Ça m'a ouvert les yeux sur une structure organisée qui tend à rendre la vie plus agréable à ceux qui se trouvent à la rue, isolés.
Cette nuit a été très enrichissante, decouvrir ce monde de la rue m'a forcément fait ouvrir les yeux.
Cette nuit m'a ouvert les yeux sur la situation des personnes sans domicile fixe de Paris et leurs conditions de vie dans la rue.
J’étais en maraude pure, j’ai vu très peu de personnes malheureusement, le peu que j’ai pu rencontrer étaient très chaleureux, et s’ouvraient facilement car ils connaissaient l’ équipé.
Aucun gymnase ouvert, pas assez de centre d'accueil.
Je trouve que la maraude m'a permise d'ouvrir un peu plus les yeux sur les conditions difficiles des sans-abris, surtout en période de froid.
Cette expérience ouvre les yeux sur la réalité de la rue, tout le quotidien des SDF de longue date: maladie chronique peu soignée, isolement social, dépression, solitude, vivre au jour le jour sans projet d'avenir...
J'ai trouvé cela très intéressant de nous ouvrir aux métiers parallèles à une activité médicale.
Je suis réellement reconnaissante vis-à-vis de la faculté de nous avoir donner la chance de s'ouvrir aux autres plus démunis et moins chanceux que beaucoup.
Cela nous ouvre les yeux sur la réalité de la vie que mènent des familles étrangères qui arrivent en France.
C'était un moment vraiment enrichissant dont je me souviendrai, car il fait ouvrir les yeux sur les choses simples de la vie que chacun de nous peut réaliser chaque jour pour aider un peu plus ces personnes, que j'ai aussi appris à découvrir : certaines sont violentes tellement la détresse les a atteints, il est alors difficile de les aider, mais d'autres sont, malgré tous ces malheurs qui leur sont arrivés, tellement attachants, ils ne demandent qu'à parler, ils ont pleins de choses à raconter, ils sont gentils, ils nous aident à ouvrir les yeux sur les choses importantes dans la vie.
Cette garde m'a ouvert les yeux sur la varieté des histoires personnelles et la detresse humaine et social du quotidien.
Je n'irai pas au point de dire que c'a m'a changé certaines visions des choses mais certes une telle nuit m'a ouvert les yeux sur un coté éthique jusque la gardé dans l'inconscient.
Arrivé sur place il a ouvert la porte de la chambre ou 3 personnes dormaient déjà et il a préféré rester dehors pour la nuit car je cite "Il ne souhaiterai même pas à son pire ennemi de dormir dans cette chambre ".
La travailleuse sociale m'a le plus impressionnée, elle a une manière d'aborder les personnes dans la rue très naturelle et décontractée, qui permettait facilement à l'infirmière de s'immiscer ensuite dans la conversation pour poser quelques questions de santé auxquelles ces personnes n'aurait pas forcément répondu si la travailleuse sociale n'avait pas ouvert la conversation d'abord.
Excellente occasion de s'ouvrir l'esprit et de découvrir les sdf sous un autre angle (et pas les pénibles bourrés du métro).
Petit conseil : changez la brochure d'accueil en la rendant plus chaleureuse, on a l'impression que l'on va se faire agresser si l'on ouvre la bouche pendant les maraudes.
Une expérience humaine intéressante, permettant d'ouvrir les yeux sur une réalité que l'on sait exister sans toutefois réellement avoir conscience de la misère qui peut exister dans les rues de notre capitale.
Une nuit enrichissante sur le plan humain et qui nous ouvre les yeux sur de nombreux problèmes auxquels on aurait pas forcément médité.
Elle peut ouvrir les yeux à beaucoup d'étudiants en ce qui concerne les difficultés qu'éprouvent les SDF, réfugiés, demandeurs d'asile et autres personnes en détresse sociale.
Je pense être sortie enrichie de cette soirée, et avec l'esprit plus ouvert.
Cette garde est très formatrice et nous ouvre à un univers professionnel que nous n'aurions jamais pu appréhender de si près autrement.
J'ai beaucoup apprecié cette garde qui a pu m'ouvrir les yeux sur certains aspects de notre beau pays dont j'etais consciente mais auxquels je n'avais jamais été confrontée réellement : un gros travail reste à faire pour l'hebergement et j'espere que nous arriverons à ce qu'un jour plus personne en France ne passe la nuit dehors .
Elle permet d'ouvrir les yeux sur les conditions de travail et les limites auxquelles doit faire face les travailleurs du Samu Social.
Le samu social me les a ouvert, et pour ça je les en remercierai toute ma vie.
C'est extrêmement enrichissant, ça m'a vraiment ouvert les yeux sur ces personnes qui n'ont absolument rien.
