C'était une nuit assez intéressante, la double écoute , pour commencer, s'est très bien passée , le personnel était très sympa.
C est une expérience qui pourrait être commence des la 2 ème année de médecine selon moi.
J'ai commencé la garde par une intervention a Pigalle avec une femme très touchante.
Un événement m'a particulièrement marquée : en début de soirée, nous avons commencé la maraude avec un signalement concernant trois SDF qui avaient appelé pour dormir une nuit au centre de Montrouge. […] Et la galère a commencé.
La garde commence par une double écoute au 115, l'une des personnes appelantes était un monsieur d'une quarantaine d'années cherchant un logement à long terme en pleure au téléphone ne pouvant pas s'occuper de ses deux filles diabétiques (diabète très mal équilibré), sa femme en dépression. […] Et enfin la nuit de maraude commence, la personne m'ayant le plus marquée est un sans abri de 32 ans avec un lourd antécédent psy ayant le projet de tuer son père avec une date et un moyen précis pour tuer.
J'ai personnellement trouvé la partie double écoute intéressante mais assez courte, la commencer à 17h aurait été un horaire plus adapté à mon avis.
La nuit commence par la double écoute téléphonique à 18h. […] A partir de 20h, le débrief commence avec la répartition des équipes par arrondissements ainsi que les signalements reçus à la régulation téléphonique qu'il faut passer voir.
Très intéressant de commencer par la double écoute puis de monter dans les camions.
Vers 21h la maraude commence, et nous tombons dans les embouteillages parisiens. 1h30 plus tard nous arrivons à peine sur les lieux, une dame d'une vingtaine d'année en situation irrégulière a fait appel au SAMU social s'étant faite violer la nuit dernière dans la rue.
La soirée a commencé par la double écoute qui m'a permis de constater, à ma grande surprise, que les personnes appelant le 115, bénéficiaient d'un suivi social à travers l'historique des différents centres d'hébergement dont ils ont pu bénéficier ou leurs demandes non pourvues ou bien via les commentaires sur leur état de santé. […] et commence ma maraude (Paris by night) en leur compagnie.
Pour commencer l'accueil : néant, le code donné par MCR dans les mails ne fonctionne plus car ils ont fait des travaux et le code est désormais 6809A (trouvé par hasard en appuyant sur toutes les touches sales) et quand je les ai trouvé ils m'ont dit qu'il n'entendait pas la sonnerie de l'accueil... Double écoute intéressante avec une femme qui a commencé que 5 jours avant donc débutante et donc qui suivait le protocole et qui me l'expliquait au fur et à mesure.
Le but étant de diriger les SDF dans ces centres afin de pouvoir commencer le travail de fond qu'est l'intégration.
Je vais commencer par la double écoute, qui est pour moi indispensable avant de commencer à marauder dans Paris, ça permet de mieux se rendre compte de la complexité du travail. […] Après deux heures de doubles écoute, à voir le nombre d'appel en attente ainsi que le temps d'attente avant d'être pris en charge, on commence à s'acclimater à la difficulté que va être la nuit et vient l'heure du briefing de 20h, qui a part nous présenter aux équipes du soir m'a sembler peu utile et inintéressant. […] Passé le briefing, vient le temps de commencé la maraude, apparemment j'étais tombé sur le mauvais camion, celui de la maraude pure.
Je n'ai pas commencé la garde très motivé en pensant que je passerai ma nuit à voir des gens qui vont mal et pour lesquelles on ne peut pas suffisamment faire de chose, mais finalement le peu de chose que l'ont fait est vraiment utile et aide beaucoup ces personnes.
J'ai commencé ma garde par un passage à la fête du samu social ce qui m'a permis de m'intégrer plus facilement à l'équipe et de rencontrer d'autres personne travaillant pour le SAMU social.
Garde qui commence par une double écoute qui permet de se familiariser avec le jargon employé, les différentes prise en charge possibles.
J'ai commencé par faire de la double-écoute.
C'est une bonne chose de commencer par la double écoute pour comprendre le principe des signalements qu'on rejoint pendant la nuit.
Très bon accueil de l'équipe du Samu Social, j'ai commencé par la double écoute, où de nombreuses personnes demandaient à être hébergées.
Au cours de cette courte nuit, j'ai pu commencer à me rendre compte de la vie des SDF, et je verrais les sans abris différemment dorénavant.
La garde commence avec la double écoute qui est très interessante.
