Dans l'équipe, il manquait un TS, par conséquent, c'est moi qui ai pris sa place à l'avant, les échanges étaient donc facilités.
Pour ma part, j'avais de nombreux a priori sur les sans-abri, mais cette nuit m'a permis de découvrir que pour la plupart, ce sont des personnes fort sympathiques, très généreuses malgré leur manque de ressources.
J'ai été touchée par certains appels de personnes en détresse pour lesquelles on ne pouvait rien faire par manque de place dans les centres et à qui nous n'avons pas eu d'autre solution que de dire de rappeler le lendemain ou plus tard, c'est à dire de dormir par ses propres moyens dans la rue pour ce soir la.
Parfois en famille, avec des enfants voire des nourrissons (1 mois pour le plus jeune de cette nuit) ils demandent simplement une nuit au chaud, ce que l'on peut rarement leur fournir par manque de place..
Sur les modalités de la garde, je trouve que rajouter une nuit complète pendant le pôle d'urgences-réanimation déjà très riche en gardes témoigne d'un manque de considération du sommeil des étudiants.
Tout d'abord lors de ma double écoute j'ai été particulièrement choquée par le nombre de refus, notamment des familles, dû au manque de places.
Le gros problème c'est qu'il n'y a pas beaucoup de places dans les centres d'accueil par rapport au nombre de gens dehors, ce qui fait que en deuxième partie de nuit, plus aucune place n'est disponible et on a très peu de sacs de couchage (4 par camion) ce qui fait que parfois, on est obligé de refuser de donner à certaines personnes par manque de moyen
J'ai trouvé que le manque de place était un véritable problème avec de nombreuses personnes appelant en soirée à qui on ne trouve pas de logement pour la nuit.
Ce qui m'a alerté dès la double écoute et plus tard pendant la maraude est le manque d'endroits où passer la nuit pour la plupart des sans abris comparé au nombre de personnes le nécessitant, et malgré tout que beaucoup de sans abris refusent de passer la nuit dans certains établissements compte tenu du refus de se séparer lorsqu'il s'agit d'un couple ou d'une famille, de la distance et de la peur du vol des peu de possessions de ces personnes, et enfin la précarité sociale et matérielle parfois mal supportée de certains de ces établissements.
par manque de chance, je suis tombé sur le groupe qui effectuait ses missions dans le territoire vers le 19ème ou le 20ème, sachant que les 2 centres d'hébergement auxquels on est allés se situent dans le 14ème, on a passé beaucoup plus de temps sur le périph que pour la maraude en elle-même.
La place dans les hébergements sont rares et manquent, c'est humainement difficile de passer sa nuit à expliquer aux SDF qu'on peut leur servir un café, discuter un peu, mais ne pas leur proposer de place où dormir (parce qu'ils y ont déjà dormi 6 jours plus tôt par exemple) Voire dans le pire des cas, ce sont les sans abris qui refusent certains hébergements car les conditions y sont trop difficiles (vol, violence..)
J'ai été frappée à la fois par tout ce que le SAMU social peut apporter aux gens qui vivent dans la rue et en même temps le manque de moyen.
J'ai été choquée par le manque de moyens dont disposent le samu social et la ville de Paris pour faire face au nombre exorbitant de sans-abris : 4 camions par nuit, 4 sacs de couchages par camion, très peu de nourriture solide, peu de centres, peu de places.
Durant toute l'opération, je ressens une sensation de malaise : le contraste est saisissant entre les personnes installées aux terrasses de café et cette famille située à quelques mètres, à qui il manque l'essentiel.
Dans notre cursus nous n'avons pas ou peu l'occasion d'apprendre à véritablement "parler" aux gens qui sont en face de nous, de s'intéresser à leur histoire, leur environnement, leur quotidien, leur entourage etc, souvent par manque de temps mais aussi parfois malheureusement, par indifférence.