Lorsqu'ils l'ouvrent, le balluchon contient plusieurs fausses fleurs en plastiques qui s'illuminent et changent de couleur et l'un d'entre eux nous les offre à moi et l'assistante sociale.
Pour ma part je pense que d’autres centres d’accueil devraient ouvrir et aider encore plus les usagers à s’en sortir.
Elle m’a ouvert les yeux sur une vérité tout autre, sur Paris et ses habitants, que je ne voyais pas forcément et qui pourtant était sous mes yeux.
Deuxièmement elle permet plus largement d'ouvrir les yeux, sur ce qu'est la précarité.
J'ai découvert un contact remarquablement ouvert et bienveillant avec toutes les personnes quel que soit leur origine, leur comportement, leur histoire de vie, leur nature psychologique ou psychiatrique ou même leur état d'ébriété.
Au moment où la coordinatrice ouvre, il s'asperge de l'essence qu'il est allé chercher à la station service..
Cette expérience m'a ouvert les yeux sur un autre monde, le monde de la rue, qui me semblait jusque à présent complètement anarchique et très variable mais j'ai pu constater qu'un bon nombre de gens de la rue sont suivis de près sur les plans sociale et médicale, qu'ils ont leurs habitudes, leurs préférences même.
Mais dans l'ensemble cette nuit, tout comme mon stage aux urgences de Pitié, m'a ouvert un peu plus les yeux sur une détresse humaine que je cotoie peu dans ma vie quotidienne.
Voir les choses du côté du SAMU social m'a fait ouvrir les yeux sur cette "section" de notre société.
La double écoute m'a, à travers le sens auditif, fait ouvrir les yeux sur la réalité des immigrés, qui débarquaient dans un pays étranger ou ils devaient faire avec une nouvelle langue et de nouvelles règles, souvent seuls perdus et ayant le SAMU social pour seul repère.
Ça ouvre vraiment les yeux sur un monde jusque là inconnu dont on ne fait jamais vraiment attention.
Ces situations m'ont ouvert les yeux sur les failles du système et les difficultés que les gens peuvent rencontrer même avec toute la volonté du monde.
On ouvre.
Cette garde nous ouvre les yeux sur la réalité des sans-abris et de la vie (ou plutôt de la survie) au jour le jour, les galères pour avoir de quoi se nourrir, un endroit pour se réchauffer ou pour dormir.
Cette garde au samu social, m'a ouvert un peu les yeux sur la vie de ces personnes et j'espère qu'elle m'inspirera dans ma pratique future.
Voir un homme dans un tel état m'a profondément perturbé et m'a vraiment fait ouvrir les yeux sur la vie parfois très cruelle que vive les sans abris.
Cela m’a vraiment fait ouvrir les yeux et je vous encourage à continuer cette initiation.
L’état doit vraiment ouvrir d’autres logements pour accueillir ces personnes dans le besoin.
C'est une expérience que tout le monde devrait vivre pour nous ouvrir un peu les yeux.
Je ne suis pas sûre qu'elle ait un apport majeur dans notre future profession de médecin, mais il est impératif de conserver ce mini-stage et de motiver les étudiants à y aller car il ouvre les yeux sur des thématiques sociales importantes que nous devrions tous, médecin ou non, avoir toujours en tête.
C'est bien de s'ouvrir sur l'aspect "travail social" mais nous forcer à faire une garde DE NUIT (il y a des maraudes le jour!)
Cette garde est intéressante, elle permet de s'ouvrir l'esprit et de changer beaucoup d'idées recues sur les SDF: beaucoup d'entre eux sont très jeunes (a peine 20 ans), en rupture complète avec leurs familles, d'autres plus âgés sont arrivé dans la rue après un événement imprévu qu'ils n'ont pas réussi a surmonter malgré des années passées bien intégrées socialement (un travail, une famille, des amis...).
Cette nuit au Samu Social m’a beaucoup ouvert l’esprit et appris les différentes aides qu’il pouvait y avoir pour les personnes dans le besoin.
L'équipe du SAMU social m'a accueilli à bras ouvert et m'a appris beaucoup de choses que je n'aurais jamais réalisé sans cette garde.
Elle m'aura ouvert les yeux sur "la misère du monde" mais surtout sur tous les moyens mis en place pour la réduire au moins à l'échelle parisienne .
Cela m'a vraiment ouvert les yeux, sur les multiples visages que peut prendre cette précarité.
Cette garde rend cela concret et nous ouvre les yeux !
Il nous parlait à coeur ouvert de son histoire, de ces préoccupations au quotidien, par moment il versait quelques larmes mais sa semblait lui faire du bien.
Au total, une nuit assez riche qui permet de se rendre compte de travail fourni par des équipes pleines de courage et d'humanité et qui peut ouvrir la voie vers de nouvelles vocations.
