Je trouve qu'il faut un courage exemplaire pour travailler au samu social, à la fois les équipes des maraudes, et celles des lieux d'accueil. Si je travaille aux urgences et qu'un sdf se présente ou est amené, je saurai mieux comment le soigner.
Je me souviens lors de la maraude que l' équipe a pris en charge un jeune tchèque voulant travailler chez EMAUS, présent depuis 3 à 6 mois en France mais étant déjà venu il y a 5 ans et ayant déjà travaillé à cette époque chez EMAUS.
Il fut également très intéressant de voir comment travaillaient les employés du SAMU SOCIAL, mais aussi ceux des centres d'hébergement.
Je trouve que les personnes qui y travaillent doivent faire preuve d'une grande force morale pour effectuer les maraudes.
Cela m a donné envie de réitérer l expérience , et pourquoi pas éventuellement , travailler dans cette branche .
Il venait de finir de travailler et nous a demandé un abri pour la nuit .
J'admire donc d'autant plus les personnes qui travaillent au SAMU social qui doivent faire preuve de beaucoup de force morale et de patience.
Je suis content d'avoir vu la façon dont travaillent ces équipes même si je n'ai pas vraiment vu le lien avec notre formation.
Les travailleurs sociaux et infirmières qui travaillent au Samu Social, et même les chauffeurs du camion, sont des gens extraordinaires, que j'aimerais être capable d'imiter plus tard.
J'ai compris le gros travail du SAMU social pour essayer de sortir les gens de la rue, c'est une bonne chose que les médecins en devenir y soit sensibilisé, car ainsi nous comprenons mieux les enjeux et nous pouvons travailler avec eux dans un objectif commun.
J'admire beaucoup les gens qui travaillaient là-bas: ils étaient d'une gentillesse et d'une simplicité exceptionnelle, ce qui permet de rapidement briser la glace lors du premier contact avec les personnes que l'on rencontrait.
Je pense en effet qu'il est indispensable dans notre formation de voir au moins une fois comment ces gens travaillent, toutes les nuits, au service des plus démunis.
J'ai beaucoup apprécié ma garde et admire d'autant plus les équipes qui y travaillent.
Je trouve que les personnes qui travaillent dans le camion font preuve d'un courage remarquable malgré les risques auxquels ils s'exposent .
J'ai éprouvé beaucoup de respect pour les personnes qui travaillent au quotidien dans ces conditions difficiles, pendant que d'autres dorment, et j'ai été frappée par leur humanité.
L'équipe avec laquelle j'ai pu "travailler" a été très agréable, motivée et à l'écoute de mes questions.
C'est une très bonne leçon d'humilité que de côtoyer les professionnels qui travaillent au Samu Social.
Je trouve que les personnes qui travaillent au samu social sont vraiment impressionnants.
J'ai pu parler avec des gens à qui je ne parlerais jamais sinon, et ça permet d'humaniser notre travaille par la suite.
Le coté social et l'aide à l'insertion ou la réinsertion est très important pour eux mais également pour les gens qui y travaillent.
De plus, il faut saluer les travailleurs sociaux, les infirmiers et conducteurs qui travaillent quotidiennement pour venir en aide à ces personnes.
J'ai été impressionnée par l'implication des personnes qui y travaillent, leur bienveillance et leur force face à ces situations difficiles, les liens tissés entre les équipes mais aussi ceux qui vivent dans la rue.
qui rejettent un patient car il est SDF, alors que là où je travaille aux urgences on ausculte des patients simplement constipés !!!, et d’autre part, la perte d’espoir des gens qui travaillent au SAMU social, qui eux aussi finissent par baisser les bras… Je ne sais pas ce qu’est devenu ce jeune homme, mais il n’a pas été refoulé par les urgences.
Il travaille la journée et tous les soirs il demande de l'aide pour se loger.
Ce qui m'a le plus marque est la prise en charge de personnes comme vous et moi, qui travaillent mais qui ne peuvent pas trouver de logement et qui doivent dormir dans la rue.
L'équipe avec laquelle j'ai travaillé était sympathique, mais j'étais assise a l'arriere et j'entendais mal ce qui se passait à l'avant...
