Ca donne un regard de l'intérieur sur les SDF, la double écoute nous montre les situations qui ont mené les gens de milieux normaux dans la rue, et donne envie de les aider encore plus! Une équipe vraiment dynamique, motivée, et humaine, qui donne encore plus envie de faire ce genre de métier.
- Les personnes ont envie de nous apprendre des choses
Cela m’a donné envie de faire d’autres maraudes dans l’avenir.
Cela m a donné envie de réitérer l expérience , et pourquoi pas éventuellement , travailler dans cette branche .
C'était une expérience très émouvante et dure mais qui donne envie de faire partie de l'équipe .
Au départ j'étais plutôt inquiète vis à vis de cette garde, je n'avais vraiment pas envie d'y aller.
Cela donne envie de devenir médecin pour aider un humain en "détresse" et non pas pour le status sociale, l'argent,...
Expérience enrichissante qui donne envie de s’investir dans ce combat, et de réduire les inégalités de chance dans la prise en charge.
Tous les membres du SAMU social étaient très agréables, et donnaient envie de reprendre une garde.
Ce qui m'a le plus marqué dans cette nuit c'est de voir des sans abris très jeunes (< 25 ans) et qui ont envie de s'en sortir mais qui n'y arrivent pas.
Donne envie de le refaire à l'avenir.
Je ne partais pas avec une envie folle d'effectuer cette garde au sortir des partiels et juste avant les autres mais je fus très agréablement surprise de cette nuit.
J'ai été touchée par la réelle envie d'aider les gens que nous transmet le personnel du Samu Social.
et cela donne envie de s'investir d'avantage.
La conclusion principale que j'en ai tirée est qu'il faut plus que jamais traiter comme tout le monde ces gens en réelle difficulté socio-professionnelle car ce sont avant tout des êtres humains et qu'ils ont aussi des envies, une morale et ressentent un besoin de bonne santé physique et mentale.
J'en garde un souvenir déjà flou mais toujours plein d'images et d'envies.
De plus le fait qu'il s'agisse d'une garde obligatoire rend la chose moins "humaine", dans le sens où même si nous n'avons pas du tout envie d'y aller pour raison X, on doit tout de même se forcer, ce qui semble incompatible avec la mission humaine que représente le SAMU social.
Il faisait froid, j'étais fatigué et j'avais moyennement envie d'être cassé le lendemain.
Pour la double écoute : Super sympa, donne très envie de faire du social, on a une bonne idée des problématique de place et du jeu de "chaises tournantes" qui se met en place.
J'ai compris que ces personnes étaient dans ces situations par des cascades d'événements, et qu'elles gardaient le plus souvent toute leur humanité et l'envie de partage, de moments de convivialité avec les autres.
On ressort avec l'envie d'agir !
L'envie d'aider et l'altruisme des travailleurs contrastent vraiment avec le peu de moyens mis à disposition pour le SAMU Social et le nombre de places d'hébergement très limité par rapport à l'immense demande.
Je suis pour ma part sorti de cette garde avec une envie plus grande d'aider les personnes en difficultés, en France ou ailleurs.
Une expérience très forte qui m'a donné envie d'approfondir dans ce domaine.
Désormais, j'irai plus facilement vers des sans-domicile-fixes pour leur demander s'ils ont ou non envie que l'on appelle le 115 pour leur trouver un endroit où passer la nuit.
Ils avaient une réelle volonté de nous montrer les différents aspects du travail au samu social et avaient à coeur de nous faire partager leur envie d'aider les autres.
Certaines personnes souhaitaient dormir au chaud et d'autres avaient envie de boire quelques choses de chaud ou avoir un duvet. […] L'appel qui m'a marqué fut celle d'un homme qui vivait à la rue depuis plusieurs mois et qui avaient envie de dormir au chaud cette nuit.
On voit que souvent c'est un besoin de parler qui s'exprime, l'envie d'un café pour se réchauffer.
Ce fut une très bonne expérience qui m'a donné envie de m'investir plus dans l'humanitaire.
Je pense que cette garde m'a donné envie d'aller plus souvent vers les gens dans la rue, et de les aider même si ce n'est qu'avec un pain au chocolat, de l'eau, ou en leur parlant.
Ce qui m'a le plus interpelé, c'est la durée depuis quand les gens sont dans la rue et le fait que certains n'ai pas envie de passer la nuit en foyer.
