Je pus également assister l'infirmière de notre équipe (EMA6) dans ses évaluations médicales au centre d'hébergement d'urgence Romain Rolland où nous accompagnions les personnes sans domicile.
Au final on a vraiment l'impression d'apporter une aide concrète à ces personnes, que ce soit sur l'échange social de premier abord avec la discussion et le café, que ce soit sur les propositions de prise en charge des problèmes médicaux, que ce soit sur l'accompagnement des démarches administratives ou finalement que ce soit concernant le but final d'une solution d'hébergement pour la nuit.
Cette nuit m'a permis de prendre conscience du travail qui existait pour venir en aide aux personnes les plus défavorisés sur un plan médical et surtout social.
Cette sombre situation ne fait que renforcer ma volonté de mettre à disposition ma formation médicale aux personnes les plus exclues vis à vis de la santé.
J'aurais aimé être venue par exemple avec un stéthoscope et être invité à proposer mon avis quant à la prise en charge médicale des personnes (juste sur le fait de leur conseiller d'aller voir un médecin par exemple).
Notamment lors de la visite de "la boulangerie" : Un centre d'hébergement qui ressemble plus à une bétaillère qu'à une structure pour personnes humaines : Aucun travailleur social ou personnel médical; seuls quelques agents de sécurité, qui font régner l'ordre de façon non conventionnelle.
Nous avons été à la rencontre de personnes sans abris pour leur proposer des boissons chaudes, de la soupe, des gâteaux, quelques petites fournitures pour leur quotidien, des soins médicaux de base mais aussi une écoute, du soutien et des conseils.
D'un point de vue médical, l'expérience est nulle.
De plus, cela nous permet de réaliser que les personnes sans domicile fixe ne sont pas forcément totalement exclues de toute prise en charge, sociale ou médicale comme on pourrait le croire.
Nous ne sommes plus mis à distance par une blouse ou par un cadre médical.
J'ai pu découvrir la différence de regard entre le personnel médical aux urgences, qui n'ont pas vécu la prise en charge de ces personnes depuis le début, et celle du personnel du SAMU social.
Cette expérience m'a également permis de démontrer à quel point la partie sociale doit être présente dans la prise en charge médicale: en effet, il faut s'assurer que le patient puisse faire les examens complémentaires nécessaires ou bien prendre ses traitements correctement, orienter vers des organismes s'il le faut.
J'ai beaucoup aimé cette garde qui était beaucoup plus axée relations humaines, empathie et écoute que vraiment "médicale".
Ceci etait une bonne expérience dont je pourrai tirer profit tout au long de mon exercice médical au sein des familles déchirées par le deuil et la maladie.
Le SAMU social est un organisme que je connaissais mal et avec lequel le milieu médical est pourtant appelé à collaborer, donc j'ai trouvé utile de mieux comprendre son fonctionnement.
Quel est le rapport avec nos études médicales?
Cette expérience apprend à considérer des aspects nouveaux de notre exercice professionnel, et pas seulement le versant médical.
Ayant moi même fait un stage aux urgences, j'ai trouvé cela particulièrement enrichissant de voir autrement ces patients que nous seront amené à rencontrer tout au long de notre carrière dans les milieu médical.
L'absence de préjugés est un exemple pour l'exercice médical.
Cette garde au SAMU social est très instructive dans la mesure où les relations humaines sont au premier plan contrairement à ce que l'on voit à l'hôpital où l'enseignement médical prime sur toute autre chose.
Je pense que c'est une expérience à vivre au moins une fois car elle présente un intérêt personnel mais aussi professionnel surtout dans les filières médicales et paramédicales.
Après cela, nous avons apporté de l'aide à plusieurs SDF en leur offrant des boissons chaudes ainsi qu'un hébergement pour la nuit dont une famille constituée d'une mère et de son enfant qui m'ont particulièrement touchée par leur courage malgré toutes les violences qu'elles ont pu subir durant leur parcours migratoire et leurs nombreux rendez-vous médicaux en conséquence de celles-ci.
