 115 permet l'accès aux centres d'hébergement dans des situations d'urgence.
J'ai appris que le terme "maraude" signifiait faire toutes les rues des arrondissements indiqués à la recherche de personnes sur la rue.
J'ai appris pas mal de choses sur le Samu Social.
J'ai clairement perdu une soirée de révision et n'ai pas l'impression d'avoir appris grand chose.
, apprend le suédois, 3 demandes d’asile, toutes rejetées, notification d’expulsion par le gouvernement suédois.
En effet, je n'ai aucune expérience, que ce soit dans le domaine de l'humanitaire ou du social, et j'ai pu ainsi énormément apprendre sur ce point là.
Jusque là tout s'est très bien passé, je pouvais poser des questions et j'avais l'impression qu'elle était contente de présenter son métier et de m'apprendre les differents moyens de prise en charge ainsi que les limites du 115.
L'équipe m'apprend que le mois passé, un chauffeur a vu son contrat se terminer car il a donné un chaton à un homme seul dans la rue durant la maraude... […] Il nous apprend qu'on lui a volé sa béquille dans un de ces foyers. […] Cette frustration se manifeste différemment mais je crois qu'elle est bien la source de la fatigue des équipes (j'apprends durant la garde que le turn over au sein du samu social est très important et que les gens restent rarement plus de 6 mois), de la résignation souvent ou de la colère parfois des usagers.
Après avoir appelé le centre de régulation pour savoir s'il y avait des places pour cette famille, l'infirmière a appris que cette famille avait été prise en charge milieu février par le Samu Social du 77 et non pas celui du 75.
j'ai appris que les sans-abris pouvaient se brûler gravement sur des bouches de chaleur, par exemple.
Révolte contre les énergumènes qui vous disent à la radio que si les gens sont dans la rue c’est parce qu’ils le veulent car les places d’hébergement ne manquent pas, qui trimballent leur mots masqués "responsabilisation", "égalité des chances" et "sens de l’effort" partout où ils vomissent leur catéchisme bien appris dans une ponctuation stoïque.
On en apprend beaucoup sur le relationnel, comment mieux parler aux gens, se comporter, aller vers l'autre, c'est une expérience riche que tout étudiant en médecine doit vraiment vivre.
Nous avons alors appris (difficilement en raison du taux d'alcool élevé dans le sang) que son "copain" était venu la voir à l'hôpital pour lui amener des bières qu'ils avaient bu.
Vous qui attachez tant d'importance aux résultats qui seront les nôtres à ce concours, qui modifiez les programmes pour qu'il y en ait toujours plus à apprendre, qui savez combien vous nous condamnez à consacrer 100 % de notre temps à nos études, comment n'êtes-vous pas choqué par cette perte de temps-ci ?