C'est une garde qui peut donner envie de s'impliquer davantage pour tenter d'améliorer la situation des sans-abris, même si je pense que c'est un domaine d'action parmi les plus particuliers qui existent, et qui peut en rebuter plus d'un. Enfin, l'action du SAMU social, même si elle est admirable, ne concerne que la très grande urgence, et on peut se sentir impuissant devant ces gens que l'on aide pour un instant seulement (quand ils acceptent d'être aidés), et que l'on ne revoit souvent pas ; on aurait envie d'agir bien en amont, sur tous ces facteurs et toutes ces situations qui les ont conduit à se retrouver dans la rue !
Je connais la pauvreté et la précarité et franchement j'avais tout sauf envie de retourner dans ce monde, de cette manière. […] J'ai eu envie de faire dix ans d'études (et de sacrifier tout ce que je possède) pour soigner les personnes de manière scientifique.
Après, la réunion avec les équipes des différents camions ou est signaler les Sdf qu'il faut chercher plus particulièrement, un de ces Sdf signalé je l'avais d'ailleurs déjà vu mais dans le cadre hospitalier et enfin la maraude très intéressante dans le contact avec les Sdf avec lesquels on a pas forcément le temps ou l'envie de parler a l'hôpital.
A coté, de ça, j'ai pu constaté que certaines personnes (généralement les moins exclus, en meilleure condition physique) abusent des actions du samu social, et deviennent même menaçant lorsque le samu social ne peut satisfaire à leurs envies personnelles car pour ces personnes recevoir un duvet ou un bon repas seraient un du....
Les conditions des maraudes ne m'ont pas semblé facile, les difficultés pour trouver une place en centre, de l'envie de donner plus mais peu de moyen..
Cette expérience me donne envie de m'investir plus dans l'humanitaire, le social et l'associatif pour pouvoir aider toutes ces personnes en détresse.
Ceci a davantage susciter mon envie de faire des maraudes en tant que bénévole notamment en soirée et la nuit : se sentir utile lorsqu'une grande partie de la population dort (situation que l'on vit déjà en garde).
Avoir la garde le soir de deux examens c'était pas l'idéal à cause de la fatigue donc j'y partais sans trop d'envie mais au final ca a été une expérience enrichissante.
Ca m'a fait mal au coeur, j'avais envie de les prendre dans mes bras.
Les équipes travaillent toutes le sourire aux lèvres avec l'envie évidente d'aider les personnes qui n'en demandent pas toujours spontanément.
Cette nuit m'a donné envie d'aider les sans-abris, contrairement au mauvaises experiences que j'ai pu avoir aux urgences de l'hôpital.
En tout cas, ça donne envie de recommencer et on ne verra plus ces personnes de la même manière qu'auparavant.
Ca donne envie d'y retourner pour trouver ce qui peut parfois manquer à l'hôpital...
On se rend compte que ce sont des êtres humains avec une histoire derrière eux, comme nous, et qui ont des projets, qui espèrent un changement de situation pour se relever, et qui ont vraiment envie que ça change.
Je n'avais pas envie de monter dans un camion dans le froid, j'aurais préféré rester avec mes potes, en cette période de fêtes après les partiels.
C'était encore en plein hiver et même s'il n'était pas bien rude cette année , les conditions de vie dehors en pleine nuit ne faisait envie à personne.
Cette garde m'a conforté dans mon envie de faire de l'humanitaire et m'a même remotivé quant à mes études de médecine.
J'etais tres interressée par cette garde au samu social pour voir et comprendre leur travail -l'écoute m'a premis de voir comment se faisait le 1er contact avec une personne au 115, les questions posées et l'envie de trouver la meilleur solution pour les personnes dans la detresse -Mais ce qui m'a le plus marqué est la maraude et la diversité des personnes qui y font appel (jeune femme de 18ans, etrangers, travailleurs pauvres, grands exclus...) j'ai pu visiter un centre d'homme et comprendre le fonctionnement ce qui m'a le plus touché c'est la gentillesses et la complicité des personnes de la rue et du samu social il pleuvait beaucoup et tres vite les centres ont été pleins nous obligeant à laisser certaines personnes dans la rue sous la pluie mais ce que nous avons recu c'est uniquement des remerciements...
Bien que ce fut une soirée et une nuit particulièrement chaude après une magnifique journée ensoleillée, nous avons rencontré et discuté avec un certain nombre de personnes sans domicile, allant du jeune allemand lisant sur un coin de trottoir au migrant sans papiers installé dans une cabine téléphonique au fond d'une impasse en passant par une dame d'origine russe écoutant de la techno à fond et sans réelle envie de discussion...
