Bonne expérience mais un peu long Depend de l'équipe sur laquelle on tombe, on est pas forcement bien accueilli
J'ai cependant trouvé ça bcp trop long, d'autant plus que l'on est la en tant qu'observateur donc complètement passif. Passé 1h du matin j'ai trouvé le temps long.
Bien mais long.
Très bonne ambiance avec l'équipe du SAMU social, tout au long de la nuit+++.
C'etait bien mais un peu long pour toute la partie avant la maraude.
Cette garde redonne un côté humain a notre façon de pratiquer la médecine, en revanche a 4 jours des partiels je dois dire que c est un peu long une nuit entière sans rapport avec de la médecine...
Garde trop longue.
Ensuite la réunion était un peu longue.
Cependant une nuit entière est trop longue, surtout que c'est pendant le stage prenant d'urgence-réa; la garde devrait s'arrêter à minuit.
La prise en charge de certaines personnes peut sembler frustrante, comme par exemple les familles auxquelles on ne peut donner que des solutions provisoires, une chambre d'hôtel pour quelques jours, en attendant une solution à plus long terme, solution qui peut être très longue à venir. Cependant une nuit complète peut sembler longue, surtout en été où les demandes sont moins nombreuses.
Cette garde m'a plu autant pour la sympathie dont l'équipe a su faire preuve tout au long de la maraude mais aussi pour l'enrichissement humain qu'elle m'a apportée. […] Ceci etait une bonne expérience dont je pourrai tirer profit tout au long de mon exercice médical au sein des familles déchirées par le deuil et la maladie.
On se sent donc vite mis de côté, et la nuit est vraiment longue, jusqu'à s'endormir dans le camion. En ressenti global, l'expérience est plutôt neutre, la double écoute du 115 pendant 2h est plutôt intéressante (et pas trop longue, la durée est parfaite), alors que la maraude est plutôt décevante.
Il y avait une bonne ambiance dans l'équipe, j'ai eu des explications et des informations tout au long de la garde. […] Je pense que cette garde est intéressante mais trop longue pour les étudiants qui étaient en stage le matin même.
Mais jusqu'à 5h du matin c'est trop long, je suis contente d'avoir pu partir à 3h à la pause.
C'est une expérience unique sur le plan humain, et dont il faut de souvenir tout au long de nos études.
Néanmoins, faire une nuit compète me parait un peu long, et la partie double écoute inutile.
J'ai pu observer la différence essentielle entre des gardes à vocation médicale type Smur et celle-ci à vocation sociale où un long temps d'échange est prévu.
Le point négatif est le temps trop long passé dans le camion par rapport aux temps pris pour discuter avec les personnes.
L'équipe est de plus très accueillante et m'a expliquée de la manière la plus complète leur mission et leur organisation dans une nuit qui peut être longue et froide.
Belle expérience mais assez long quand il y a peu d'activité
En ce qui me concerne j'ai appris des choses, notamment le fait qu'il y a des personnes qui sont suivies au long cours par le samu social alors que je pensais que le but du samu social était de gérer les urgences momentanées.
Malgré l'équipe, garde longue et souvent ennuyante du fait d'aller retour en camion incessant entre le centre (Ivry) et Paris.
J'ai été très bien accueilli par l'équipe du SAMU social et ils m'ont bien accompagné tout au long de la nuit de maraude.
C'est également très intéressant de comprendre comment les aides fonctionnent, de jour comme de nuit, pour une prise en charge dans l'instant comme des mesures pour le long cours (avec des assistantes-sociales...)
Cette expérience ouvre les yeux sur la réalité de la rue, tout le quotidien des SDF de longue date: maladie chronique peu soignée, isolement social, dépression, solitude, vivre au jour le jour sans projet d'avenir...
Expérience de vie et de charité humaine tout au long de la nuit.
La chose qui m'a le plus fascinée est la capacité des équipes à s'adapter à chaque "evenement", s'impliquer, se donner, et parvenir à répéter cela tout au long de la nuit.
L'homme savait qu'ils avaient plus de chances d'obtenir un logement de longue durée.
J'ai été étonnée de voir qu'ils ne proposaient pas de prise en charge au long cours (pour au moins quelques mois).
La double écoute au 115 est peut-être un peu longue.
L'ecoute est intéressante mais moins que la maraude certains appels pouvant etre tres long (40min).
Après un long moment à essayer de communiquer tant bien que mal, nous décidons de leur laisser des soupes chaudes ainsi qu'un duvet supplémentaire et des chaussettes pour aider à tenir durant cette dure nuit d'hiver. ..
