Puis lors de la maraude, j'ai fait la connaissance de plusieurs SDFs dont un qui m'a particulièrement marquée : Diego .
Ce qui m'a le plus marqué a été l'acceuil que l'on recevait des gens de la rue et qui était vraiment bon; ils nous attendaient ,étaient contents de recevoir cette visite alors que je m'attendais plus à de la distance voire de l'agressivité.
Au premier abord j'avais des appréhensions quant au contact avec les personnes que nous allions voir, qui pour moi ne voulaient pas forcément être aidées Finalement en étant entourée d'une équipe qui a l'habitude on comprend vite que l'important c'est le respect de l'autre, qui qu'il soit, et c'est une valeur fondamentale à notre exercice médical Deux situations m'ont marquée : Une femme qui ne voulait pas qu'on l'aide et qui visiblement avait un peu peur de nous; en discutant avec l'équipe on se rend compte que c'est assez fréquent qu'elles refusent de l'aide du fait qu'elles subissent énormément de violences dans la rue et sont donc fermées sur elles-mêmes.
L'une des choses qui m'as le plus marqué : cette complicité entre maraudeurs et les "habitués" de la rue, qui finissent par se connaitre et créer des liens.
Une autre histoire m'a marqué c'est celle d'une jeune femme de 20 ans qui était arrivée en france depuis seulement quelques jours et à qui on a expliqué toutes les démarches de demande d'asile.
Le professionalisme dans l'organisation des prises d'appel et dans les conversations téléphoniques des agents prenant les appels ainsi que leur sollicitude pour les appelants m'a particulièrement marqué.
La situation qui m'a le plus marqué est un homme de 25 - 30 ans qui travaillait dans la restauration et qui n'avait pas assez d'argent pour se louer une chambre d'hôtel ou louer un appartement.
Par pur esprit de d'hummanité, il nous indiqua également l'emplacement d'une autre personne : il s'agissait d'un vieillard seul, le visage et le corps marqués par des années passées dans la rue.
Un cas qui m'a marqué : Mr D, 72 ans qui venait d'être hospitalisé 3 semaines en médecine interne, est sorti avec "RAD avec traitements et examens complémentaires à programmer en ville", et une radio pour suspicion de fracture programmée dans 1 mois.
J'ai eu l'occasion de rencontrer un usager du samu social qui m'a beaucoup marqué.
La première chose qui m'a marquée dans cette garde, dès la double écoute, est la disproportion énorme entre le nombre d'appels reçus et le nombre de places à la disposition des sans-abris.
La double écoute des appels du 115 m'ont particulièrement marqué, car la plupart concernaient des familles entières.
Le dernier appel m'a marqué : il a duré environ 30 minutes.
Notre camion ne tarde pas à s'arrêter, Elisa, 23 ans, le visage marqué, les joues creusées nous demande une soupe chaude ...
Ce qui m’a avant tout marqué c’est le calme et la confiance de certains, de ce qu’on pouvait proposer ils n’ont accepté qu’un café ou une soupe, la rue leur semblant sans doute plus fiable et rassurante que n’importe laquelle des structures qu’on pouvait leur proposer ...
Ce travail de la nuit, dans le froid, et qui passe inaperçu aux yeux des gens (et surement que j'aurai fait pareil avant) est en fait très important : cela permet d'entretenir des liens, d'offrir un peu d'évasion aux gens, de chaleur aussi (par les cafés, les thés, les discussions) J'ai été marqué par la gentillesse et la sympathie des maraudeurs, par leur écoute, par l'affection qu'ils portent à certaines personnes, le fait qu'ils se tiennent au courant des gens les plus "connus" du SAMU, qu'ils prennent des nouvelles des personnes qu'ils ont amené.
Une situation qui m'a particulièrement marquée a été l'aide apportée à un jeune migrant de 16 ans!
J’ai compris leur rôle de bouée de sauvetage contre l’exclusion face a des situations très diverses dont certaines m’ont marqué.
Trois situations m'ont marquée. […] L'autre situation qui m'a marquée est celle d'une famille roumaine (1 femme et ses 3 filles de 20 à 6 ans) que nous avons rencontrée vers minuit.