A l'heure où les problèmes de prise en charge sociale vont jusqu'à se répercuter dans la prise en charge des patients hospitalisés, ce genre d'expérience me parait indispensable dans la formation médicale.
En une maraude on a vraiment le temps de voir pleins de choses et d'avoir une bonne vision du rôle du SAMU Social et du lien étroit qu'il entretient avec le milieu médical, j'en garderai un très bon souvenir.
C'est donc une expérience enrichissante qui ne saurait se soustraire de la formation médicale.
Cette garde au Samu social est une réelle valeur ajoutée à notre cursus médical.
Le SAMU social est une expérience un peu particulière: non seulement parce qu'elle n'est pas vraiment " médical " mais surtout parce qu'elle représente un atelier plutôt humanitaire et qui est un peu en opposition avec les autres ateliers.
J'ai trouvé assez choquant comment des gens avec des antécédents médicaux lourds (notamment un homme amputé, en fauteuil roulant, insuffisant respiratoire chronique et avec de multiples facteurs de risques cardiovasculaires devant prendre un traitement lourd) puissent vivre dans la rue et cela pose la problématique : comment soigner correctement ses personnes si à la sortie de l'hôpital le patient n'a ni logement, ni entourage et est en marge de la société?
Du point de vue médical, pas grand chose cette nuit là, mais ce n'est apparemment pas vraiment le rôle du samu social.
Pour un étudiant en médecine, je pense que c'est important de rencontrer cette population particulière, qui, en tant que patient, est plus difficile à gérer, sur le plan social et médical, et souvent vraiment malade.
Cette garde au SAMU social est vraiment utile pour notre formation médicale.
J’ai entendu dire que les maraudes de journées se déroulaient encore plus au contact des personnes dans le besoin avec une aide sociale (papiers, CMU) et médicale dans des refuges, il serait intéressant de pouvoir en réaliser.
Je pense que je serai beaucoup plus compréhensive face à ces patients dans le milieu médical suite à cette garde (même si je l'étais déjà et que je n'avais pas d'aprioris avant la garde) En une phrase ce que j'ai retenu de cette garde : Peu importe son apparence extérieure, dernière cette personne il y a un être humain.
Aucun intéret sur le plan médical non plus. […] Au final, à mesure que la nuit avance, les personnes que l'on rencontre sont de plus en plus alcoolisés et les échanges perdent alors tout intérêt, c'est une sorte de discours de sourd entre des clochards en état d'ébriété sur la voie publique, et nous - un peu comme pendant les gardes aux urgences, mais en moins bien car il n'y a pas le côté médical (suture de plaie ou suivi médical de l'alcoolisation chronique).
Situation embarrassante, car: 1 - notre niveau d'externe ne nous permet pas de d'effectuer ce genre de diagnostic 2 - ceci met une distance entre "l'externe" du monde médical et les travailleurs sociaux (or nous sommes venus pour voir comment travaillent les maraudeurs et non pour prendre une n-ième garde d'urgence-réa) 3 - ceci n'est pas correct d'un point de vue médico-légal (nous ne sommes pas médecins thésés) Sinon, très bon accueil, personnel super sympathique !
Cependant je n'ai eu aucuns cas "médical".
En fait, la plupart sont juste des gens « normaux » : un irlandais avec lequel j’ai eu le plaisir de pouvoir parler en anglais, et qui m’interrogeait sur mes études médicales.
On est habitué à examiner les gens et traiter le problème médical et pour une fois ce fut l'occasion d'apporter des soins différents, se heurter à des situations ou certains sont totalement réfractaires à toute aide extérieure malgré un mauvais état de santé.
Cependant je n'ai pas vu d'aspect "médical".
Dans mon camion : un assistant social et une infirmière, apportant une expertise différente, médicale ou sociale, mais qui se complètent.
