Le fait de voir les 2 côtés : double appel et camion était intéressant.
D'un côté c'était intéressant de découvrir le travail des travailleurs sociaux et des infirmières aussi bien pendant la double écoute que pendant la maraude, de voir comment ils communiquent avec les usagers et essayent de comprendre leurs problèmes et de chercher des solutions. De l'autre côté, ça m'a permis de rencontrer des gens qui vivent dans la rue et de parler un peu avec eux, de voir à quels point certains sont reconnaissants du travail que fait le SAMU Social.
Cette garde redonne un côté humain a notre façon de pratiquer la médecine, en revanche a 4 jours des partiels je dois dire que c est un peu long une nuit entière sans rapport avec de la médecine...
Le côté social est intéressant à aborder mais du point de vue médical pur cela a peu d'intérêt.
Peu de côté humain. […] Malgré la présence d'une équipe géniale, avec une super ambiance et un côté humain très présent Pour ce qui m'a marqué, un échange avec trois sdf très reconnaissants et sympathiques.
La double écoute m'a permis de voir le côté "technique" de la prise en charge des personnes en difficulté (les hébergements pour une seule nuit, les étudiants mis à la porte par leurs parents, les personnes avec une pathologie chronique qui suivent un traitement mais ne se nourissent pas à côté, ceux qui abandonnent .. etc.) […] Nous avons emmener aux urgences un jeune homme qui s'était ouvert la main avant de l'emmener dans un foyer, là aussi, très important, c'est un côté qui doit encore être amélioré dans la prise en charge à l'hôpital des personnes défavorisées, moins de jugement sur l'apparence, l'alcool, le comportement, et plus les voir comme des patients et pas comme des gens qui cherchent à "dormir" à l'hôpital.
Garde très enrichissante qui nous permet de constater une autre facette de notre métier qui se rapporte à l humain: le côté social , la précarité .
Le côté social de ce travail était très touchant.
Le côté social de la mission de maraude permet de se rendre compte de chose qu'on ne voit pas à l'hôpital.
En effet, ce genre d'expérience développe le côté humain de la médecine.
Expérience intéressante qui permet de voir le côté social de la prise en charge des SDF et pas seulement la vision mécidale des choses.
(on se voit assez mal parler de la précarité, et des précédents dossiers à voix haute pour couvrir les bruits du camion alors qu'un SDF est juste à côté). On se sent donc vite mis de côté, et la nuit est vraiment longue, jusqu'à s'endormir dans le camion.
Nous prenons en charge un des hommes qui est a côté, l'habitué ne souhaitant pas nous suivre.
J'ai trouvé ça très bien, cela m'a permis de voir un côté différent de ces personnes.
J'ai pu faire ma garde au Samu social hier soir, et je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en arrivant, je pensais qu'il y'aurait un côté beaucoup plus médical que ça. […] En résumé, cette nuit m'aura aussi permis de voir un autre côté des gens à la rue, un côté auquel on ne fait pas forcément attention quand on passe à côté d'eux : ils ont besoin qu'on les écoute, d'un contact, et ils ont besoin qu'on les guide et accompagne dans certaines démarches, et c'est aussi là qu'intervient le 115 avec les travailleurs sociaux qu'il propose !
La maraude est le moment que j'ai préféré pour le côté humain .
L'équipe était très sympathique, m'expliquait tout et ne m'ont pas mise de côté. […] Il était intéressant de voir le côté social de tout ça, que nous ne voyons quasiment pas l'hôpital.
On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on passe dans les rues de Paris mais cette expérience permet d'avoir une autre vision des difficultés rencontrées.
On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on passe dans les rues de Paris mais cette expérience permet d'avoir une autre vision des difficultés rencontrées.
Bien que provenant d'un milieu social favorisé j'avais conscience que certaines personnes vivaient dans des situations extrêmement précaires, cette garde ne m'a malheureusement pas appris grand chose de ce côté là.