La double écoute du 115 et le briefing de 20h m'ont paru un peu longues, car elles avaient plus un aspect administratif à mon sens.
Les démarches administratives qu ils doivent faire pour obtenir certaines aides ont l'air particulièrement longues et compliquées....
Nous avons été amenés à appeler les pompiers pour un sans abris qui a présenté une crise d'épilepsie durant notre conversation avec lui et nous avons conduit à l'hôpital une femme présentant des troubles psychiatriques suite à une longue discussion avec mise en confiance vis-à-vis du samu social.
On découvre aussi une prise en charge plus intélligente qui s'essaye à être sur le long cours avec des projets de vie et des aides pour essayer de survivre dans la rue.
Expérience SAMU social : J'arrive à la garde dans un état d'esprit neutre, sans à priori, mais avec une motivation moindre (jour de pluie, partiels proches, fatiguées d'une longue journée qui avait commencé à 7h45 _staff chir ortho_). […] 2 éthiopiens fraîchement débarqués d'un périple sans aucun doute long et périlleux (Lybie, Italie, France) ; 1 petite de 19 ans prostituée ?
Je fus surprise par l'aisance de mon équipe auprès des sans abris et ils ont su à leur tour me mettre à l'aise avec les personnes rencontrées tout au long de la nuit.
Nous sommes déjà confronté aux classes sociales défavorisées tout au long de nos stages.
Cependant toute la nuit me semble un peu long, l'équipe a pu me ramener chez moi après la pause à 3h, de plus que nous ne choisissons pas nos dates, cela permet d'être disponible le lendemain.
Suggestion : Peut être que la double écoute pourrait être un petit peu plus longue.
Chaque véhicule maraude dans un secteur limité, mais les trajets vers certains lieux d'hébergement sont très longs, ce qui est assez fatiguant.
Le quotidien raconté, comprit et imaginé des gens de la rue nous touche et nous meurtrit tout au long de la nuit que l’on passe a faire la maraude.
Les hommes que nous avons rencontré dans la rue était très divers,l'un d'entre eux a été capable de me donner le jour de la semaine où je suis née à partir de ma date de naissance, il avait fait des études très longues, 8 ans de droit et 14 ans d'allemand.
Bref dans l'ensemble une très bonne expérience, un bon accueil et on apprend des choses sans non plus que ça paraissent trop long ou fatiguant.
Sa dimension humaine, et la bienveillance que j'ai pu ressentir tout au long de la maraude sont selon moi très précieuses et doivent être conservées: elles contrastent vraiment avec l'ignorance visible au quotidien dont fait preuve "une majorité" pour les sdf.
Mais j'ai aussi vu à quel point il est difficile et long de faire sortir quelqu'un de la rue; cela prend plusieurs année, du courage, de la volonté.
J'ai apprécié la bonne volonté et les efforts réalisés par les membres de l'équipe du samu social pour écouter et proposer un début de solution aux personnes en difficultés, pour permettre de leur donner une orientation et entamer un chemin (certes long) vers la réintégration sociale.
Après de longues négociations, il ira finalement aux urgences avec les pompiers, son ami, en larmes au moment de le laisser partir, ayant quant à lui une place en centre d'hébergement.
Cette nuit au SAMU social fut riche en émotions et en enseignement, mais le temps parait parfois long lorsque l'on ne croise personne lors de la maraude.
J'ai eu la chance d'avoir une équipe super sympa, ce qui permet de rendre très sympa cette longue nuit!
A la longue, cela devenait répétitif.
Cette garde m'a permi de découvrir que ces personnes ont tous leur histoire, souvent la volonté de sortir de la rue mais les démarches sociales sont longues et peuvent être compliquées pour des étrangers par exemple.
La nuit dans le camion était longue et nous avons pu aider quelques personnes dans la rue.
Je me suis sentie inutile et en trop tout au long de la maraude alors que je venais dans un véritable esprit de découverte et d'échange.
La récompense pour avoir patienté de longues heures en appelant le 115 dans l'espoir d'avoir une place pour la nuit.
La garde est beaucoup trop longue, on tourne en rond dans tout Paris pour au final ne pas retrouver les SDF signalés durant la nuit la plupart du temps...
La nuit m'a paru bien longue et j'en garde un souvenir assez désagréable.
Au total, une nuit très longue en plein milieu de mon stage de réanimation qui est déja très fatigant.
Ce qui m'a le plus marqué durant cette nuit c'est justement la continuité de cette action lorsque l'équipe parlait de SDFs qu'elle suivait depuis plusieurs longues années, toujours soucieuse du devenir de la personne et de rendre son séjour dans la rue un peu plus "humain".