- une place pertinente dans ma manière de raisonner, agir, me comporter, adapter mon comportement, prendre des décisions, face aux autres personnes "de la rue" que je serai amenée à rencontrer, que ce soit dans des situations personnelles de la vie quotidienne citadine ou dans des situations professionnelles médicales de prise en charge aux Urgences par exemple) ; et quand je dis impact émotionnel fort, je n'entends pas par là impact aveuglant, ou aliénant, mais structurant. 2) la mise en situation réelle de l'impératif de ne pas avoir l'imprudence, la naïveté et la vanité de vouloir aider "personnellement" quelqu'un en grande détresse, en outrepassant les codes déontologiques et l'organisation de la structure par le biais de laquelle j'ai été mise en contact avec cette personne. […] Et c'est une leçon éminemment extrapolable à l'exercice médical, j'en suis convaincue.
Avec le peu d'expérience médicale que j'ai et poussé par l'enthousiasme d'Audrey, nous avons examiné la peau de ce monsieur. […] Là dans la salle médicale, examen médical plus complet.
A côté de ça pour la pratique médicale ça permet je pense une meilleure entente future entre médecin et le SAMU social notamment dans le cadre des urgences.
Le seul petit point noir de cette garde serait pour moi, le côté médical vraiment réduit au minimum, avec des bilans plus que succincts des pathologies par l'infirmière (faute de temps entre autre...), et peu d'investigation de ce côté là...
L'équipe était très sympathique et disponible avec tout le monde, cette expérience m'a aussi permis de mieux comprendre le fonctionnement du SAMU social, de comprendre quelles sont les personnes a qui ont propose un hébergement pour la nuit, une prise en charge médicale...
-Finalement expérience importante, non pas pour nos études médicales, mais pour une prise en compte de la réalité sociale dans laquelle nous vivons et à laquelle la plupart des étudiants ne font pas attention le reste du temps.
., bien connu de l’EMA avec laquelle je suis partie en maraude, qu’il a été difficile de convaincre d’accepter une place en foyer et une consultation médicale pour une lésion ulcérée de la jambe.
Expérience enrichissante, très très formatrice, au sein d'une équipe non médicale mais dont les rapports à autrui n'en sont que plus humain.
Cela complète parfaitement notre formation médicale en ce sens qu'elle nous permet d'appréhender concrètement les conditions de vies des personnes en situations précaires, d'échanger avec eux,et de comprendre un peu mieux ce que vivent ces gens au quotidiens que nous rencontrons pour notre part le plus souvent dans nos services d'accueils des urgences.
Même si au fond on devrait tous s'y confronter, pas seulement les personnes du milieu médical.
Je regrette cependant l'accueil odieux d'une secrétaire d'accueil aux urgences où il a fallu de toute évidence accompagner un homme souffrant avec des antécédents médicaux importants.
Et j'espère plus tard, dans ma pratique médicale, ne jamais oublier de prendre le temps d'écouter et de regarder chacun "comme des personnes".
Au premier abord j'avais des appréhensions quant au contact avec les personnes que nous allions voir, qui pour moi ne voulaient pas forcément être aidées Finalement en étant entourée d'une équipe qui a l'habitude on comprend vite que l'important c'est le respect de l'autre, qui qu'il soit, et c'est une valeur fondamentale à notre exercice médical Deux situations m'ont marquée : Une femme qui ne voulait pas qu'on l'aide et qui visiblement avait un peu peur de nous; en discutant avec l'équipe on se rend compte que c'est assez fréquent qu'elles refusent de l'aide du fait qu'elles subissent énormément de violences dans la rue et sont donc fermées sur elles-mêmes.
L'approche est systématique, quasi au sens médical du terme, comme nous à l'examen d'un patient, toujours en ayant en tête la prise en charge qui va suivre.
J'ai donc passé une très mauvaise soirée, à quelques jours des partiels, entre deux gardes de réanimation, avec l'impression de perdre mon temps comme rarement (ah si, peut être lors des autres partenariats "exceptionnels" type samu75, SIS, tabac info service), puisque je n'ai rien appris qui puisse servir à ma pratique médicale, que je n'ai été d'aucune utilité, que je n'ai pas été rémunéré (cela dit je préfère qu'on supprime cette garde plutôt que de nous faire l'honneur de nous rétribuer par 20 euros).
