La garde au SAMU SOCIAL est une experience enrichissante que je conseille à l'ensemble des personnes qui ont l'occasion d'en avoir une. […] C'est aussi l'occasion de discuter avec les personnes qui travaillent au SAMU SOCIAL mais aussi avec les personnes sans abris de milieux sociaux variés.
J'ai eu l'occasion de participer à une maraude, l'occasion de voir qu'ici à Paris on retrouve malheureusement beaucoup de SDF qui sont obligés de passer la nuit dans le froid par manque de centres pouvant les accueillir la nuit.
Pour ma part, j'ai eu l'occasion d'évoluer au sein d'une équipe très accueillante et disponible notamment pour répondre à toutes mes questions dans le cadre des diverses situations rencontrées. Cette activité d'aide aux personnes en difficultés a été particulièrement enrichissante car : 1) J'ai découvert une nouvelle manière d'aider autrui, qui diffère totalement du cadre hospitalier auquel nous sommes habitué, 2) Cela m'a permis d'avoir un réel échange avec certains des SDF que nous avons accompagné au centre d'hébergement, hors nous avons rarement l'occasion au quotidien de nous intéresser de près à ces personnes qui sont à la marge de la société.
C'était une expérience enrichissante: l'occasion de prendre vraiment en compte l'environnement social des personnes dans le besoin, l'occasion de discuter avec ces mêmes personnes que l'on n'aurait pas forcément cotoyées "en temps normal", et surtout l'occasion de faire disparaître l'image du "sans-abri = clochard"...
J'aimerai avoir l'occasion de pouvoir prendre d'autres gardes au samu social.
Cette nuit au samu social crée l’occasion de se rendre au plus près de ceux qui sont dans le besoin, occasion que je ne sais pas créer dans ma vie de tous les jours.
J'ai eu l'occasion de rencontrer de nombreuses personnes dans le besoin et parler avec eux.
Cette petite mission au SAMU Social est l'occasion d'un premier contact avec les équipes de travailleurs sociaux pour la majorité d'entre nous et est une belle occasion de découvrir ce travail.
La nuit et en particulier le repas donne l'occasion de discuter avec les différents intervenants.
Cette nuit a été l'occasion de découvrir un monde parallèle, caché de Paris.
Au cours de ma garde j'ai eu l'occasion de voir et de visiter plusieurs lieux d'hébergement qui sont proposés aux gens de la rue et c'est probablement la première fois que j'ai écouté ainsi que parlé à des personnes vivant sur la rue. […] Je suis très contente d'avoir eu l'occasion d'assister à une garde au samu social et je suis sur que cela a changé mon attitude envers les personnes à la rue!
J'ai enfin eu l'occasion de voir concrètement quels étaient le rôle et les missions du 115.
J'ai eu l'occasion de discuter avec des personnes défavorisées et d'entrevoir leurs difficultés.
Elle m'a permis d'entrer en contact et d'échanger avec les personnes qui sont à la rue, occasion qui ne m'est pas donnée habituellement.
Je pense que cette maraude est utile au moins une fois dans notre cursus car elle permet de se rendre compte d'une réalité qu'on a rarement l'occasion d'entrevoir.
Donner l'occasion aux étudiants en médecine de faire une garde au SAMU social est une bonne initiative.
Nuit intéressante, permettant d'entrer en contact avec des situations difficiles qu'on n'a pas forcément l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital.
J'ai eu l'occasion de palper de plus près une souffrance que je ne connaissais qu'à travers les médias ou les journaux et c'est sûre que cet événement m'a fait réfléchir sur plusieurs questions essentielles.
Je me suis retrouvée dans une équipe de 3 jeunes qui n'avais pas encore tous eu l'occasion de travailler ensemble. […] J'ai eu l'occasion de visiter des centre d'hébergement et de restauration et d'assister à des "évaluations".
Cela permet également de découvrir des personnes que l'on a trop peu souvent l'occasion de rencontrer: les SDF d'une part, si semblables en apparence, mais diamétralement opposés lorsque l'on creuse un tant soit peu; les membres du SAMU SOCIAL d'autre part qui ne comptent pas leur temps et s'arrêtent dès que l'occasion se présente, afin de rencontrer des nouveaux arrivants dans le monde de la rue ou simplement pour échanger quelques mots avec une connaissance de longue date, dans le but d'en savoir plus sur son passé.
Une chose est sûre à présent, j'userais du 115 dès que j'en aurais l'occasion !