Cette nuit au SAMU social m'a fait comprendre quelles sont les difficultés des personnes vivant dans la rue : le froid, la faim, le manque de place dans des établissements où passer la nuit, ...
Par la culpabilité, qu'un petit bourgeois gauchiste ne manque pas de ressentir quand on lui rappelle l'envers de la pièce de sa fortune.
Ce type d'apriori peut influencer le comportement des soignants : cela crée inconsciemment un manque d'empathie et fini par provoquer un regard différent par rapport aux autres patients.
Lors d'un appel, l'interlocutrice a du refuser un hébergement par manque de place, cela m'a semblé difficile à entendre et à accepter.
Ce sont des gens qui croient totalement en ce qu'ils font, qui ne baissent pas les bras devant les difficultés qui paraissent immenses (manque de place, devoir dire à des gens en détresse sociale extrême qu'ils devront dormir dehors ce soir...) pour un observateur extérieur non aguerri...
Cependant, j'ai trouvé que cela manquait de contact humain.
J'ai pu entrevoir les difficultés liées au manque de moyens à disposition du samu social (pas assez de places d'hébergement), à l'organisation du "système administratif" trop rigide, trop "catégorisant" qui peut être perçu comme menaçant voire "absorbant" pour certains exclus de la société qui, très au fait du fonctionnement des maraudes, préfèrent souvent s'en détourner au profil de leur indépendance et leur réseau propre, alors même que la mission et le dévouement des personnes travaillant en garde au samu social sont dirigés vers un seul but : l'aide inconditionnelle (en dehors de tout statut) et la réintégration du lien social et sociétal.
Cependant j'ai pu noter un manque de moyens réel (deux centres d'hébergement pour hommes sur Paris, et un seul centre d'hébergement pour femmes) face à une demande importante (plus de 7000 demandeurs d'asile / nuit sur Paris) en dépit d'un système efficace (logement hôteliers, collaboration avec système associatif).
De plus, elle nous permet de rester plus humble par rapport à notre condition, ce qui manque à certains étudiants particulièrement en médecine .
Mais attendre 1h30 au téléphone pour entendre se faire refuser une place pour manque de lits, et raccrocher avec 1000 mercis et bonne soirée madame, moi la première, j'en serais incapable.
Je précise que j'ai tendance à trouver que cette facultée oblige à TROP d'heures ce qui rend les étudiants surchargés et toujours plus obtus dans leur façon de voir les choses par manque de temps, il faut laisser de la place à la vie même pour les médecins.
Au départ, je ne voulais pas du tout assister à cette garde, par manque de motivation, finalement une fois sur place, j'ai appris à découvrir un autre monde, pas celui que je vois tous les jours en sortant du métro.
La double écoute nous sensibilise aux problématiques quotidiennes des gens dans le besoin, et par exemple les couples qui vivent dans la rue sont souvent séparés par manque de place dans les différents foyers...
Accueillie, j'ai pu voir la difficulté des bénévoles à répondre aux nombreuses demandes et au manque de moyens.
Nous ne sommes probablement pas assez sensibilisé à la façon de communiquer avec une personne sans-abri depuis plusieurs années, c'est pourtant très important et nous sommes souvent menés par exemple à l'hôpital à les rencontrer, et parfois hélas ils ne désirent plus s'y rendre de par un manque de formation du personnel soignant à la prise en charge de ces personnes.
J'ai retrouvé cette chaleur humaine qui me manque de temps en temps dans le milieu hospitalier.
Toutefois, il subsiste un manque de moyen frustrant pour le personnel alors impuissant devant la détresse de certains sans abris.
Mais quel manque de moyen derrière pour loger les gens, que de temps passé à essayer de leur trouver une place dans les rares centres existants sur Paris.
Dommage que cette institution manque de moyens et ne peut pas aider tout le monde comme il le faudrait, malgré la volonté des intervenants.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes façons de prise en charge des sans abris ou des gens avec des rémunérations très faibles, chose qui nous manque dans notre cursus de futur médecin, et qui nous met parfois à cote de la plaque.