Cela change du milieu médical où tout est codifié, encadré, hiérarchisé...
Il me paraît important qu'elle soit maintenue au cours des études médicales.
Je suis volontaire pour apporter une aide médicale aux SDFs, mais je n'ai pas choisi d'être travailleur social sur le terrain.
Ainsi, cette femme était sans abris, sans personne pour l'aider, et pour couronner le tout elle nous montre un certificat médical indiquant qu'elle était à risque d'accouchement prématuré.
Il y a eu un côté aussi médical, dans le conseil de structures adaptées et le changement d'un pansement.
Je pense que le moment le plus intéressant fut lorsque j'ai visité l'hébergement de Montrouge, le coordinateur du lieu m'a fait visiter les chambres, le local médical, la salle pour manger, la salle de repos.
Je pense qu'il est important pour les étudiants d'avoir une garde telle que celle-ci, puisqu'elle approche toute la misère sociale qui peut exister dans notre société aujourd'hui, et donc on ne tient pas forcément compte (ou du moins pas assez) dans la prise en charge médicale des patients.
Je pense aussi que j'aurais plus apprécié cette garde si elle avait eu lieu en hiver car l'enjeu médical y est plus important, ce qui est propre à ma formation.
D autre part, nombreux sont ceux qui refusent de se faire soigner, on m a dit qu un des SDF ne voulait pas se faire transporter dans un établissement avec prise en charge médicale , parce qu il avait peur de ne pas retrouver sa "place" en revenant s il partait .
Arrivé au centre Garel, l'IADE a suspecter une tuberculose, il fallait donc le déposer aux urgences pour prise en charge médicale, et ce dernier n'a pas supporté l'attente et le port du masque, il a quitté les urgences.
La deuxième est un SDF, qui pour des raisons médicales (non contrôle de son diabète) n’a pas pu être accepté au CHU de RR, et qui, dans un mouvement de désespoir, sorti une fourchette de sa sacoche assurant qu’il allait tenter de mettre fin à ses jours dans la nuit, tout en faisant rouler son fauteuil roulant en plein milieu de la route « pour en finir » et s’en faire renverser une voiture .
Oui, je n'ai rien appris de médical, mais sur le plan humain c'était fantastique, quel lecon de vie donné par les maraudeurs et les sans abris !
D'un point de vue strictement médical (on ne se refait pas, surtout en période de partiels) il est particulièrement inquiétant de voir à quel points les sdf peuvent avoir des pathologies potentiellement graves (dans ma garde j'ai vu : erysipèle, problèmes psychiatriques, mal perforant plantaire, état de mal épileptique chez un épileptique connu et alcoolique) et non prises en charge.
Cela nous permet de prendre conscience qu’il y a une part non négligeable de personnes démunies vivant en exclusion dans des conditions inadaptées et cela nous enseigne l’empathie qui ne peut pas s’apprendre dans les ouvrages médicaux mais plutôt sur le terrain dans l’école de la vie, qui est celle où l’on apprend les plus belles et les plus grandes leçons. […] Je pense que cette garde au samu social est indispensable dans notre formation médicale j’en garde une expérience très enrichissante et inoubliable.
Cette expérience est importante pour la pratique médicale à mon sens pour éviter la stigmatisation des sans abris à l’hopital dans le sens où j’ai déjà vu des soignants laisser de côté pendant plus longtemps ce type de population, leur permettant d’avoir accès à une prise en charge peut être de moins bonne qualité.
J'ai vraiment bien été intégrée dans l'équipe, ma voix était entendue pour faire un petit débreefing après les rencontres, surtout pour porter un regard médical.
Cela m'a donné envie de me renseigner davantage sur les modalités nécessaires afin de faire des consultations de médecine générale dans les centres d'hébergement d'urgence pour mon exercice médical futur.
J'ai même eu l'occasion d'assister à l'appel des pompiers pour une urgence médicale d'un des sans-abris de Romain Rolland.