C'est aussi l'occasion de discuter avec les personnes qui travaillent au SAMU SOCIAL mais aussi avec les personnes sans abris de milieux sociaux variés.
Je salue le dévouement des personnes qui travaillent au SAMU social et des bénévoles car ils font un travail admirable, que je ne serai pas capable de faire au quotidien.
La garde que j'ai effectuee au samu social de Paris m'a permis de rencontrer des personnes qui travaillent dans des conditions difficiles dans le simple but de venir en aide a d'autres qui vivent des situations compliquees et dont parfois le seul but est la survie.
La visite du centre Romain Roland m'a permis de bien comprendre le fonctionnement des structures et le but de l'ensemble des équipes qui travaillent avec les sans abris.
La visite du centre Romain Roland m'a permis de bien comprendre le fonctionnement des structures et le but de l'ensemble des équipes qui travaillent avec les sans abris.
Je connaissais très peu le SAMU SOCIAL et j'ai donc été contente d'avoir l'occasion de rencontrer les équipes qui y travaillent.
Les travailleurs sociaux devraient mieux nous expliquer leur travaille même si cela est très compliqué, et que ce n'est pas vraiment de notre ressort.
Ce n'était pas la première fois que je servais les sans abris ayant déjà travaillé en association avec l'ordre de Malte,mais cela était différent car ceux ci ne dormaient pas dans la rue mais sur le bateau à Javel.
Il devait aller travailler la journée, mais dormait dehors.
Et enfin j'ai trouve admirable la bienveillance et la patience des gens qui y travaillent.
C'était enrichissant de travailler avec le samu social parce qu'on se rend compte de l'urgence dans laquelle se trouve certaines personnes.
- Les femmes qui travaillent le jour et n'ont pas de logement quand arrive la nuit.
J'ai aussi découvert l'ampleur des structures d'accueil et du nombre de personnes qui y travaillent.
Garde vraiment intéressante, les personnes qui travaillent au samu social sont évidement toute d'une grande gentillesse et générosité.
J'ai trouvé cela très intéressant de voir comment travaillait le SAMU social, en équipe avec une infirmière et une assistante sociale.
C'était celle d'un homme d'environ la cinquantaine, SDF depuis quelques années maintenant, qui travaillait sur les autoroutes.
Si le temps me le permettait, je serais ravi de travailler à temps partiel pour le SAMU Social ou des maraudes bénévoles.
On en voit tous les jours en allant travailler, dans le métro, etc...
Cette nuit au Samu social m'a permis de voir la pauvreté présente dans la ville dans laquelle nous vivons, nous travaillons.
Je pense qu'y travailler est très gratifiant (pour les maraudeurs comme ceux qui répondent au téléphone) mais très éprouvant, du fait de la proximité constante avec ces gens qui souffrent.
Les personnes qui y travaillent sont d'une humanité incomprarable.
Ces métiers sociaux au contact de ces personnes sont éprouvants et je ne désire pas, aujourd'hui, travailler dans cette branche mais ils sont pourtant nécessaires et apportent un peu de chaleur humaine à ces pauvres gens qui ne demandent pas grand chose mais qui sont heureux que quelques personnes s'intéressent à eux en leur apportant un peu de réconfort.
Je me suis rendu compte que les gens qui faisaient appel au 115 n'étaient pas que des gens totalement exclus de la soiciété nous avons récupérés deux femmes (dont une plus jeune que moi, ça fait énormément de peine) qui travaillait ou vu un monsieur qui allait au cinéma la journée.
J'ai pu visiter un foyer d'accueil et discuter avec les personnes qui y travaillent et ceux qui viennent pour dormir.
Les gens qui y travaillent sont très gentils.
Ensuite, on m'a mis en double-écoute, où j'ai pu découvrir comment le centre de régulation du 115 travaille et j'ai été énormement touché par la gentillesse et la chaleur comment les agents parlent avec les usagers.
Les équipes travaillent toutes le sourire aux lèvres avec l'envie évidente d'aider les personnes qui n'en demandent pas toujours spontanément.