Aucun apprentissage au niveau médicale à proprement parler mais enrichissante du côté social.
J’ai trouvé cette garde très instructive et m’a fait découvrir la prise en charge du côté socio-économique des personnes en difficultés, intimement liée à la prise en charge médicale.
Experience importante humainement, on voit un côté différent des sans-abris de celui qu'on a l'habitude de voir, que ce soit dans la vie quotidienne ou à l'hôpital.
La relation est avec les SDF est totalement différente de celle qu'on peut avoir au quotidien (des personnes pauvres dans la rue qui demandent de l'argent grosso modo), en tant que SAMU social on est du bon côté, la relation est beaucoup plus vraie, et on voit au delà de cette réduction simpliste. A côté de ça pour la pratique médicale ça permet je pense une meilleure entente future entre médecin et le SAMU social notamment dans le cadre des urgences.
Le seul petit point noir de cette garde serait pour moi, le côté médical vraiment réduit au minimum, avec des bilans plus que succincts des pathologies par l'infirmière (faute de temps entre autre...), et peu d'investigation de ce côté là...
C'est intéressant de voir les deux côtés de leur intervention : à la fois la répartition des places en centre et la manière de gérer aux mieux cette répartition, puis sur le terrain la maraude.
Une garde vraiment différente de celle que j'ai pu faire : la dimension médicale est quasi absente, mais le côté social est sans conteste là.
Cette garde a été une série de belles rencontres, tant du côté des maraudeurs que des personnes prises en charge.
la nuit du samu social permet aux étudiants en médecine de rencontrer l'autre facette du monde médical: l'aspect purement social et le côté d'aide à la personne qui peut parfois sembler abstrait dan les livres.
Je pense que cette garde est sensé nous faire prendre conscience du côté plus "social" de la médecine.
C'est une expérience qui nous permet de développer nos relations humaines et d'éveiller en nous le côté humanitaire, que je trouve, qu'on oublie malheureusement trop souvent dans la pratique courante de la médecine.
On passe à côté d'eux sans vraiment les voir.
Contrairement aux autres gardes effectuées pendant nos études, celle ci se concentre uniquement sur les rapports humains et la création de lien sociaux, aspect fréquemment laissé de côté dans une prise en charge médicale.
Les maraudes sont bien organisées, et le côté social est vraiment au premier plan, on ne vient pas forcément leur offrir de la nourriture mais parfois seulement un peu de compagnie.
Elles permettent d'aller à la rencontre de gens à côté desquels on passe habituellement sans les regarder.
A côté de nous, les passants, la ville de Paris plein feu en résonance avec la radio de cet homme sur une mélodie bien connue finissant par : "Every little thing gonna be all right".
Je trouve que la mise en place de cette garde est une très bonne chose nous qui ne voyons pas souvent le côté social à l'hôpital (ne restant que le matin).
J'étais laissé un peu de côté puisque évidemment je ne savais pas comment me conduire lors de situations délicates.
A côté de ça, j'ai effectué ma nuit avec 3 personnes adorables qui ont mis beaucoup d'enthousiasme à me transmettre explications, informations et expériences personnelles.
Leur empathie envers les personnes qu'ils rencontrent, le respect de tout individu, ce côté serviable sans jamais forcer m'ont beaucoup marqué.
C' était une nuit très enrichissante Au début j'appréhendais le contact avec les personnes sans-abris car je trouve que c'est particulièrement difficile d'être empathique dans une situation où l'on a jamais pu ressentir ce qu'ils ont vécu Finalement en observant les équipes on trouve un rapport neutre et bienveillant, et beaucoup d'humanité à leur côté La situation des femmes sans abris m'a marquée, car elles sont les plus fragiles mais refusent pour la grande majorité l' aide qui leur est proposé Également un moment marquant, lorsqu'un sdf se trouvant devant le centre demande à être hébergé, on ne peut pas accepter car sinon tous les sdf viendraient directement devant le centre et cela deviendrait ingérable Mais la situation était difficile à appréhender psychologiquement
L'importance de cette garde consiste à se confronter à des personnes trop souvent laissées de côté, des personnes pour qui nous avons trop d'à priori.
