Au cours de la maraude on a vraiment l'impression de se rendre utile pour les gens qui en ont besoin.
J'ai beaucoup appris sur les sdf, sur comment on pouvait les aider, les differentes difficultés qu'ils pouvaient rencontrer au cours de leurs vies, comment ils se retrouvaient dans cette situation.
Nous avons rencontré des personnes très touchantes et courageuses au cours de la maraude, pour lesquelles nous avons pu trouver une solution pour la nuit.
On m'avait initialement informé sur le grand isolement social des SDF, sur les difficultés de communiquer avec eux parfois, pour ma part je n'ai rencontré au cours de cette nuit que des personnes contentes de pourvoir discuter avec nous. […] Néanmoins, j'ai rencontré au cours de cette nuit un SDF qui aurait souhaité pouvoir aller dormir dans un centre mais cela lui a été refusé en raison de sa nationalité italienne,car la loi dit que les ressortissants européens peuvent circuler librement dans l'UE mais doivent subvenir à leurs besoins par leur propre moyen, c'est toujours triste de voir que l'aide sociale a des frontières...
Facilite les relations lorsqu'on sera confronté à des patients dans cette situation au cours de notre cursus.
L'équipe a été très agréable et a repondu à toutes mes interrogations au cours de la nuit.
Au cours de notre vie professionelle nous serons amené à traiter des patients en difficulté sociale et cette maraude permet de voir leur quotidien.
Je pense que cette nuit est utile à un étudiant en médecine sans être indispensable étant donné que nous sommes amenés à voir des patients semblable au cours de nos études, nous somme déjà en quelque sorte "sensibilisés" aux personnes exclues socialement... Néanmoins il est toujours bien de savoir qu'un organisme tel que celui ci existe et d'en comprendre le fonctionnement, d'autant plus qu'il est apparemment amené à disparaître : j'ai eu le droit à une réunion syndicale mouvementée en ces temps d’élection présidentielle, au cours de laquelle j'ai d'ailleurs été plus qu'étonné d'apprendre que ces travailleurs sociaux touchent 1100€ par mois après 10 ans d'ancienneté.
Expérience très enrichissante et très formatrice, permet un nouveau regard sur les personnes précaires, même si au cours de notre formation médicale nous avons l'occasion d'être en contact de ces personnes.
La prise en charge des personnes rencontrées au cours de ma garde consistait essentiellement à la redirection vers des centres d'hébergement ou l'orientation vers des associations.
Cette garde au Samu social était intéressante et à faire au moins une fois au cours de notre formation.
Une expérience qui me semble indispensable dans le cursus, mais qui ne peut et ne doit pas être plus approfondi au vue de la densité déjà importante des sujets abordé au cours de notre formation.
J'ai pu voir un éventail large de situation au cours de la nuit et j'ai réalisé comme les "interventions" peuvent être variées.
Elle a été, pour moi, l'occasion d'un premier contact avec une population que je n'avais jusqu'ici jamais rencontrée au cours de mes stages.
Nuit très particulière au cours de laquelle nous suivons le 115.
Au cours de la double-écoute, j'ai pu poser de nombreuses questions.
Nous avons rencontré environ 30 personnes au cours de la maraude.
Les personnes que j'ai rencontrées au cours de cette nuit m'ont beaucoup touchées, je pense être soucieuse de la question de la précarité en france, mais cet aperçu concret était très formateur.
Je fus particulièrement sensible au lien que les travailleurs du SAMU SOCIAL s'évertuaient à préserver vis-à-vis des personnes sans-abri au cours de leurs missions.
C'est une expérience particulière, à laquelle nous avons peu l'occasion de participer au cours de nos études.
C'est une expérience particulière, à laquelle nous avons peu l'occasion de participer au cours de nos études.
Au cours de cette courte nuit, j'ai pu commencer à me rendre compte de la vie des SDF, et je verrais les sans abris différemment dorénavant.