J'ai trouvé que cette garde était d'un grand intérêt, ça nous ouvre quand même les yeux sur la misère dans la rue.
Au moment de la maraude, j’ai été bouleversée par le nombre de nécessiteux que nous avons croisé en aussi peu de temps, et je dirais même que cette expérience m’a « ouvert les yeux » sur la situation des sans-abris. […] J’ai été particulièrement choquée par la situation des femmes sans-abris ; elles sont bien moins touchées par la précarité que les hommes, c’est pourquoi les centres d’accueil leur réservent bien moins de places, et celles-ci sont donc rapidement prises, d’autant plus que le nombre de femmes dans la rue est actuellement en augmentation… C’était vraiment très dur de devoir annoncer à de petites mamies de 70 ans qu’elles allaient devoir passer la nuit dehors, par le froid qu’il faisait, car il n’y avait tout simplement plus de places pour elles… En résumé, c’est une expérience que je recommande à tous, elle permet d’ouvrir les yeux sur la misère qui existe dans notre société, réputée pourtant pour sa puissance économique.
Garde très intéressante permettant de nous ouvrir les yeux sur un phénomène de société qu'on a tendance à ignorer.
Les difficultés des gens de la rue sont tellement variées, tant par rapport à la langue que par rapport à une sorte de tabou que les gens s'imposent et qui les empêchent de s'ouvrir à l'aide que les associations essaient de leur apporter.
Bref je pense que c'est une expérience de vie intéressante qui permet un peu de s'ouvrir l'esprit.
Ce fut une expérience très enrichissante, qui fait ouvrir les yeux sur certaines réalités de la vie.
Chaque matin, il part à la recherche d'objets utiles laissés à la déchetterie, dans la rue, sur les trottoirs afin d'améliorer son petit lieu de vie, se montrant très respectueux, un logement de travailleurs dans le bâtiment lui restait ouvert la nuit afin qu'il puisse aller se doucher et utiliser un peu d'électricité.
J'ai très bien été accueillie sur place et ai effectué la double écoute avec intérêt, au côté d'un "écoutant" sympathique, ouvert et désireux de me faire comprendre le système, qui, m'était jusqu'alors inconnu.
Au fil de l'entretien, les personnes dans le besoin s'ouvrent un peu plus, se dévoilent un peu plus et acceptent notre aide et on se rend compte également que derrière l'image qu'ils donnent de personne solitaire, préférant être seul ( les personnes disent qu'elles préfèrent être seule, elles n'ont pas envie de parler), ils ont un réel besoin de parler, de se confier, de se sentir écouter.
J'espère pouvoir récupérer une autre maraude car cette nuit m'a vraiment ouvert les yeux sur certaines idées reçues, et j'en suis sortie enrichie humainement grâce à toutes ces rencontres éphémères dans la belle nuit de Paris.
Cela m'a fait prendre conscience que notre métier est tellement chronophage qu'on ne prend plus le temps de se poser pour lire un livre, méditer, penser à autre chose qu'à la médecine et s'ouvrir l'esprit aux autres arts.
beaucoup de rencontre, qui pour quelques une, on été très touchantes: rencontre et dialogue ouvert avec les personnes; on se rend compte de la difficulté de leur situation, la difficulté d'en sortir également, ainsi que la pénibilité de vivre chaque jour dans l'angoisse de ne pas trouver un endroit ou dormir....
En fait, il est réducteur de tenter de résumer cette soirée en quelques phrases, mais je dirai qu'elle m'a permis d'ouvrir les yeux, en me permettant de me poser des problématiques qui jusqu'alors m'étaient inimaginables, de rencontrer des personnes formidables tant du coté des aidants que des usagers, de me rendre compte plus clairement des difficultés que pouvaient rencontrer des personnes en difficultés extrêmes auprès de ceux qui se placent de "leur" coté (comme s'il était censé y avoir des camps...), en bref, cette expérience m'a changé en m'ouvrant les yeux sur ce et ceux qu'on ne voit généralement pas.
Si les travailleurs sociaux ont le coeur grand ouvert pour accueillir petits et grands maux qui jalonnent la vie de ces hommes et ses femmes de la rue, il en ressort indéniablement que les moyens ne sont pas suffisants.
Cette nuit au SAMU social a été pour moi très enrichissante humainement, j'ai trouvé le personnel très accueillant et ouvert, avec une réelle volonté de partager leurs expériences avec quelqu'un de l'extérieur, que ce soit au niveau de la double-écoute ou dans le camion à la rencontre des sans-abris.
La double écoute fut intéressante, de part les appels reçus--un appel notamment d'un sans abri serbe connu par le SAMU social depuis 5 ans, qui est très ouvert socialement (par internet entre autres), très entrepreneur dans les démarches administratives etc.