Dans la mesure où on n'apprend rien de purement médical, il serait peut-être judicieux de la rendre facultative, et de la proposer aussi aux D1 que ça intéresse.
Nous l'avons prise dans le camion, l'AS et l'infirmière ont réalisé une première évaluation sociale et médicale.
Une garde au SAMU SOCIAL au cours des études médicales est aussi nécessaire que les gardes habituelles dans les services ou aux Urgences.
De même j'ai trouvé un peu "frustrant" le fait de ne pas pouvoir aider ceux qui, bien que malades, ne pouvaient pas recevoir plus de soins que les soins infirmiers de base (leur état de santé ne semblant pas nécessiter de les amener aux urgences), faute de vraie présence médicale dans les centres avant la journée (où la plupart de ceux qui en ont besoin n'iront pas après leur nuit...).
Enfin, la précarité sociale engendre la précarité médicale.
Par ailleurs, on se rend compte que la problématique médicale est très présente chez de nombreux demandeurs ( pathologies psychiatriques +++, blessures handicapantes) et détermine l'orientation qu'on peut leur proposer
Et bien sûr, même si ce n'est pas son objectif, elle ne présente aucun intérêt sur le plan médical.
Sur le plan médical, aucun intérêt pour des étudiants en médecine mais cette garde reste intéressante d'un point de vue humain .
J'avais bien en tête les camions qui sillonnent les rues de paris la nuit pour proposer une place la nuit, une couverture , un café ou tout simplement venir au contact des gens pour leur parler un peu, en revanche j'ai découvert l'existence des centres de jours avec toute l'assistance médicale, juridique, sociale qu'ils offrent.
J'ai compris par exemple que les gens ne meurent pas de faim à paris, car il existe de nombreux moyens d'obtenir de la nourriture gratuite (restos du coeur) ou bon marché, mais plutot de froid ou de problèmes d'ordre médicaux.
J'ai pu faire ma garde au Samu social hier soir, et je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en arrivant, je pensais qu'il y'aurait un côté beaucoup plus médical que ça.
En effet le SAMU social va à la rencontre des plus démunis, des oubliés, de personnes en détresse sociale et économique mais parfois aussi médicale.
Cette garde au Samu Social est vraiment une expérience très intéressante sur les plans humain, social, médical, etc L'équipe est composée d'infirmier(e)s et de travailleurs sociaux, de chauffeurs, de coordinateurs, d'écoutants..
Rien de médical.
Cela révèle, pour rester dans le jargon médical, le caractère symptomatique et non étiologique de la lutte contre la précarité.
Cette expérience va me marquer, j'en suis sûre, pour le restant de mes études, de ma carrière médicale et de ma vie privée, tout simplement.
Début de suivit médical engagée par l’hôpital Cochin pour les troubles du comportement alimentaire du second enfant par suppléments hyperprotéinés et le sd dépressif des deux parents par anxiolytiques.
Dans l'ensemble c'est vraiment une expérience très enrichissante sur le plan humain et qui nous servira sur le plan professionnel dans notre futur pratique médicale
Là encore peu d'échanges sur leurs vies personnelles : la discussion restait presque exclusivement médicale, mais déjà les premiers à priori apparurent, patients souvent peu aimables, parfois un peu déments, souvent incuriques...
Et au-delà de l'aspect médical, l'équipe avec qui j'étais m'a autorisé à m'impliquer et d'agir concrètement avec eux, parler avec les patients, donner mon avis sur leur état (voire même, me DEMANDER mon avis, moi, un novice non formé!!)...
On m’a fait visiter, la salle à manger, les chambres, le cabinet médical.
Cette garde est tout d'abord une expérience HUMAINE absolument NECESSAIRE dans notre cursus médical d'une part via la la rencontre avec les "usagers" aux profils différents et d'autre part via la rencontre avec les équipes. 1.1 Les "usagers" Nous n'avons pas tous eu la chance de rencontrer vraiment auparavant ceux que les équipes appellent les "usagers".