Soirée très intéressante, mais on en vient à douter de l'utilité d'une telle structure, car le véritable but, celui de réinsérer les sdf croisés au cours de la nuit, n'est t'atteint qu'exceptionnellement.
Le travail fourni par le samu social s'est révélé être vital au cours de cette nuit pour ces deux personnes.
Au cours de la nuit, nous avons vu pas mal de gens et avons pu les aider plus facilement que je n'aurais imaginé.
Cette expérience du SAMU social est particulièrement enrichissante et je suis ravie qu'elle nous soit proposée au cours de nos études.
-> à faire une fois au cours de ses études !
J'ai appris beaucoup de choses au cours de cette garde. […] Tout particulièrement, nous sommes allés chercher un jeune Soudanais, un migrant venu en France, ayant probablement été torturé plusieurs fois au cours de son périple.
Je garderai en mémoire un SDF passionné d'histoire et d'architecture qui nous racontait au cours de notre trajet jusqu'au centre d'hébergement la construction de plusieurs monuments parisiens.
Nous avons aussi rencontré au cours de notre sortie plusieurs autres associatifs qui circulent la nuit pour distribuer des vivres aux sans-abris, c'étaient de très belles rencontres.
Ce qui m'a particulièrement marquée au cours de ma garde fut la rencontre avec les personnes vivant dans la rue.
Je suis allée plusieurs fois à Montrouge au cours de la nuit, et j'ai été touchée par leur attitude et leur générosité envers le personnel du Samu social et du centre, tous remercient et nous souhaitent bon courage pour la nuit alors que c'est plus à nous de les soutenir.
J'ai profité de conditions agréables pour ma garde au samu social (douce soirée d'été), ce qui a permis à l'équipe et donc moi même de prendre le temps de discuter longtemps avec chaque personne que nous avons rencontré au cours de la nuit.
Au cours de la garde j'ai été tres secouée quand arrivés à saturation nous etions obligés d'informer des familles avec enfant/nourrisson qu'aucun logement n'etait disponible pour les accueillir .
Garde du Samu social très intéressante, à faire impérativement au moins une fois dans sa vie pour découvrir ce que vivent les personnes en difficulté sociale, que l'on ne croise pas forcément au cours de nos stages ou pour lesquelles ça ne se voit pas.
Au cours de la nuit, j'ai eu l'occasion de voir un des centres dont dispose le SAMU social à Montrouge et j'ai pu mieux appréhender les conditions dans lesquelles ils sont accueillis.
Tous les gens qu'on a rencontré au cours de la nuit ont été gentil, à part d'une femme qui était mécontente, mais je comprends bien que la vie sans domicile fixe doit être dure.
Au cours de notre formation, nous n'avons malheureusement que très peu de temps accordé à la dimension sociale de la médecine et proposer ce type "d'atelier" est une bonne chose.
Je ne connaissais pas encore le rôle de cet organisme et je l'ai découvert dans le camion au cours de la maraude.
Le recrutement des étudiants au cours de ces maraudes doit être poursuivi, c'est réellement enrichissant.
Au cours de notre maraude on a été face à diverses situations.
Ils sont vraiment très impliquées, demandent des nouvelles des personnes qu'ils ont rencontré au cours de leurs maraudes, nouent un réel lien avec ces personnes dans la précarité.
Le fait de côtoyer réellement ces gens au cours de la garde nous sensibilise à les aider, car en les aidant, en écoutant leurs histoires et leur parcours avant d'en arriver à leur situation actuelle difficile, on s'attache à eux et sort de ses idées préconçues.
Au cours de ma garde j'ai eu l'occasion de voir et de visiter plusieurs lieux d'hébergement qui sont proposés aux gens de la rue et c'est probablement la première fois que j'ai écouté ainsi que parlé à des personnes vivant sur la rue.
Au cours de notre maraude, nous avons été appelé pour un signalement concernant une famille sans plus de précision.
Leur rapport avec les personnes rencontrées au cours de la nuit était très humain, plein de compréhension et sans le moindre jugement.