Expérience très enrichissante et très formatrice, permet un nouveau regard sur les personnes précaires, même si au cours de notre formation médicale nous avons l'occasion d'être en contact de ces personnes.
Malheureusement je n'ai pas vraiment eu l'occasion de discuter avec les personnes que nous avons aider.
Cette expérience est utile car elle nous montre un aspect social fort que l'on n'a pas l'occasion de voir autrement.
Le samu social m'a donné l'occasion de prendre conscience dans quelle condition vivent certaines personnes et de s'en approcher pour les aider, chose qu'on oserait pas dans la vie courante.
Je trouve que cela renforce notre expérience humaine dans notre cursus, c'est une occasion de voir comment se passe vraiment le travail du samu social et de rejeter quelques idées reçues .
C'était une occasion de découvrir l'environnement dans lequel vivent des personnes que l'on rencontre parfois ponctuellement aux urgences notamment, ce qui améliorera inévitablement la prise en charge globale et personnalisée de ces éventuels patients !
En tant que futur professionnel de santé, cette nuit est l'occasion d'observer la gestion de situations complexes que l'on peut également retrouver à l'hôpital mais cette fois avec un regard très différent et tout aussi empathique.
C'était l'occasion de découvrir les réalités de la misère sociale et de sa prise en charge.
En effet, je ne me donne jamais l'occasion d'approcher les sans abris, et pouvoir communiquer avec eux même si ce n'est que 5 min, m'a permis pu de constater à quel point cela pouvait aider ces personnes ( alors qu'on partait, j ai vu un sans abris pleurer de joie.
C'est l'occasion de faire des rencontres et de prendre vraiment le temps de discuter avec des hommes et des femmes vulnérables que l'on ne sait pas forcément comment aborder sinon.
Ça a été l'occasion de discuter avec eux, aussi, d'approcher un peu de leur quotidien...
Ce stage m'a permis de découvrir une autre partie de la santé qui concerne la partie sociale que nous n'avons pas l'occasion de voir à l'hôpital.
A titre personnel, je n'ai jamais eu l'occasion de parler à des sdf et j'ai pu m'intéresser au parcours de certains d'entre eux, discuter et comprendre que le profil type du sdf n'existait pas.
Je suis vraiment très content d'avoir eu l'occasion de me joindre aux maraudes.
Je n'avais jamais eu l'occasion de discuter avec des personnes vivant dans la rue, et je ne me rendais pas compte de tous les systèmes d'aide qui existe, je trouve que l'organisation du 115 est très bien.
J'ai effectué ma garde au Samu Social jeudi premier mars, c'était pour moi l'occasion de voir et de comprendre ce qu'il se passe sur le terrain. J'ai eu l'occasion de côtoyer des personnes qui vivent dans une grande précarité, certaines s'accrochant au lien social, ayant encore des projets et d'autres totalement isolées, n'ayant plus la force ou l'envie de communiquer.
Elle a été, pour moi, l'occasion d'un premier contact avec une population que je n'avais jusqu'ici jamais rencontrée au cours de mes stages.
J'avais déjà eu l'occasion de faire des maraudes mais jamais nocturnes donc cela à été nouveau pour moi.
Je connaissais très peu le SAMU SOCIAL et j'ai donc été contente d'avoir l'occasion de rencontrer les équipes qui y travaillent.
J'en suis revenu émerveillé; ça paraît bête, mais je me rends compte c'était la première fois que j'ai eu l'occasion de parler à des sans abris.
C'est une garde que j'ai trouvé intéressante puisque je ne sais pas si j'aurai eu l'occasion de faire quelque chose comme ça par ailleurs.
J'ai accompagné a cette occasion une équipe très sympathique, et humainement très impliquée.
La garde était plutôt intéressante, c'était surtout l'occasion de se rendre compte de l'état dans lequel toutes ces personnes peuvent "vivre" dans la rue.
Durant cette nuit de garde, j'ai eu l'occasion de rencontrer, entre autre, une jeune fille de mon age, toxicomane (alcool et héroïne) depuis l'age de 17 ans.
Ce fut une experience riche en decouvertes, qui changera le regard que je porterai sur les personnes que j'aurai l'occasion de croiser dans la vie de tous les jours.
J’ai eu l’occasion de découvrir le SAMU social de Paris, de comprendre la façon dont ses équipes fonctionnent et surtout d’aller à la rencontre de personnes dans le besoin.
