L’équipe s’est montrée accueillante avec moi. Ils ont été ouverts aux questions et se sont montrés très aimables avec les personnes en nécessité toujours avec du respect et leur donnant la main et le sourire.
Le coup de feu de 19h15 pour les places dans les lieux d'hébergement montraient bien les difficultés sociales surtout pendant ce moment de grand froid. La maraude montrait un autre aspect.
J'ai fais medecine pour aider les autres, et cela m'a montré que parfois nous oublions la personne derrière la maladie ou la détresse.
Le samu social m 'a montré un monde de solidarité et de générosité.
Il faut absolument continuer de montrer aux étudiants en quoi cela consiste !
Cela m'a montrer l importance d'une bonne relation avec eux pour une acceptation des aides.
Le Samu Social m'a montré comment apporter une aide d’urgence complète aux sans-abris.
La double écoute s'est montrée très intéressante.
J'ai fortement apprécié la maraude, l'équipe a été très disponible, et a montré énormément de compassion pour ces personnes en difficulté.
Les différents intervenants rencontrés se sont tous montrés très accueillants, bienveillants et à l'écoute.
L'équipe de maraude s'est montrée très accueillante: les membres de l'équipe m'ont parlé de leur parcours de vie, de l'organisation du samu social et ce fut très intéressant.
Bonne garde, ambiance agréable, bonne équipe et très instructive Cette garde doit être faite une fois pour montrer le fonctionnement du SAMU social.
L'équipe avec laquelle j'étais était très sympathique, m'a bien expliqué le fonctionnement, et m'a montré et fait visiter plusieurs des lieux d'accueil et foyers.
Le fait d'aller spontanément vers ces personnes souvent très démunies les poussent à se confier à nous, et nous montrent très souvent leur gratitude, comme cet homme dont je me rappelle qui était à la rue depuis bien longtemps, sortant de prison depuis peu sans espoir de réinsertion compte tenu de son état de santé, et qui nous a raconté toute son histoire les larmes dans les yeux et nous a remercié de notre écoute tout le temps du trajet pour un centre d'hébergement. […] J'avais bien sur quelques appréhensions avant cette garde, comment se comporter face à la misère de la rue, afin ne pas en faire trop mais se montrer tout de même investie, et finalement cela est venu tout naturellement et j'en garde un excellent souvenir !
De la même manière que ce que l'on a pu nous proposer avec le CFCV ou le Sida info service je trouve ça constructif de nous montrer l'envers du décore.
La plus grande difficulté de cette nuit a sans doute été la gêne olfactive que j'ai pu ressentir dans le camion mais je retiendrai quand meme que l'ensemble des personnes avec qui l'équipe a échangé s'est montré cordial, poli et calme.
La plus grande difficulté de cette nuit a sans doute été la gêne olfactive que j'ai pu ressentir dans le camion mais je retiendrai quand meme que l'ensemble des personnes avec qui l'équipe a échangé s'est montré cordial, poli et calme.
Cette expérience fut dons enrichissante grâce à une équipe agréable et acceuillante nous ayant montrer les points forts et les faiblesse du système d'aide de ces personnes très démunie face auxquels on se sent un peu impuissant.
Les maraudes nous montrent les différentes manières d'aider ces personnes, en leur proposant un hébergement d’urgence pour la nuit, un repas ou des vêtements chauds, ou tout simplement en les aidant à renouer le dialogue avec la société et écouter les histoires qu’ils ont à nous raconter.
Ils ont su rapidement de mettre à l'aise, me montrer l'attitude à avoir et ont répondu de manière sincère à mes questions sur leur parcours les ayant conduit au SAMU Social.
Ils avaient une réelle volonté de nous montrer les différents aspects du travail au samu social et avaient à coeur de nous faire partager leur envie d'aider les autres.
Cette nuit m’a montrée comment aborder les gens sans a priori, mais aussi une grande satisfaction quand ces personnes étaient heureuses de trouver un endroit chaud où dormir au moins pour cette nuit.
Elle m'a montrée la diversification des types de personnes demandeuses de logement. […] Cette double écoute m'a également montrée que le role des personnes recevant les appels etait non seulement de trouver un logement mais aussi de prendre des nouvelles, de s'enquérir des problèmes de santé ou tout simplement de parler...
L'équipe avec laquelle je suis partie en maraude était très sympathique, ils m'ont accueilli chaleureusement et ont eu à coeur de me montrer leur travail.
Parfois pas très rassurée d'être seule à l'arrière avec des inconnus alors que l'equipe est assise à l'avant du camion, mais en tout cas une équipe qui est plus intéressée par nous montrer comment cela se passe à chaque étape plutôt que de nous faire "rester de telle à telle heure parce que c'est comme ça" (=raisonnement AP-HP).