Enfin, l'equipe du SAMU social est vraiment géniale, il y a une super entente et c'est très agreable de travailler dans ces conditions.
un contact humain intéressant avec les gens qui travaillent régulièrement la bas,qui m'ont acceuilli très gentillement et ou l'esprit d'équipe est indispensable puis avec les SDF qui montrent un réel désir d'échange meme s'ils n'acceptent pas toujours les soins et les aides qu'ont leur proposent.
Le fait de demander après la pause si l'on veut continuer les maraudes ou rentrer chez nous est une bonne chose, j'avais la chance de ne pas travailler le lendemain, mais ça n'est pas donné à tout le monde, et dans ce cas, la fatigue s'accumule.
Je pense qu'une expérience comme celle-ci est fondamentale dans la formation des médecins, tant sur le point de la relation humaine que sur celui des conseils d'orientation, surtout lorsqu'ils sont amenés à travailler aux urgences.
Je suis contente de voir que de tels moyens sont mis en place pour les personnes les plus démunies, et que des gens travaillent chaque jour (et chaque nuit) pour les aider.
En effet nous serons sans doute amenés à travailler avec, or, afin d'assurer une certaine cohésion entre les différents acteurs de santé, il est primordial de connaitre les tenants et les aboutissants des activités de chacun.
J'ai apprécié le fait de pouvoir travailler avec les écoutants et les maraudeurs: avec les premiers on se rend compte de l'organisation globale de l'aide proposée, et avec les seconds on peut aller au plus près du problème pour y trouver une solution, bien que temporaire le plus souvent.
Les personnes qui y travaillent, autant à la double écoute qu'aux maraudes, et donnent de leur temps sont toutes plus formidables les unes que les autres.
Nous avons répondu à des demandes de logement d'urgence pour des gens qui travaillent ou qui font tout ce qu'il peuvent pour s'en sortir mais qui ne peuvent pas se loger ni subvenir à leur besoin.
Je suis contente d'avoir eu l'occasion d'assister aux interventions du samu social; mais enfin je ne pense pas avoir le courage suffisant pour y travailler au long court.
Cependant l'équipe est très accueillante et ce fut un plaisir de travailler avec eux.
Et à ceux qui travaillent à temps plein mais gagnent trop peu pour obtenir un logement ou un repas tous les.
J'ai aimé voir ces gens travailler en équipe dans le seul but de pouvoir donner un peu de confort aux plus démunis, même s'ils savent tous que le lendemain il faudra recommencer.
Je trouve cette expérience très enrichissante, en effet de rencontrer des personnes qui travaillent dans ce domaine et qui savent comment réagir enrichit notre pratique.
J'ai beaucoup apprécié la facon dont les équipes travaillaient ensemble, la bonne humeur entre l'infirmier, le travailleur social et le conducteur, qui tous les trois, étaient très à l'écoute des personnes rencontrées durant la maraude qui avaient parfois vraiment besoin de discuter.
Cela m'a donné très envie de m'engager dans l'associatif ou de travailler plus tard dans le social ou l'humanitaire.
Je pense cependant que c'est une bonne expérience (comme pourrait l'être un passage chez les pompiers ou la police, avec lesquels nous travaillons aussi), à faire au moins une fois dans notre formation, et qu'une nuit est amplement suffisante.
Je me souviendrais de cette femme de 60 ans de bonne classe sociale, finissant dans la rue après une dépression terrible; cette famille égyptienne exilés politiques avec deux petits garçons, ce couple Roumain qui travaillent au black la journée; etc..
D’ailleurs, j’ai été assez surprise par la diversité des formations et milieux de gens qui travaillent au SAMU Social, qui veut dire pour moi il y n’a pas vraiment de formation spécifique pour vouloir aider les gens les plus démunis.
J'ai bien vu que la jeune femme qui travaillait avec moi partageait mes sentiments a propos de ce garçon.
j'ai réellement apprécié de participer à cette nuit de "maraude" dans les IIIe, Xe, XIe et XXe arrondissements de Paris et cela de différents points de vue : essayer de répondre aux besoins des gens au téléphone, découvir l'équipe qui travaille dans le camion, et aller à la rencontre des gens dans la rue.
Les personnes avec qui j'ai travaillé ont assez insisté sur le fait que l'on n'était que de simples"observateurs".