Concernant la double-écoute, ce qui m'a profondément marqué fût le fait de devoir dire "NON" à plusieurs reprises à des personnes qui appelaient dans l'espoir éventuel de trouver un toit pour la nuit... […] L'autre appel qui m'a énormément marqué fût l'appel d'une (très) jeune maman dont l'enfant avait à peine 1 mois.
Un autre point corrélé au dernier m'a marqué, c'est le nombre de place par rapport au nombre de demandant, juste ahurissant.
J'ai surtout été marquée par un sans abris en particulier durant cette garde.
Je pense que le premier événement qui m'a marqué dans ce mini stage s'est déroulé lors de la douvle ecoute : il s'agissait d'une famille dans la rue, leur enfant avait 11 mois et la femme était enceinte...
Une rencontre m'a marqué; un monsieur de 45 ans vivant dans la rue depuis plusieurs années, qui connaissait très bien le samu social ainsi que toutes les structures disponibles pour lui.
J'ai été marquée par l'implication des membres de l'équipe qui connaissaient déjà la plupart des personnes que l'on nous signalait, les reconnaissant en entendant le lieu où ils devaient se situer, et connaissant pour chacun leurs caractéristiques, habitudes ...
Ce qui m'a marqué en premier lieu c'est de voir à quelle point le SAMU Social est une machine bien rodée, que ce soit en ce qui concerne le suivi des personnes connues du service ou celles qui entament un premier contact avec l'organisation.
En conclusion, cette garde au samu social fut une belle expérience humaine, tant sur le plan du contact avec les SDF que sur les échanges avec les différents membres du samu social, j'ai été marquée par leur gentillesse et leur solidarité.
Deux choses m’ont particulièrement marqué cette nuit, la première est que lorsque nous nous sommes déplacés pour récupérer un premier sans abris pour le déposer au CHU de Romain Rolland, ce dernier nous avait dit qu’il avait déjà planifié une date de suicide s’il n’avait pas la chance d’être hébergé.
J'ai également été marqué par un homme, diabétique, que nous avons rencontré en début de nuit.
La nuit au SAMU SOCIAL m'a vraiment très marquée et je trouve que c'est une grande chance d'avoir la possibilité de pouvoir avoir une impression du travail fait par les personnes s'investissant pour le SAMU SOCIAL.
La personne qui m'a le plus marqué était cette jeune fille roumaine de 18 ans ( plus ou moins on ne savait pas trop ) qui ne parlait pas français qui était là dans la rue depuis plusieurs jours mais qui était toute souriante très gentille qui ne voulait même pas qu'on lui donne une soupe ou un café mais dont seule la compagnie lui donnait le sourire .
J'ai été particulièrement marquée par 3 personnes rencontrées : Une appelante tibétaine qui ne pouvait pas avoir de place cette nuit là, parce qu'elle était jeune, en bonne santé et qu'elle avait déjà dormi à l'abri les nuits précédentes, critères rédhibitoires pour obtenir un lit.
L'autre chose qui m'a marqué est la force du lien crée entre les équipes et les SDF.
C'est l'événement qui m'a le plus marqué pendant la nuit car je ne pensais pas être confronté à autre choses qu'à des sans-abri et la situation de cette dame m'a touché.
Un signalement m'a particulièrement marquée : il s'agissait d'un SDF aveugle, connu du chauffeur depuis des années, que l'on a trouvé assis par terre et que l'on a ramené dans sa chambre d'hôtel (si l'on peut appeler ça un hôtel vue l'insalubrité des locaux, bien qu'étant situé en plein coeur de Paris).
Au cours de notre excursion dans les rues de Paris, un sans abri m'a beaucoup marqué.
Le moment qui m'a le plus marquée a été quand nous cherchions le deuxième signalement, pour une personne déjà connue.
Chaque appel est différent mais un m’a marqué, celui d’un homme qui voulait une place pour la nuit, remerciant plusieurs fois l’écoutant à la fin de l’appel malgré le fait qu’il n’y ai plus de place dans les centres d’accueil… l’écoute de la personne, un élément essentiel.
Je finirai sur une anecdote qui m'a marqué : le dernier sans-abris que nous avons croisé était originaire de Pologne. […] j'espère que cette expérience me marquera longtemps.
La double écoute ne m'a pas tant marqué que ça, je trouvais que c'était bien de l'avoir fait, mais peut-être qu'une heure serait largement suffisant. […] Le patient qui m'a le plus marqué c'était un vieux monsieur que nous avons récupéré assis seul sur le pallier d'une porte, perdu.