J'ai commencé par la double écoute; j'ai été surprise par le peu de places disponibles que le Samu social a à disposition pour les personnes isolées, entraînant une sélection très difficile et parfois frustrante.
En effet pour commencer je n'ai pas vu d'intérêt à la double écoute.
La double écoute commence, je saisis de suite le problème majeur: trouver un toit pour dormir ce soir; Nous avons de la chance de ne pas nous poser cette question, cependant, et il ne faut pas l'ignorer, pour certains c'est un combat quotidien, encore aujourd'hui en 2012. Quelques appels plus tard, le briefing puis la maraude commence; J'avais hâte et en même temps j'étais anxieux pour la nuit...
Nous avons commencé la maraude en rendant visite aux usagers récurrents, c'était touchant de voir le lien créé avec les membres du SAMU, et de voir que certains d'entre eux étaient vraiment content de nous voir arriver.
Arrivant à 18h au Samu Social, je commence la double écoute, et au fil de quelques appels, je saisis la principale mission: trouver un toit aux plus défavorisés pour qu'ils puissent dormir ce soir.
L'infirmière du camion commençait donc l'interrogatoire du patient pendant que la travailleuse sociale et le conducteur essayait de savoir auprès de la personne à coté de lui ce qui s'était passé. […] Alors que le premier commençait à être pris en charge par les pompiers, ce passant parlait avec le second et essayait de faire en sorte qu'il garde les affaires de celui qui était brancardé.
J’ai commencé ma garde par la double écoute où j’ai trouvé difficile d’annoncer à des gens qu’ils devaient dormir dans la rue car il n’y a pas de place pour héberger.
Une expérience enrichissante où l'on oublie, l'espace d'une nuit, notre confort quotidien, nos états d'âme dès que commence la rencontre avec les écoutants du 115 et se poursuit avec les maraudeurs.
Commençons par le familier: je m'attendais à rencontrer des gens dans des situations misérables, dans des problèmes de violence, d'illégalité, d'addictions. […] Et, pendant que la travailleuse sociale le questionnait, il commence à sortir son argent de son manteau. […] Mais, après qu'il ait rangé ses billets, il commence librement à nous raconter un agression sexuelle qu'il a subie le jour même, en termes très crus.
On lui propose de passer la prendre en camion un peu plus tard dans la soirée lorsque la maraude aura commencé.
Commencer avec la double-écoute est un excellent moyen de nous mettre dans le bain en découvrant les situations qui relèvent du sort du 115 et du SAMU Social (ce que je ne savais pas exactement).
La garde a commencer à 18h30 et c'est fini à 05h00.
J'ai commencé la garde par la double écoute. […] Je commence à comprendre la complicité des aides proposés.
Après une brève présentation sur le fonctionnement du SAMU social, j'ai commencé par une double écoute avec une écoutante qui m'expliquait au fur et à mesure les différentes structures qui accueillent les sans abri, distribuent des denrées, etc.. […] Puis, alors que la camionnette n'était pas repartie, un autre sans abri a commencé à discuter avec l'équipe.
La garde a commencé par une double écoute au samu social. […] Elle commence par aller voir des SDF qui ont été signalés par des personnes puis par un cheminement des rues plus ou moins au hasard (si j'ai bien compris la chose).
J'ai commencé par de la double écoute, qui permet de comprendre le contexte et la situation des personnes qui appellent le 115.
La maraude a commencé avec un signalement pour une femme isolée qu'on nous avons ramené pour la nuit au centre d'hébergement de nuit de porte d'Orléans.
En effet le staff de début de nuit commence par le rappel de situations vécues les jours précédents, de personnes connues depuis plusieurs mois dont les équipes sont sans nouvelles depuis quelques temps et qu'il faudrait s'activer à retrouver pour pouvoir approfondir leur prise en charge.
le contact avec les personnes de la rue est tres chaleureux et humain, la poignée de main qui commence toute la discussion est vraiment forte et elle permet de montrer que l'on considère la personne d'égal à égal.
La garde a commencé par 2h de double écoute que j'ai beaucoup apprécié, 2 témoignages m'ont particulièrement marquée.
La garde commença par la double écoute du 115 où je fus surpris par le peu de places d'hébergement disponibles (5 places "femme" et 5 places "homme" ce soir-là).
La nuit allait commencer, et on m'a totalement intégré dans l'équipe comme un membre à part.
Concernant la maraude, on a commence par les signalements.
Le fait de commencer par une double écoute permet de s'imprégner du travail effectué par les équipes, et aide à la compréhension de l'enjeu des maraudes par la suite.