Malheureusement je n'ai pas toujours trouvé ces échanges très clairs, et les démarches administratives rendent la tâche très complexe : au cours de mon écoute, plusieurs femmes enceintes ont appelé, il leur était alors expliqué qu'elles devaient aller récupérer un certificat attestant leur grossesse puis le faxer au 115, la barrière de la langue et les difficultés de compréhension rendaient parfois ces échanges compliqués.
Au cours de la nuit j'ai pu visiter différents centres d'hébergement, pour personne seule et pour les familles.
De plus, les membres de l'EMA m'ont tout de suite intégrée, ce qui m'a aidé à me mettre à l'aise et nous avons beaucoup échangé au cours de la nuit.
Ce qui m'a le plus plu au cours de cette garde au samu social, est l'ambiance incroyable qui y regne.
J'ai donc appris au cours de ma double écoute que le 115 permet l'accès aux centres d'hébergement dans des situations d'urgence. […] Au cours de cette nuit, j'ai pu faire l'expérience de la réalité des gens de la rue, le rôle du SAMU social qui permet de donner une attache à ces personnes isolées.
En effet, la double écoute permet d'abord de se familiariser avec les personnes qui appellent et donc que l'on va croiser au cours de la garde.
Un grand merci à l'équipe du SAMU Social pour ce qu'ils font et leur accueil au cours de cette nuit.
Cela m'a encore plus interpelé concernant les très nombreuses familles que nous avons vu dans la rue au cours de notre tour avec le camion, avec souvent des enfants en bas âge dormant dehors et pour lesquelles les solutions sont encore plus inexistantes car il n'y pas de centre pouvant les accueillir la nuit, et que les places d'hôtel dédiées sont rarissimes.
Cette garde au Samu Social était une expérience enrichissante sur le plan humain et professionnel, bien qu'en raison de la pluie cette nuit-là, nous n'avons pas beaucoup rencontré de personnes en difficulté au cours de la maraude, la plupart ayant heureusement réussi à trouver un abri au moins sommaire.
Au cours de ma garde au SAMU SOCIAL j'ai accompagné Nathalie (notre conductrice) et Mickael (infirmier) dans leur maraude.
Et plus tard au cours de la soirée, j'ai découvert ces gens, pour beaucoup des femmes en situations irrégulières qui souriaient en montant dans le camion et en me disant qu'elles ne m'avaient jamais vu : étais-je nouvelle ?
Mon camion s’étant vu attribuer le quartier autour de la Pitié, je croise parfois les personnes rencontrées au cours de la maraude.
Au cours de la double écoute 115, puis de la maraude, j'ai pu me rendre compte de la diversité des personnes vivant dans la rue, ainsi que de leurs situations respectives.
Ce fut très intéressant d'analyser au court de la double écoute et au cours de la ronde la façon de parler, d'écouter et de faire comprendre malgré les réticences , des différents intervenants du samu social.
La confrontation avec trois SDF au cours de la nuit m’a laissé songeur.
Ensuite, vers 20h vient la réunion de répartition des quartiers de maraude, au cours de laquelle j'ai été présentée à ma géniale équipe.
Déjà au cours de la double écoute en première partie de nuit, toute l'équipe répondait à mes questionnements et a pris le temps de m'expliquer tout le fonctionnement des centres d'hébergement d'urgence, ainsi que les différentes options qui s'offraient aux demandex.
Copie du mail envoyé à samusocial.upmc@gmail.com le 29/03/2011 Bonjour, Je vous écris afin de vous narrer ce qui m'a marqué au cours de ma garde au samu social de paris.
Une dame nous a, par exemple, longuement parler de ces différentes expériences qu'elle a vécues au cours de ses treize années de vie dans la rue.
Ensuite, au cours de la nuit, nous prodiguons des soins de premiers secours, nous transportons des hommes et des femmes dans des centres d'hébergements pour leur permettre de prendre une douche, un repas chaud, de dormir dans un lit.
Au cours de la nuit nous avons pu rencontrer plusieurs personnes, plus ou moins sympathiques, dont notamment un couple de jeunes.