Les personnes qui travaillent au SAMU social font preuve d'une incroyable humanité et empathie face aux SDF, trop souvent ignorés par la société.
C'était très intéressant, et utile je pense pour des futurs médecins car nous serons probablement amenés à travailler avec le SAMU social (par exemple, le fait de savoir qu'il y a une infirmière dans la camion).
J'ai commencé la garde par la double écoute puis vers 21h je suis partie en maraude avec un chauffeur qui travaille au Samu Social depuis 3 ans, une infirmière qui y travaille depuis 10 mois et une travailleuse sociale (moniteur éducateur) qui y travaille depuis 1 an.
Et c'est là qu'une dame ayant travaillé toute sa vie, avec la plupart de sa famille décédée bascule dans la précarité.
Je me suis retrouvée dans une équipe de 3 jeunes qui n'avais pas encore tous eu l'occasion de travailler ensemble.
Cette nuit m'a permis d'être confrontée de près à la réalité de la vie quotidienne de certains et de réaliser que la rue n'accueille pas seulement des hommes sans emploi, sans papiers, imbibés d'alcool, mais aussi des jeunes de mon âge, qui sont en formation ou parfois même travaillent, dont personne ne sait qu'ils n'ont pas de toit pour dormir, car ils le cachent.
Les maraudes avec l’équipe (très accueillante) m’ont permis de poser un regard nouveau sur ces personnes que nous voyons trop souvent en allant travailler ou allant acheter son pain et à qui nous ne prêtons pas toujours attention, en oubliant parfois que ces personnes ont un vécu, des sentiments, une fierté.
Il est en France depuis 6 mois environ, effectue un stage non rémunéré et travaille "au noir" pour gagner un petit peu d'argent.
Situation embarrassante, car: 1 - notre niveau d'externe ne nous permet pas de d'effectuer ce genre de diagnostic 2 - ceci met une distance entre "l'externe" du monde médical et les travailleurs sociaux (or nous sommes venus pour voir comment travaillent les maraudeurs et non pour prendre une n-ième garde d'urgence-réa) 3 - ceci n'est pas correct d'un point de vue médico-légal (nous ne sommes pas médecins thésés) Sinon, très bon accueil, personnel super sympathique !
Dans notre métier, on travaillera souvent avec des personnes défavorisées et il faut qu'on n'aie pas trop de préjugés.
La plupart des personnes ramenées sont ivres mais il y avait un SDF qui était plus intéressant, le premier, qui a travaillé au CERN et qui avait été ami de Chaptal.
Chez ces personnes qui vivent dans la rue, et celles qui y travaillent : car la beauté de la chose est là, dans ce qui nous rassemble, soignants (et j'y inclue le SAMU social) et soigné.
Je ne doute pas une seconde de la bonne volonté des personnes qui travaillent au SAMU SOCIAL, du peu de moyens dont elles disposent et, il faut le dire, du fait qu'elles n'aient pas choisi ce système et qu'elles le subissent aussi, mais là franchement ce n'est pas possible ! […] Alors oui c'est sûr que si le SAMU SOCIAL avait plus de moyens ce serait mieux, mais je ne peux pas m'empêcher de dire que j'ai été un peu choquée quand j'ai vu que les locaux de l'association étaient spacieux, tout neufs, très climatisés et que les personnes qui y travaillent font des pauses de 20 min toutes les 2h...
Ce que les gens ne savent pas forcément aussi c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent et qui sont quand même à la rue car leur salaire est trop faible pour pouvoir se loger.
Ca peut arriver à chacun d'entre nous : par exemple, un monsieur qui venait d'être licencié, il était logé par l'entreprise où il travaillait donc il perdait son travail ET son logement...
Ma sœur ayant déjà travaillé en tan qu'IDE au Samu Social, je savais à quoi correspondait cette garde, et j'étais assez pressée d'y participer.
Il faut vraiment être courageux et avoir la foi pour travailler dans ces conditions.
Ca peut arriver à chacun d'entre nous : par exemple, un monsieur qui venait d'être licencié, il était logé par l'entreprise où il travaillait donc il perdait son travail ET son logement...