C'est une expérience particulière, à laquelle nous avons peu l'occasion de participer au cours de nos études.
C'est une expérience particulière, à laquelle nous avons peu l'occasion de participer au cours de nos études.
Excellente occasion de s'ouvrir l'esprit et de découvrir les sdf sous un autre angle (et pas les pénibles bourrés du métro).
J'ai trouvé que cette garde était une expérience très enrichissante, et c'est quelque chose que je n'aurais pas forcément eu l'occasion de faire par moi-même.
Ce fut une occasion pour moi d'aller vers les personnes dont on entend parler mais à qui on ne parle pas.
J’ai trouvé cette expérience enrichissante, je n’avais jamais eu l’occasion de faire des maraudes auparavant et de côtoyer le milieu difficile de la rue la nuit ; je trouve que le travail des personnes travaillant au sein du samu social est admirable et qu’ils apportent beaucoup aux sans domiciles fixes, que ce soit en leur proposant un hébergement, un repas chaud ou juste de la compagnie.
Cette nuit aura aussi été l'occasion pour moi de voir la nécessité d'organisations telles que le SAMU Social via la maraude et le 115.
Pendant ma nuit au Samu Social j'ai eu l'occasion de faire la connaissance de personnes incroyables qui donnent une énergie folle pour aider les plus démunis sans discrimination. […] Enfin la maraude a été pour moi l'occasion de rentrer dans "l'action".
Tout de même je ne sais pas si j'en ferai d'autres de mon plein gré sans que la faculté de médecine me donne l'occasion.
J'ai aimé que cette garde me donne l'occasion de découvrir les différents centres d'hébergement, et de discuter avec les gens que nous y avons conduit.
Tout comme la première partie de la garde, c'était l'occasion de déconstruire certaines idées et de découvrir une des structures d'accueil.
Ce fut l'occasion de découvrir le quotidien d'un travailleur social que j'ignorais totalement.
C'était l'occasion de se rendre compte que le samu social prenait en charge des personnes dans le besoin et non des profils et des histoires typiques comme on pourrait le croire, et c'était rassurant de découvrir toute l'organisation derrière et le travail sérieux des personnes tres humaines impliquées .
Cette garde au SAMU Social de Paris n'était pas pour moi la première occasion de venir à la rencontre des exclus et des sans-abris.
La nuit a été rythmée par de nombreux allers-retours vers les centres d'hébergement qui furent l'occasion de discuter avec des sans-abris dans le camion.
C’est difficile d’entendre comme justification de refus « vous avez déjà dormi au chaud hier soir, ce soir vous n’avez pas de place, vous devez dormir dehors », même si l’on se rend compte par la même occasion qu’il n’y a pas de place pour tout le monde, et que c’est chacun son tour. […] C’est dans un esprit convivial que l’on a ensuite commencé la maraude : en se rendant sur le lieu d’un signalement pour recueillir une personne précise, nous en avons finalement accueillies quatre par la même occasion.
En effet, je n'avais jamais eu l'occasion de faire de la double écoute, et malgré le fait que se soit assez passive dans le sens où nous ne pouvons pas intervenir dans la conversation ou donner notre avis, j'ai particulièrement apprécié prendre le temps d'écouter les gens et de comprendre la difficulté bien réelle auquelle ils sont confrontés.
D'ailleurs, occasion de découvrir le guide Solidarité à Paris qui nous pourra être fort utile en tant que étudiants en médecine souvent confrontés à des patients en situation de précarité.
Au cours de la nuit, j'ai eu l'occasion de voir un des centres dont dispose le SAMU social à Montrouge et j'ai pu mieux appréhender les conditions dans lesquelles ils sont accueillis.
Même si on a tous les jours l'occasion de rencontrer des gens de la rue, on ne prend pas forcement le temps de le faire.
Malheureusement, je n'ai pas eu l'occasion d'effectuer de maraude à cause des signalements réguliers mais surtout du temps de trajet entre la localisation des usagers et les centres d'hébergement où ils étaient transportés.
Le tour de " maraude " a été pour moi l'occasion de poser beaucoup de questions et d'avoir un réel échange avec l'équipe.
L'EMA que j'ai eu l'occasion d'observer faisait preuve beaucoup d'empathie envers les démunis qu'elle croisait pendant la maraude et ça m'a touché de voir ces pauvres gens souriants et reconnaissants du simple café ou du simple thé qu'on leur donnait.