Cette dépendance quotidienne de ces services montrent bien un gros problème de société, qui m a été décrit comme clairement croissant sur les dernières années, avec apparition de nombreuses femmes SDF.
Je suis très contente de cette expérience au SAMU social et très agréablement surprise par l'accueil et la volonté des équipes de nous montrer ce qu'ils font au quotidien.
J'ai beaucoup apprécié l'équipe avec laquelle j'étais, ils ont montré un grand intérêt à mon égard, je ne me suis pas senti délaissé.
Cela m'a montré que le SAMU social avait ses limites en matière de gestion des situations critiques.
Je finirais pas remercier les membres de l'équipe, qui se sont montrés attentif à notre accueil et intégration pour la nuit.
Par ailleurs les travailleurs du SAMU Social, et surtout ceux de la double écoute du 115, se sont montrés très accueillant et ont répondu à toutes mes questions.
Cela m'a montré que nous vivons réellement de meilleure manière.
un contact humain intéressant avec les gens qui travaillent régulièrement la bas,qui m'ont acceuilli très gentillement et ou l'esprit d'équipe est indispensable puis avec les SDF qui montrent un réel désir d'échange meme s'ils n'acceptent pas toujours les soins et les aides qu'ont leur proposent.
le contact avec les personnes de la rue est tres chaleureux et humain, la poignée de main qui commence toute la discussion est vraiment forte et elle permet de montrer que l'on considère la personne d'égal à égal.
Le travailleur social m’a montré les différentes procédures d’aide disponible à Paris, et j’ai pu visiter le centre d’hebergement de Romain Rolland.
Beaucoup de parcours différents, qui montrent aussi que la précarité peut toucher quelqu'un à tout moment de sa vie, il suffit parfois d'un seul événement qui fait basculer l'existence et met des hommes, des femmes et des familles dans la rue.
Au bout de quelques minutes ils n'avaient plus grand chose à me montrer (ce qui est compréhensible), et je me retrouvais à déambuler dans le bâtiment en essayant de réciter les cours que j'avais appris dans la journée. […] Au final au bout de 4h, l'infirmière que je regardais trier les médicaments depuis 1 heure, m'a dit "Tu sais on à rien de plus à te montrer", tu devrais rentrer chez toi".
Je remercie énormément les différentes équipes qui m'ont montré leurs travaux et surtout mon équipe de maraude qui était géniale.
J'ai été impressionnée par la reconnaissance que montraient certains usagers devant la simple écoute qu'on leur apportait et j'ai beaucoup aimé parler avec eux.
La rencontre avec ces personnes sans toît m'ont montré l'importance de l'établissement d'une relation de confiance dans une bonne prise en charge.
C'est un métier magnifique et tous ont montré une générosité, un don de soi que je n'avais jamais vu auparavant.
J'ai pour ma part était très bien acceuilli par l'équipe sur place, ils sont très prévenants à notre égard et on sent un réel interet de leur part de nous montrer leur travail et de nous integrer à leur équipe même pour une nuit.
Elle a été intéressante dans la mesure où elle nous a montré le fonctionnement du SAMU social et son manque de moyen affolant, mais aucune des situations à laquelle j'ai été confrontée ne m'a particulièrement ému.
Cette garde est excellente à bien des égards, et elle permet de nous montrer, nous qui sommes pour la plupart issu d'une classe favorisée, la dure vie dans la rue, et nous qui sommes de futurs soignants, ce travail colossal et minutieux des travailleurs du SAMU social qui sont, à bien des égards, des gens exceptionnels.
Il me montrait des photos de pathologies dermatologiques que certains SDF avaient.
Les différentes personnes avec lesquelles j'ai eu l'occasion de dialoguer se sont montrées très disponibles que ça soit pour me montrer le logiciel utilisé par le 115, pour partager une histoire de vie qui les avait particulièrement marqué, ou pour me faire visiter les locaux d'un centre d'hébergement (celui de Romain Rolland à Montrouge).
La plupart des personnes que nous avons rencontrées se contentaient de nous demander le très strict minimum, expliquant qu'elles préféraient passer la nuit dehors plutôt que dans un centre (dont certains mettent les sans abris dans des conditions de vie encore plus difficiles pour la nuit selon eux), que cela leur permettait de montrer qu'elles pouvaient faire face à l'adversité d'elles même, qu'elles avaient encore l'espoir de réussir à passer ce cap on ne peut plus difficile.
Elle m'a montré un autre point de vue sur des personnes rejetées, à l'écart de la société.