Ils m'ont même donné envie de faire partie de l'une de ces équipes et je me suis promis de faire des vacations en tant que médecins plus tard dans les centres d'hébergement.
Une vision bien pour que je l'imaginais, et surtout une envie de les aider.
Cela m'a donné très envie de m'engager dans l'associatif ou de travailler plus tard dans le social ou l'humanitaire.
Ils étaient tous très reconnaissant du travail du Samu Social, et cette aide a donné à tous l'envie et l'espoir de se sortir de cette situation, parfois très compliquée.
Déjà, la bonne ambiance au sein des différentes équipes et leur accueil chaleureux m'ont mise à l'aise, puis leur envie de transmettre la passion pour leur métier, m'ont donné envie de connaître leur quotidien.
Toute l'équipe, de la double écoute comme celle de nuit, était très sympatique et l'envie de partager leur quotidien se ressentée fortement.
Pour finir, je dirais qu'il serait plus juste de proposer ce stage sur la base du volontariat et non de le rendre obligatoire pour tous les D2 car cela relève de l'absurdité et que tout le monde n'a pas forcément envie de devoir rester toute la nuit à marauder pour ensuite devoir prendre le RER le matin pour ceux qui habitent loin par exemple, et certains n'auront pas forcément l'envie d'être confronté à ce genre de milieu non plus bien qu'il reste capital de saisir l'importance de ce type d'aide social et humanitaire.
Pas beaucoup de signalements cette nuit là, avec la chaleur les gens n'avaient pas forcément envie de passer la nuit en hébergement.
Par ailleurs, on m'a très bien accueilli, et cela m'a vraiment donné envie de refaire des maraudes.
En résumé, il est intéressant de voir une maraude, d'y participer comme on peut, et de voir l'organisation des interventions, mais l'accueil ne donne pas envie d'y retourner.
Ça m a vraiment donné envie de refaire ça, je trouve que c est un tte belle façon de donner de son temps.
Étonnée par la diversité des personnes, certaines qui ne sortiront pas de la rue (plus l'envie de parler, plus d’hygiène) et d'autres qui se battent avec le gouffre de papiers administratifs, la lutte quotidienne pour rester propres.
L'aide apportée par l'équipe et leur savoir-faire a finalement probablement fait remonté une envie d'être aidé..
Au fil de l'entretien, les personnes dans le besoin s'ouvrent un peu plus, se dévoilent un peu plus et acceptent notre aide et on se rend compte également que derrière l'image qu'ils donnent de personne solitaire, préférant être seul ( les personnes disent qu'elles préfèrent être seule, elles n'ont pas envie de parler), ils ont un réel besoin de parler, de se confier, de se sentir écouter.
Je crois m'être bien investi lors de la maraude néanmoins je ne ressent pas l'envie de renouveler l'expérience actuellement!
Lors de la maraude, les demandes non pourvues sont celles qui m'ont fait le plus mal, j'avais vraiment envie de pouvoir loger tous ceux qui en avaient besoin.
L'équipe du samu social est elle même très sympathique, faisant preuve d'un' sociabilité et d'un contact facile qui donnent envie de s'investir et d'aller vers les personnes démunies ou isolées.
J'ai eu l'occasion de côtoyer des personnes qui vivent dans une grande précarité, certaines s'accrochant au lien social, ayant encore des projets et d'autres totalement isolées, n'ayant plus la force ou l'envie de communiquer.
Enfin, c'est une expérience qui marque, que l'on a envie de revivre, et qui fait aussi beaucoup relativiser.
Leur passion pour ce travail m'a sincèrement donné envie de faire d'autres maraudes, et j'aimerais recommencer cette expérience régulièrement l'année prochaine.
Cette expérience m'a donné envie de m'intéresser davantage à ces problématiques et à changer de regard sur les personnes exclues de la société et ceux qui leur viennent en aide; encore merci.
De plus, cela ne permet pas d'assister aux éventuels cours de l'après-midi (parce que quand on arrive chez soi à 7h après une longue nuit, on n'a pas forcément envie de repartir à la fac quelques heures plus tard); et enfin, c'est parfois une vraie galère de prendre les transports en commun si tôt le matin pour aller de banlieue à banlieue.
- Double écoute: il faut être honnête, personne parmi les standardistes n'a vraiment eu envie de m'encadrer pour la double écoute (chose que je comprends parfaitement, puisque prendre en charge quelqu'un pour une double écoute n'est pas ce qu'il y a de plus fun).