Une seule remarque : il serait peut être intéressant de faire commencer la garde un peu plus tôt pour que la double écoute soit plus longue : sur les 2h, une est intégralement consacrée à écouter les habitués demandant s'ils peuvent retourner dans le foyer de la veille, on apprend alors rien sur leurs situations, leurs histoire, etc...
Elle ne donne pas tout de suite son vrai nom, commence par un prénom de rue, car on a le droit d'avoir un prénom de rue.
Je pense cependant que la garde devrait commencer directement par le briefing de 20h!
Cette garde a commencé par la double écoute qui m'a fait prendre conscience de la quantité de personnes en demande d'hébergement pour la nuit et de l'âge parfois élevé de plusieurs couples à la rue, avec des problèmes de santé.
Ma garde a commencé par la double écoute.
Le fait de commencer par les doubles écoutes nous permet de voir l'organisation et de bien comprendre les différents acteurs du 115.
La garde au SAMU social commence par une double écoute des appels au 115. […] Ensuite, à 20h, un briefing attribue aux équipes (un chauffeur, une infirmière, une assistante sociale) un camion et un secteur de Paris, et il est l'heure de commencer les maraudes.
Le fait de commencer par écouter la régulation téléphonique permet de se faire une idée sur les situations auxquelles on est confronté par la suite pendant la maraude.
Nous avons également aider une maman avec un bébé de 1 mois, elle sentait que son bébé mangeait moins et commençait peut-être à être malade.
Cela commence lorsque les personnes dans le besoin essayent de joindre le 115 pendant des heures mais ne parviennent pas à obtenir un logement pour la nuit car les places sont plus qu'insuffisantes.
A force d'habiter à Paris, on commence malgré nous à ne plus faire attention aux gens dans la rue et peu de personne savent qu'il y a des organismes ou des centres d'appels qui peuvent les aider.
J'ai commencé par la double-écoute pendant 1h30, c'était vraiment très intéressant d'entendre ce que les personnes dans la rue disaient et de se rendre compte du manque de moyen du samu social qui ne peut pas répondre à autant de demandes qui le souhaiteraient.
.) : Arrivée avant 18h, j'ai attendu 40-45 minutes avant de commencer la double écoute; Je n'ai pas participé au briefing de 20h car cela ne nous a pas été proposé; avant de partir en camion, pause cigarette et boisson de 30-40 minutes à nouveau pendants lesquelles j'étais totalement ignorée; dans le camion, pas de proposition de monter à l'avant, on m'a fait signe de m'installer à l'arrière et ne m'a quasi pas parlé de la nuit; pendant les interventions à pied, j'étais à nouveau laissée à l'écart.
A l'arrivée, il était impossible de ne pas lui proposer un autre hébergement, son enfant paraissait aréactif et il commençait à faire froid.
SAMU SOCIAL : Je commence par le seul point négatif de cette garde pour terminer par tous les points positifs : le fait qu'il n'y ait pas de chambre d'externe ou juste un lit pliant dans un coin ! […] Nous commençons par nous occuper des signalements faits par les associations, les riverains...
Pour commencer, la double écoute m'a montré que des hôtels étaient à la disposition des plus démunis, en particulier des familles, et que le samu social prenait le temps de parler avec chaque personne malgré le fort nombre d'appels (probablement la partie la plus intéressante de la garde mais je n'ai rien appris de nouveau) Par la suite, pendant la maraude, j'étais assis à l'arrière de façon quasi-constante auprès de SDF ivres (dont un était tellement odieux et agressif qu'on a du s'arrêter pour le faire descendre) que l'on devait ramener dans des centres d'hébergement et, à part stimuler mon odorat avec des odeurs révolutionnaires et craindre pour ma sécurité, cette partie était totalement inutile et devrait être supprimée car elle n'apporte absolument rien.
La maraude commence.
A commencer par la double écoute , les gens appellent pour solliciter un abris de dernière minute, avant la tombée de la nuit alors qu'il faisait très froid dehors, beaucoup d'appels de familles avec enfants en bas ages qui se retrouvent dans la rue , en général des étrangers, c'était en effet les appels les plus durs pour moi.
., ce qui est du temps en moins pour la double écoute (qui a duré moins de 30min pour ma part), donc peut être faire un "cours" ou nous envoyer les papiers nécessaires avant pour déjà avoir une idée, pour pouvoir commencer la double écoute plus tôt.