J'ai pris beaucoup de plaisir à côtoyer les personnes que nous avons aider qui se sont souvent montrées très reconnaissantes envers nous.
C'est surtout une aide sociale, une petite discussion autour d'une boisson chaude pour leur montrer que des gens pensent a eux et veulent les aider, que ce soit par des mots ou des gestes.
Il est juste dommage comme me disaient les personnes de mon équipe que certains étudiants ne montrent pas de motivation ni d'intérêt pour cette garde.
Mais c'est une vraie manière de créer un premier lien et de montrer notre respect et notre attention face à leur situation, je m'y suis vite habituée et cela m'a impliquée immédiatement dans la maraude.
Cette garde est très enrichissante, tout d'abord sur le plan humain, car, habitués à rester un peu dans sa bulle, on apprend à s'approcher des plus défavorisés, à leur parler, à discuter avec eux, à leur montrer notre considération et attention pour eux.
Ensuite, la maraude avec les équipes mobiles, toutes très accueillantes, m'a plu et m'a montré que la bonne humeur est l'un des meilleurs atouts pour ce travail, pas si facile..
Je pense que tout le monde se fait un idée des personnes pouvant demander de l'aide mais on se rend vite compte que les profils sont loin d’être ceux que l'on pense ( famille , couples , demandeurs d'asile , personnes handicapées , jeunes ) Certains appels sont frappants car ils nous montrent une réalité encore ignorée, la détresse , le désespoir , la solitude.
La double-écoute peut se montrer assez frustrante car le nombre d'appel dépasse amplement les capacités d'accueil et il est assez difficile d'accepter de laisser des personnes voire parfois des familles entières sans abri ni protection pendant plusieurs jours.
Et être en prise directe avec eux nous permet de ne pas mes considérer comme une entité en marge qui souvent est décriée et montrée du doigt.
Pour commencer, la double écoute m'a montré que des hôtels étaient à la disposition des plus démunis, en particulier des familles, et que le samu social prenait le temps de parler avec chaque personne malgré le fort nombre d'appels (probablement la partie la plus intéressante de la garde mais je n'ai rien appris de nouveau) Par la suite, pendant la maraude, j'étais assis à l'arrière de façon quasi-constante auprès de SDF ivres (dont un était tellement odieux et agressif qu'on a du s'arrêter pour le faire descendre) que l'on devait ramener dans des centres d'hébergement et, à part stimuler mon odorat avec des odeurs révolutionnaires et craindre pour ma sécurité, cette partie était totalement inutile et devrait être supprimée car elle n'apporte absolument rien.
Cette rencontre m'a montré à quel point un petit geste, un sourire, un chant, un regard respectueux pouvaient apporter à une personne en telle situation de précarité.
La nuit a montré son lot de situations, toutes différentes.
Je suis reconnaissante d' avoir pu participer à la maraude et d' avoir pu établir un contact avec des personnes malheureusement trop souvent mises de côté et qui ont beaucoup à partager, de pouvoir leur serrer la main et simplement discuter pour leur montrer qu'ils ne sont pas seuls et qu'ils peuvent compter sur le Samu social dans le cadre notamment des veilles.
L'équipe s'est montrée très disponible (notamment l'infirmière qui était avec moi, une habituée de longue date du SAMU social) pour répondre à toutes mes questions dans l'ambulance.
Seulement le responsable (je me rappele plus son nom) était gentil et montrait le moindre intérêt de ma présence.
Leurs équipes font vraiment un travail formidable, et ce avec énormément d'entrain, d'implication et de bonne humeur, et c'était un vrai plaisir d'être si rapidement intégrée dans une équipe toujours ravie de me montrer ou de m'expliquer des choses.
Sinon je remercie mon équipe, pour avoir partagé cette nuit avec moi, et me montrer le plaisir qu'ils avaient à faire ce métier qui est assez difficile.
Le personnel était vraiment charmant, j'ai été extrêmement bien accueillie, et ceux que j'ai pu suivre mon montré une véritable volonté de me présenter leur travail, c'était très agréable.
Le seul moment gênant a été quand j'ai sorti mon smartphone pour lui montrer une photo, et qu'elle a dit " ah oui c'est pratique c'est trucs quand même..."
Ce qui m'a marqué c'est l'aide apporté par cet ami qui a su me montrer que tout le monde est prêt à aider ceux dans le besoin.
Cette expérience m'a montré à quel point la précarité pouvait toucher n'importe qui, et qu'il sera important dans notre future vocation d'être vigilants aux personnes qui pourraient avoir besoin d'aide afin de leur proposer un suivi social pour ne pas qu'elles soient seules.