L'un d'eux a dit une phrase qui m'a marquée : "il faudrait quand même pas que les personnes dont le travail est d'aider les gens dans la précarité se retrouvent eux même en situation précaire", ce qui me semblent important, parce qu'en les écoutant, en effet, ils ne donnaient pas l'impression de disposer d'avantages sociaux importants, même si je ne connais pas du tout la réalité de leur métier.
Bonjour Je suis à J+2 de ma garde au Samu Social, mais je suis toujours aussi marqué par cette incroyable nuit que j'ai eu la chance de passer avec l'équipe du 115 de Paris gérée par le Samu Social.
La moitié de son visage était marquée par une large cicatrice provenant probablement d’une ancienne plaie par arme blanche.
Je me souviens de toutes les personnes rencontrées cette nuit, celles qui m'ont le plus marquée sont d'abord une jeune femme que nous devions aller chercher à la sortie d'un métro, et une fois arrivés sur place nous nous sommes rendus compte qu'elle était avec un nourrisson, cela étai surprenant et faisait une drôle d'impression.
Une histoire m'a particulièrement marqué.
Les différentes personnes avec lesquelles j'ai eu l'occasion de dialoguer se sont montrées très disponibles que ça soit pour me montrer le logiciel utilisé par le 115, pour partager une histoire de vie qui les avait particulièrement marqué, ou pour me faire visiter les locaux d'un centre d'hébergement (celui de Romain Rolland à Montrouge).
La précarité de ces personnes et la diversité de leurs profils m'ont beaucoup marquée.
Une histoire, durant cette double écoute, m’a réellement marqué : une femme venant de Mayotte pour faire soigner son fils de 32 ans, épileptique avec un réel retard mental nous a appelé.
Les choses qui m'ont le plus marqué : - TOUT LE MONDE peut se retrouver à la rue du jour au lendemain : par addiction au jeu , par conflit familial, par addiction à l'alcool, par expulsion et perte d'emploi .
Toutefois l'événement qui m'a le plus marqué est la découverte d'une jeune femme d'une vingtaine d'années assise seule sur un banc parisien.
J'ai choisi de décrire un cas qui m'a marqué.
Jusqu'à cet appel qui m'a marqué.
Au final c'est ce qui m'aura le plus marquée au cours de cette soirée : le pourquoi ?
La personne qui m'a le plus marquée était un homme à qui l'on avait du couper la jambe après qu'elle se soit gangrenée.
Double écoute 115 : Ce qui m'a le plus marqué pendant ces 2h est le moment où les places des centres d'accueil ouvrent (la période hivernale terminée, le nombre de places est très réduit) et en moins de 10 min toutes sont pourvues...
-L’événement qui m'a marqué cette nuit là : un jeune homme de 30 ans, qu'on a trouvé au niveau de la place du Panthéon, habillait d'une simple veste en cuir, sans bonnet, sans gants, ni écharpe.
L’histoire qui m’a le plus marquée est cette femme ayant dormi 1 semaine aux urgences maternité de la Pitié après avoir accouché de son petit garçon.
Plusieurs choses m'ont marquées lors de cette garde au Samu social: - l'absurdité de la lourdeur administrative.
Pourtant ce qui m'a marqué c'est leur sourire, la lueur dans leurs yeux à la vue du camion.
Cette expérience va me marquer, j'en suis sûre, pour le restant de mes études, de ma carrière médicale et de ma vie privée, tout simplement.
L'évennement qui m'a le plus marqué concernait un Monsieur SDF de 36 ans en plein épisode dépressif aigue.
Un signalement de la nuit m'a marqué.
Ca m'a vraiment marqué de voir une femme comme ca..
Parmi tous ces nombreux appels, il y a eu une dame qui a particulièrement marqué notre attention.
Cette fois, elle m’est signifiée par des regards incertains, par des mains fragiles, par des visages vieillis, marqués par la rue.
Cette intervention m'a marqué car elle était la 1ère et que je ne pensait pas me retrouver aussi vite face à des situations aussi tragiques.
- un homme de 64 ans marqué par des années de rue qui à l'arrière du camion me montre sa fortune (une petite bourse avec 15euros en petites pièces).