Petite remarque : commencer la garde à 18h est un petit peu tôt... 19h serait top (quand on a des ED qui finissent à 18h15 c'est dommage...)
Ma garde s'est déroulée en avril - même si les jours commençaient à se réchauffer, dès que la nuit retombe, les températures repassent autour de 0.
J'ai bien aimé commencer par la double écoute pour savoir à quoi m'attendre pendant la maraude.
J’ai trouvé que la soirée était bien organisée: commencer la garde par une double-écoute nous permet de nous familiariser avec le fonctionnement et les missions du Samu Social ce qui à mon avis permet par la suite d’être plus à l’aise et de mieux comprendre l’action des équipes lors de la maraude.
La nuit commence avec la double écoute du 115 et c'est alors que l'on fait face à différentes situations.
Pour commencer, lors de la double écoute téléphonique, j'ai été un peu émue d'entendre toute la détresse des gens qui sont dans le besoin.
J'ai commencé par la double écoute de 18h à 20h qui permettait de comprendre comment était organisé le service d'appel, la répartition des places dans les centres d'hébergement, qui appelle, dans quelle situation sont les personnes..
La maraude a commencé au hasard des rues parce qu'il n'y avait pas de signalements puis les signalements se sont enchainés au cours de la nuit.
Pour commencer nous avons répondu à un signalement, un homme d'une cinquantaine d'années qui avait paru fiévreux et mal en point aux équipes de jour.
On l'a emmené avec nous pour l'emmener dans un centre d'hébergement pour la nuit mais dans le camion, très bavard, il a commencé à avoir des propos limites racistes, tandis qu'un jeune homme noir était à l'arrière (on l'emmenait lui aussi en centre), c'était très très gênant.
Ma garde a commencé par une double écoute très instructive avec une professionnelle qui m'a bien expliquée comment fonctionnait le 115, quelles personnes avaient le droit ou pas à un hébergement d'urgence, quelles étaient les limites de ce système ...
La soirée commence par des doubles-écoutes.
La maraude commence à 21h après une réunion avec le coordinateur et les équipes.
seule. 20h, le briefing commence, l'équipe semble connaitre un bon nombre de SDF de paris , c'est par leur prénom qu'ils parlent d'eux et abordent les derniers problèmes rnecontrés 20h30- départ pour la maraude-chargement des camions, direction le 18 et 19 ème arrondissement de Paris.
La nuit à côté commencé par un tour des personnes qui devaient être hébergée dans les différents centres disponibles.
Expérience SAMU social : J'arrive à la garde dans un état d'esprit neutre, sans à priori, mais avec une motivation moindre (jour de pluie, partiels proches, fatiguées d'une longue journée qui avait commencé à 7h45 _staff chir ortho_).
J'ai commencé la garde par la double écoute puis vers 21h je suis partie en maraude avec un chauffeur qui travaille au Samu Social depuis 3 ans, une infirmière qui y travaille depuis 10 mois et une travailleuse sociale (moniteur éducateur) qui y travaille depuis 1 an. […] Au final, cette garde a été très intéressante, je connaissais le Samu Social de nom mais je ne savais pas ou commençait et ou s'arrêtait on champ d'action.
On a commencé par des signalements, il s'agissait soit de donner un café, une couverture de survie ou un bol de soupe, soit d'accompagner la personne jusqu'au centre d'hébergement.
Nous avons donc commencé à discuter avec lui, cela faisait un an qu'il était arrivé en France et 3 mois qu'il était allongé au même endroit et qu'il ne bougeait que pour s'acheter à manger et faire sa toilette.
Finalement, le plus étonnant dans cette rencontre fut peut-être cet instantt où elle nous a demandé si nous n'avions pas froid au moment où la pluie commença à tomber, alors que elle vivait dans sa voiture...
La maraude a commencé vers 20h30, nous avons rencontré une dizaine de personnes, et leurs profils étaient tous différents, ce qui m'a permis de voir plusieurs types d'interventions.
Ensuite, la maraude a commencé vers 21h avec Charlotte (IDE), Léa (TS) et Stéphane (conducteur), dans le 18e.
Tout a commencé avec la double écoute : j’ecoutais la détresse de multiples personnes, qui après 2h, 2h30 d’appel finissent par avoir quelqu’un au bout du fil..
Ma soirée a commencé par une discussion très intéressante d'environ 1 heure avec la coordinatrice du 115 concernant les missions du 115, les problèmes auxquels ils font face, les différents locaux à leur disposition, etc.