On passe à côté d'eux, parfois avec un sourire, un bonjour mais on ne s'arrête pas ou peu.
J'ai apprécié le côté humain de la maraude.
On sillonne tout Paris pour apporter quelque chose de chaud, dans les meilleurs cas une nuit au chaud et des fois discuter, on fait des rencontres fortes avec des gens tellement courageux qu'à côté on n'ose même pas penser au froid qu'on ressent nous-mêmes...
Sinon, ils seraient passé à côté sans les voir.
Par contre ce que je trouve difficile du côté des équipes du 115 c'est qu'on reste impuissant pour les sortir véritablement de leur problèmes.
Bref, bonne garde pour changer de notre quotidien d'externe et une autre approche du côté social indispensable à notre futur métier.
Cette nuit au Samu social montre un côté de Paris que nous ne connaissons pas.
Voir les choses du côté du SAMU social m'a fait ouvrir les yeux sur cette "section" de notre société.
Une équipe accueillante, je ne me suis pas sentie de trop, pas mise sur le côté, pas mal à l'aise.
J'ai aussi pu voir ce qu'étaient la fidélité et le courage, une femme ne voulant se loger que si sa consœur de l'autre côté de la rue est d'accord et ce ne fut malheureusement pas le cas...
Assis à côté du travailleur social, en face de Mr.M.
Le monde que j'ai découvert semble tellement loin bien que tout à côté.
Cependant, bien que je trouve le fonctionnement de ce système très imparfait (ex: devoir revenir à Vitry pour diner à 2h du matin quand on maraude dans le 17e: peu écologique et perte de temps) je suis très content d'avoir pu participer à cette maraude, aux côtés de ceux qui s'engagent pour venir en aide aux plus démunis.
Je suis personnellement très sensible au côté humain de notre futur travail et cette garde permet de se rendre compte de la misère dans laquelle vivent quelques personnes et de nous sensibiliser à leur cause.
Une fois là bas, je me suis retrouvé entre ce jeune homme perdu, venant d'arriver en France et de l'autre côté un jeune issu de milieu Bourgeois venu déclaré le vol de son scooter.
Une femme m'a particulièrement touchée, venant de Côté d'Ivoire, elle a subi des agressions sexuelles en France.
J'admire vraiment tous les gens du samu social, pour leur côté humain, détendus de temps en temps, insurgés parfois, et qui dans le plus grand naturel viennent en aide à tous les gens qu'on ignore volontairement dans la rue!
La garde au SAMU social a un côté humain incroyable nous permet de nous rendre réellement compte des conditions de vie des sans domicile fixe mais surtout des nombreuses actions mise en oeuvre pour leur venir en aide, l'intervention des travailleurs sociaux, des infirmiers et des centres d'hébergements.
Cette garde m'a fait découvrir des côtés de Paris que je ne connaissais pas.
Malgré un à priori de départ mitigé (surtout par le coté obligatoire de la garde et l'approche imminente des examens), il en ressort tout de même une expérience surprenante et enrichissante de par son côté profondément humain et une ambiance de travail incroyable notamment en maraude!
J'ai trouvé très marquant de passer de l'autre côté de la barrière que l'on met au quotidien face aux personnes qui sont à la rue, dans nos façons d'interagir (ou justement de ne pas interagir) avec elles.
Pour ce qui est de la nuit, j'étais assez anxieuse a l'idée de monter dans le camion et aller a la rencontre des usagers, surtout que notre place est à l'arrière a côté d'eux...
J'aurais aimé rencontré des situations plus diverses comme se rendre à St Anne pour quelqu'un avec un trouble psychiatrique, afin de se trouver de l'autre côté du "tableau", en face des médecins.