Elle permet, outre le fait de mieux se rendre compte de la situation très précaire de bon nombre de personnes exclues socialement, de voir la réalité du terrain et toutes les difficultés auxquelles doivent faire face les professionnels du samu social (manque de place, difficultés matérielles, etc...) Une équipe de maraude très accueillante vis à vis des externes, qui répond à toutes nos questions, et qui nous expose la réalité difficile du terrain.
Humainement c'était très enrichissant, Ca nous confronte à une réalité qu'on imagine pas forcement ou du moins pas comme ça, et à une réalité qu'on ne voit pas à l'hopital mais qui est tout à fait complémentaire à notre pratique clinique.
Cela nous permet d'apercevoir une réalité qui nous échappe peut être au quotidien.
Cela nous permet d'être confrontés à la réalité sociale.
Je trouve cette expérience extrêmement enrichissante Elle nous a permis d'être confronté a la réalité des problèmes sociaux et l'importance d'aider certaines personnes en difficultés.
Stage formateur, equipe très accueillante, je pense que c'est un stage formateur car il montre une réalité du travail social en france.
Pour un futur medecin, il est important de voir certaines réalités dont on ne se rend pas forcément compte.
J'ai pu observer la réalité de la rue de mes propres yeux.
En pratique pour les ECN, cette nuit d'observation ne nous sera d'aucune utilité, mais dans notre vision des gens, des personnes en difficultés et potentiellement nos patients, cette expérience permet de se rendre compte de la réalité du terrain ! […] Et la différence entre les réflexes qu'on apprend à avoir pour l'internat (VIH, VHC, Prise en charge sociale, alcool...) et la réalité de la situation de voir en fasse de soit une personne en train de s'injecter des produits est assez frappante.
Une belle expérience humaine qui nous met face à la dure réalité de la rue.
La garde au samu social a été très enrichissante d'un point de vue humain, cela nous permet de voir une réalité dont on ne se rend pas forcement compte.
Je considère que cette soirée m'a été utile dans la mesure ou elle nous confronte à la réalité des personnes vivants dans la rue et les difficultés auxquelles elle doivent faire face.
Cette garde au samu social permet de se rendre compte de la réalité de la rue et de la réelle detresse de certaines personnes sans domicilie fixe .
Cette maraude, bien qu'unique et courte, nous donne un bon aperçu de cette réalité que nous nions souvent.
Je pense que cette maraude est utile au moins une fois dans notre cursus car elle permet de se rendre compte d'une réalité qu'on a rarement l'occasion d'entrevoir.
Je pense que ça ne peut qu'etre bénéfique pour l'étudiant en médecine qui est un peu déconnecté de la réalité sociale, en effet il vient souvent de catégorie sociale plutôt favorisée.
Cette garde m'a permi de me rendre compte de la dure réalité que certaines personnes ont a affronter au quotidien.
Accueil très agréable des infirmiers qui m'ont bien expliqué cette dure réalité .
L'expérience est juste quelque peu difficile sur le plan moral mais en même nous confronte à une réalité que l'on n'imagine pas toujours.
Je pense que c'est une bonne chose que cette garde au SAMU SOCIAL soit obligatoire car elle nous met face à la triste réalité.
Cela permet de faire face à une réalité qu'on ignore assez souvent.
L'équipe est toujours sympa et on se rend compte de la réalité de la rue.
C'est une réalité difficile à voir mais c'est une belle expérience.
La garde au samu social nous confronte avec une dure réalité qui hélas peut très facilement passer inaperçue : la misère.
Elle permet de découvrir une réalité qui nous échappe pour beaucoup compte-tenu du milieu relativement protégé dont beaucoup d'étudiants font parti.
C'était l'occasion de découvrir les réalités de la misère sociale et de sa prise en charge.
j'ai beaucoup apprécié car c'est un milieu que je ne connaissais pas et j'ai pu me rendre compte de la réalité, même si je savais que ça existait, on ne se rend pas vraiment compte qu'autant de gens sont dans la rue!!
Le seul point positif que je retiendrai sera la visite de ces foyers (3 en tout), où j'ai été très bien acceuillie et où l'on peut vraiment se rendre compte de la réalité.