La nuit entière est un peu longue, je pense que la garde pourrait se terminer une fois le retour au centre pour la pause diner vers les 2h.
Je suis contente d'avoir eu l'occasion d'assister aux interventions du samu social; mais enfin je ne pense pas avoir le courage suffisant pour y travailler au long court.
Une seule remarque : il serait peut être intéressant de faire commencer la garde un peu plus tôt pour que la double écoute soit plus longue : sur les 2h, une est intégralement consacrée à écouter les habitués demandant s'ils peuvent retourner dans le foyer de la veille, on apprend alors rien sur leurs situations, leurs histoire, etc...
J'ai été en revanche étonnée du peu de solutions à moyen et long termes offertes à ces personnes.
Pour vraiment aider ces personnes en difficulté, il faudrait un nombre de places en hébergement de longue durée plus important...
Temps de double-écoute peut-être un peu long, car à cette horaire 18h-19h, ce sont souvent des gens qui appellent en avance car ils savent que la ligne est saturé avec beaucoup de temps d'attente et donc un risque de rater les places d'hébergement dès qu'elles seront disponibles à 19h15.
La nuit est longue mais elle est surtout marquée par les nombreux allers-retours entre les arrondissements ( 18, 19,20 pour ma part) et les centres d'accueil à Montrouge notamment.
Nous avons vu beaucoup de situations différentes tout au long de la nuit, aussi bien un homme assez âgé connu depuis très longtemps des équipes, que des jeunes passant leurs premières nuits dehors, ou d'autres personnes ne souhaitant pas être aidées et assez agressives...
Des cas qu'un étudiant en médecine voudrait envoyer aux urgences sont seulement mis dans un centre d'hébergement avec une consultation chez le médecin pour le lendemain matin : "Ne pas essayer de jouer les Zorros" d'après l'équipe, à trop vouloir en faire on arriverait à rien (l'attente trop longue aux urgences ferait partir le patient et il ne serait pas soigné).
Ayant moi même fait un stage aux urgences, j'ai trouvé cela particulièrement enrichissant de voir autrement ces patients que nous seront amené à rencontrer tout au long de notre carrière dans les milieu médical.
Tout au long de la nuit, j'ai pu mesurer l'investissement et le dévouement des travailleurs du SAMU social qui font preuve d'une patience sans limite pour tenter d'aider des familles et des personnes en grandes difficultés dont les situations sont souvent compliquées à comprendre (du fait souvent de la barrière de la langue) et difficiles à prendre en charge.
Cette garde a été très enrichissante bien que un peu longue de 18h à 5h du matin.
Au final, les pompiers étaient tres sympas et meme l'équipe a été étonnée et le monsieur a été envoyer aux urgences de Bichât pour y passer la nuit, jusqu'au lendemain On a également pu envoyer à Romain Rolland quelques inconnus ce qui m'a permis d'assister à des bilans sociaux même si à la fin c'était un peu long.
Et je tiens à remercier le personnel du samu social, qui a été d'une grande gentillesse tout au long de cette soirée.
Cette longue conversation avec Mme X m'a fait découvrir les conflits du cameroun, les difficultés de perdre un emploi précaire, la solidarité des exclus… Un vrai voyage social.
Peut être faudrait il essayer de faire une partie écoute téléphonique en milieu d’après midi un peu plus longue , prendre la première ronde de maraude et nous déposer après , avec éventuellement une possibilité de faire la deuxième ronde pour ceux qui veulent.
Mon équipe mobile était composé d'une IDE et d'une AS qui ne m'ont pas trop considéré, heureusement Maxime (alias Max) , le chauffeur, était là pour s'occuper de moi et tout m'expliquer, sans quoi la nuit aurait été longue et pénible.
Cela permet également de découvrir des personnes que l'on a trop peu souvent l'occasion de rencontrer: les SDF d'une part, si semblables en apparence, mais diamétralement opposés lorsque l'on creuse un tant soit peu; les membres du SAMU SOCIAL d'autre part qui ne comptent pas leur temps et s'arrêtent dès que l'occasion se présente, afin de rencontrer des nouveaux arrivants dans le monde de la rue ou simplement pour échanger quelques mots avec une connaissance de longue date, dans le but d'en savoir plus sur son passé.
Durant celle-ci, j’ai assisté des échanges plus longs et des histoires plus marquantes que lors de la maraude.
Je remercie le samu social pour leur accueil et leurs explications tout au long de la nuit.
Le signalement venait d'un anonyme pour une dame âgée de 58 ans couchée par terre sur le trottoir en tenue de printemps (sandales, jupe longue).