Il s'agit d'une bonne occasion d'effacer certains à priori, de comprendre l'organisation du 115 en France, des nuitées, mais aussi de mieux être sensibilisé aux difficultés des personnes "à la rue", en se rendant disponible pour eux.
Globalement, c'est une bonne expérience humaine, que l'on aurait pas forcement l'occasion de réaliser dans un cursus de médecine classique.
Elle nous donne l occasion de rencontrer des personnes qui ont une autre vision d aider les personnes en difficulté.
J’ai eu l’occasion de visiter un foyer, ce qui m’a bcp plu car j’ai été rassurée des conditions dans lesquelles sont hébergés les personnes mises à l’abri.
J'ai eu l'occasion de voir un entretien de premier Samu, c'était très enrichissant.
Il s'agit d'une très bonne occasion pour changer son regard sur la société, ces situations de précarité tendent à être de plus en plus fréquentes et à toucher les enfants, les moyens sont insuffisants.
À l'hôpital, nous n'avons pas forcement l'occasion de suivre les démarches sociales permettant d'aider au mieux ces patients.
De même, j'ai déjà eu à plusieurs reprises l'occasion d'être confronté à la vie dans la rue, et cette nouvelle confrontation ne m'a pas apporté beaucoup plus, en dehors de l'organisation du Samu social, du fonctionnement du 115 et de l'hébergement en région parisienne, ce qui me semble quand même suffisant pour justifier cette garde.
La maraude à été l'occasion de rencontrer des sdf, dans un cadre qui facilite l'échange (on fait partie d'une institution et on est en équipe) et où on peut les aider.
La première partie de la garde (la double écoute) demeura trop courte à mon sens, laissant peu l'occasion de percevoir les véritables enjeux et résultats de la prise en charge téléphonique.
Cette garde est l'occasion d'aller vers eux, de discuter avec et d'apprendre leur histoire.
J'avais eu l'occasion à plusieurs reprises d'avoir un contact avec les plus démunis dans le cadre d'ATD quart monde.
J'ai eu l'occasion de voir une femme sans domicile fixe passer du calme au referme ment sur soit en passant par la coopération puis les pleurs, l'énervement et la frustration.
C'était aussi l'occasion de visiter un centre d'hébergement d'urgence et de voir comment se réalisait la répartition des places.
Honnêtement, c'est une des plus belles expériences que j'ai eu l'occasion de vivre.
Une première pour moi : ce fut l'occasion de rendre grâce pour cette vie où j'ai beaucoup reçu !
J'ai eu l'occasion de parler avec une des personnes qui a été suivi par Claus Drexel pour son film-documentaire "Au bord du monde", personnage très intéressant qui m'a permis de m'éclairer sur ces différents sujets relevés au dessus.
J'ai eu l'occasion de marauder dans mon quartier et donc d'aller voir des personnes que je croise au quotidien sans avoir jamais discuté avec eux mis à part un bonjour.
J'ai d'ailleurs eu l'occasion de voir pour la première fois plusieurs de ces centres et de constater leur fonctionnement aussi différents soient-ils.
Je suis contente d'avoir eu l'occasion d'assister aux interventions du samu social; mais enfin je ne pense pas avoir le courage suffisant pour y travailler au long court.
J'ai eu l'occasion de participer à la prise en charge d'un patient toxicomane sous Subutex.
: -cela permet de mieux comprendre la situation de nombreux sdf que l'on croise régulièrement en stage au SAU, -j'ai eu l'occasion d'assister à des prises en charges variées (transport simple / consult. infirmière + place en foyer médicalisé / maraude / distribution de nourriture et de vêtements ou couvertures), -l'équipe dans les bureaux autant que sur le terrain est habituée à encadrer des observateurs, et très accueillante, une remarque : au lieu de nous faire lire au début de la garde le carnet réalisé pour les externes (le genre qu'on aimerait recevoir au début de chaque stage), pourquoi ne pas le fournir avant par mail ?
Également, l'occasion de me rendre compte des limites de la maraude : quantité limitee dans un camion de "soupes", "dosettes de café"- ce qui implique donc de savoir gérer le stock tout le long de la maraude - délai d'attente entre appel et intervention parfois de plusieurs heures...
J'ai pu découvrir comment le 115 fonctionne, comment les places sont attribuées pour la nuit et j'ai même eu l'occasion de "visiter" un des centres d'accueil.