Cette expérience ouvre les yeux sur la réalité de la rue, tout le quotidien des SDF de longue date: maladie chronique peu soignée, isolement social, dépression, solitude, vivre au jour le jour sans projet d'avenir...
Se rendre compte de la réalité de certains d'entre eux qui sont nos futurs patients (par exemple, aux urgences).
Je trouve l'organisation de ce stage court très bien faite car elle nous permet à la fois de voir le versant standard téléphonique en guise d'introduction et afin de comprendre le fonctionnement de l'association mais aussi le versant terrain pour mieux se rendre compte de la réalité des choses.
Il paraît que c'est tres rare, mais ca ne m'a pas dérangée, bien au contraire, d'etre face à cette réalité de la rue. […] Cette expérience rend humble et fait prendre conscience d'une réalité qui, par chance, nous épargne.
La garde m'a permis de me rendre compte de l'ampleur de la pauvreté à Paris et du décalage entre les aides que je pensai être fourni comme des lieux convenables et en quantité suffisante pour dormir et la réalité qui est le manque de place et le manque de moyen pour faire face à ce phénomène.
C'était une très belle nuit, on apprend énormément de choses, tant sur le fonctionnement du samu social que sur la réalité de ce qui se passe dans l'ombre à côté de nous.
Cela nous ouvre les yeux sur la réalité de la vie que mènent des familles étrangères qui arrivent en France.
Cela permet d'avoir un regard bref mais crucial sur la "réalité", sur ce qu'on ne voit pas en tant que citoyen ou en tant que personnel soignant des hôpitaux... Se rappeler de la misère sociale et de la réalité du quotidien que vivent tant de personnes qu'on croise dans la rue...
Cette nuit m'a permis de découvrir une autre réalité, parfois violente, souvent touchante, et de lever certain préjugés.
Nous avons bien discuté, et cela m'a permis de prendre conscience d'une réalité que je ne concevais pas avant.
De plus, ça m'a permis de me rendre compte de la réalité de leur qualité de vue médiocre.
La garde au samu social est une expérience enrichissante qui m'a permis de mieux comprendre la réalité de la vie des SDF que l'on perçoit peu à l'hôpital.
On change notre vision des choses, on ne se rend pas compte de la réalité, et jamais je n'aurais pensé avoir de conversations avec les sans abris que je rencontrerais sur mon chemin.
Je pense que c'est un bon moyen de prendre conscience des réalités de la vie, même si ça peut être un peu brutal par moment.
Pour ma part, cette nuit a été très enrichissante car elle nous confronte à la réalité du quotidien des plus démunis.
J'ai trouvé cette garde intéressante dans l'ensemble, pour découvrir le fonctionnement et les objectifs du SAMU SOCIAL, ainsi que la confrontation avec la réalité sur le terrain, que vivent les personnes sans abris dans la rue.
J'ai pu également prendre conscience de certaines réalités, notamment le nombre impressionnant de familles et de jeunes enfants dormant dans la rue en plein hiver.
Elle permet de voir la réalité sociale à laquelle font face des personnes de tout âge.
J'ai trouvé cette expérience assez enrichissante, dans le sens où cette premier contact avec cette réalité sociale m'a permis de mieux comprendre la situation précarité dans laquelle se trouvent les "usagers", des difficultés qu'ils ont à s'en sortir.
Cette garde permet de se confronter concrètement à des réalités dont on a conscience, mais qui peuvent rester assez abstraites dans la vie quotidienne.
Une expérience humaine intéressante, permettant d'ouvrir les yeux sur une réalité que l'on sait exister sans toutefois réellement avoir conscience de la misère qui peut exister dans les rues de notre capitale.
Du point de vue de la réalité à laquelle on est confrontée (et qui m'était auparavant très abstraite), elle est dure, parfois désespérante, mais il me paraît maintenant évident qu'un futur médecin tout particulièrement doive en prendre conscience, ne serait-ce pour mieux appréhender la réalité de tant de patients des hôpitaux afin de mieux les accompagner.
J’ai pu etre confronté à une réalité, que certes on peut voir tous les jours, mais qui en participant de manière tellement active me montre qu’on peut vraiment faire la différence, faire quelque chose pour aider.
Il rend compte de la réalité de la vie dans lequel on vit.
Cependant cela permettait aussi d'appréhender la problématique dans un contexte plus proche de la réalité quotidienne de ces personnes d'une grande pauvreté.
La double-écoute est un moment intéressant du point de vue de la gestion de la prise en charge de situations de grande détresse, tandis que la maraude en tant que telle permet de se confronter aux réalités du terrain.
Je trouve cette expérience importante, pour notre cursus tout comme dans d'autres cursus, car elle nous oblige à nous confronter à une réalité devant laquelle nous fermons bien trop souvent les yeux...
Ce fut extrémement enrichissant, mais très dur aussi, la réalité de la rue, la misère humaine, l'échec du système, nous percutent de plein fouet dans nos certitudes, de soignant, et d'humain.
La maraude et la réunion de 20h furent de bonnes découvertes, permettant de mieux se rendre compte de la réalité du terrain.
Cela m'a beaucoup sensibilisé de voir les difficultés auxquelles sont confrontés quotidiennement tant de gens,l'injustice et le décalage qui existe par rapport à "notre" réalité.
Nuit instructive, ou j'ai rencontré à la fois des personnes qui sont loin des clichés du " clochard " de base, mais aussi d'autres complétement désocialisées et coupées des réalités.
En allant ainsi vers les personnes en difficulté et face à la dure réalité de la rue, on réalise l'importance de cette action et les efforts qui sont encore à fournir pour leur permettre au maximum de pouvoir dormir dans des endroits adaptés.
A la fois un retour à la triste réalité du manque de places en hébergement d'urgence, illustré par le nombre de refus de l'opératrice du 115 aux nombreux appels d'usagers de la soirée; et la surprise de voir le sourire et la courage des gens rencontrés dans la rue (parfois toute une famille) qui tiennent le coup et sont reconnaissants du peu de réconfort que nous avons pu leur apporter en passant 5 minutes avec eux et en leur offrant un café.
La double-écoute est une belle introduction, notamment lorsque l'appelant est étranger et nécessite un traducteur, mais c'est en prenant part à une maraude que l'on se rend compte de la réalité de la mission dont est investi le SAMU Social.
cela peut se comprendre étant donné que le samu social fonctionne "au jour le jour" et il est donc difficile de retrouver la dure réalité la nuit suivante!
Cette garde est enrichissante, elle nous plonge dans la réalité de la vie dans la rue.
Tout d'abord l'acceuil des équipes du samu social très enthousiastes à l'idée de me faire partager leur quotidien et de répondre à toutes mes questions, mais aussi la découverte des réalités de la rue et des centres d'hébergements.
J’ai trouvé difficile de ne pas pouvoir trouver de solution pour tout le monde et d’etre confronté à la réalité du terrain...
En tant qu'étudiant en médecine, cette garde nous permet de voir une autre facette de l'aide envers autrui, de nous rendre compte de la réalité de la rue etc..
La double écoute m'a, à travers le sens auditif, fait ouvrir les yeux sur la réalité des immigrés, qui débarquaient dans un pays étranger ou ils devaient faire avec une nouvelle langue et de nouvelles règles, souvent seuls perdus et ayant le SAMU social pour seul repère.
Des sans abris qui préfèrent rester dehors que de goûter au confort d'une nuit qui ne les ferait que plus replonger dans leur réalité.
Le stage d'une nuit au SAMU SOCIAL de Paris fut une expérience unique pour prendre pleine conscience de la réalité et dureté de la vie de personne que nous croisons dans la rue au quotidien sans y prêter trop attention, car les SDFs sont devenus une chose banale à Paris.
Cette nuit de garde au Samu Social de Paris m'a permise d'avoir une autre vision de Paris et surtout de voir la vraie réalité de certaine personne dans le besoin par un autre biais que l'hôpital.
Cette garde nous ouvre les yeux sur la réalité des sans-abris et de la vie (ou plutôt de la survie) au jour le jour, les galères pour avoir de quoi se nourrir, un endroit pour se réchauffer ou pour dormir.
Être directement sur le terrain permet de se rendre compte de quelques détails sur une réalité dont nous sommes déjà conscients grâces à nos stages.
Cette garde au SAMU social permet de se rendre compte de la réalité de la misère humaine.
Car, on prend conscience d'une réalité jusque là inconnue ou ignorée...
Elle permet de se rendre compte de la réalité des choses, que malheureusement le monde n'est pas tout rose et que de nombreuses personnes sont en difficultés.
Certaines situations rencontrées sont dramatiques (notamment situations de migrants fuyant les violences de leur pays et arrivant en France sans rien) et m'y confronter en vrai m'a fait prendre conscience de la réalité du quotidien de ces personnes et de leur courage, bien plus que lorsqu'on aborde le sujet à la télévision ou dans les journaux.
Dure réalité mais réalité tout de même.
Je pense que cette nuit au Samu Social est très enrichissante pour moi, étudiante en médecine, car elle permet de me rendre compte un minimum de la réalité de la vie dans la rue et pourra m'aider, je l'espère, à mieux comprendre ces personnes lors de mon exercice professionnel.
La réalité est tout autre malheureusement, j'ai appris en discutant avec les responsables que à peine 1personne sur 10 composant le 115 est susceptible d'être logée pour la nuit .
Je sors grandie de cette courte expérience, avec une vision des choses beaucoup plus proche de la réalité que celle que j'essayais de me représenter avant de me rendre à ma garde.
Le monde des sans-abri est vraiment un autre monde, que dans la vie de tous les jours nous évitons presque tous, alors qu'il fait partie de la réalité.
Je pense que tout le monde se fait un idée des personnes pouvant demander de l'aide mais on se rend vite compte que les profils sont loin d’être ceux que l'on pense ( famille , couples , demandeurs d'asile , personnes handicapées , jeunes ) Certains appels sont frappants car ils nous montrent une réalité encore ignorée, la détresse , le désespoir , la solitude.
Elle m'a permis notamment de mieux appréhender les disparités des situations des personnes trouvées dans la rue, de mieux me rendre compte de la réalité du terrain et ainsi prendre la mesure de l'impact de la politique sociale actuelle.
Cette nuit m'a permis d'être confrontée de près à la réalité de la vie quotidienne de certains et de réaliser que la rue n'accueille pas seulement des hommes sans emploi, sans papiers, imbibés d'alcool, mais aussi des jeunes de mon âge, qui sont en formation ou parfois même travaillent, dont personne ne sait qu'ils n'ont pas de toit pour dormir, car ils le cachent.
En effet, même après avoir fait quelques gardes au SAU de Saint-Antoine et pris en charge des personnes en détresse, je ne me rendais pas compte de la réalité de la chose.
J'ai été très touchée - limite choquée - par les conditions d'hébergement pendant la période du plan grand froid (ma garde s'est déroulé le dernier soir du Plan Grand Froid) dans les gymnases et grand hangars, mais je trouve ça très important de s'être retrouvée face à la réalité des choses.
Je pense que cette nuit m'a permis d'acquérir un tout autre regard concernant ces individus démunis et comprendre un peu plus la réalité dans laquelle nous vivons, ou du moins en avoir davantage conscience.
je n'arrive pas à comprendre comment ces gens qui m'apparaissaient tout à fait sympathiques, responsables, avec de la famille pouvaient se retrouver à devoir dormir dehors ( très loins des alcooliques chroniques ou des sans papiers ne parlant pas français qui constituaient le tableau fictif que je me faisais des personnes sans domicile fixe) Enfin l'attitude des équipes , leur bienveillance, leur simplicité et la facilité avec laquelle ils vont vers ces gens m'a vraiment impressionnée, je sais que pour moi le contact était beaucoup plus difficile je ne me sentais pas à l'aise et ne savais pas trop ou me placer, que dire à ces hommes et ces femmes qui ont un mode de vie si éloigné du mien, pour qui la réalité n'est pas la même. Au final cette garde m'a ouvert les yeux sur une réalité que l'on ne veut pas toujours voir pour ce qu'elle est.
C'est l'occasion d'entrevoir une partie de la société dont j'ignore le fonctionnement et la réalité.
Je pense qu'une telle expérience leur permet de se rendre compte réellement de la réalité du terrain et que tout n'est pas du.