Les sans abris appellent pour un hébergement pour la nuit, et malheureusement certains sont confrontés a un manque de places lorsqu'ils appellent ,et sont donc obligés de rester dehors ..
L'écoutante avec moi, bien que voulant bien faire sûrement, montrait des signes de fatigue et manquait légèrement selon moi d'écoute, d'empathie et de professionnalisme.
Obligee de payer un taxi pour rentrer Donc payer pour faire une garde ou on ne vous attends pas où tout le monde fait grise mine et où on se retrouve à 3 femmes pour parler à des sans abris parfois non connu potentiellement dangereux Je ne m'attendais pas à ça et je suis terriblement déçue J'ai bien compris le manque cuisant de moyen mais je m'attendais à une équipe plus chaleureuse et un échange entre professionnel Med et paramédicaux pour faire évoluer l'image qu'on se fait des urgences et medecins et moi à l'inverse du samu social Je suis septique sur l'intérêt de cette garde et sur notre participation Surtout qu'on vous envoie avec une équipe qui maraude dans un quartier où il y a peu de sans abri plutôt que de vous mettre avec une équipe qui maraude dans les quartiers touristiques bondés de sans abri, du coup on voit pas le fond du travail juste le haut de l'iceberg...
Par contre j'ai été frappée par le nombre d'appels d'habitués qui dégainent leur nom et date de naissance dès que le téléphone décroche, et par le manque cruel de places.
Au standard lors de la double écoute, j'ai été surprise par la compréhension des usagers qui appelaient pour trouver un toit pour la nuit et qui se le voyaient refuser par manque de place.
Pas par désintérêt , juste par manque d'occasion et d'information .
Ce sont des gens avec une histoire (qu'on me racontait avec plaisir dans le camion), un "background" loin des rues, des passions (musique, photographie...) mais surtout des personnes avec des besoins, souvent en manque de soins.
Je tiens à remercier Alice (la TS), Mickaël (l'IDE) et Manu (le chauffeur), pour leur accueil ce soir là, dans l'EMA 1, ils m'ont traitée avec beaucoup de gentillesse, je me suis sentie la bienvenue et totalement intégrée, pas mise l'écart du fait de mon statut d'observatrice et de mon manque d'expérience.
Le second étant que le travail social s’inscrit véritablement dans une structuration sociétale supérieure (manque de place d'hébergement, rationalisation de l'aide, enjeux politiques nationaux et internationaux ...).
C’est-à-dire qu’il a manqué l’étroite fenêtre temporelle qui décide d’une nuit au chaud. […] Révolte contre les énergumènes qui vous disent à la radio que si les gens sont dans la rue c’est parce qu’ils le veulent car les places d’hébergement ne manquent pas, qui trimballent leur mots masqués "responsabilisation", "égalité des chances" et "sens de l’effort" partout où ils vomissent leur catéchisme bien appris dans une ponctuation stoïque.
La diversité des appels peut être surprenante et suscite à chaque fois une émotion différente, telle que de la peine avec une touche de colère lorsque les places manquent aux centres d'hébergement et parfois un sentiment partagé lors de l'annonce d'une possible place alors qu'on sait que le même combat des places aura lieu le lendemain.
Seul problème, comme partout, manque de places.
Pour la partie maraude : dès le début on sent que l'image des étudiants en médecine n'est pas toujours très bonne, je pense que certains de mes co-externes ont laissé un mauvais souvenir à l'équipe, je crois principalement par manque d'intérêt, ou condescendance vis à vis des intervenants.
A l'inverse, le nombre de nécessiteux que nous avons dû laisser dans la rue par manque de place dans les centres témoigne de l'insuffisance de moyens/ d'infrastructures du SAMU social.
Nous repartons, horrifiées par le manque d'humanité de ces policiers, et surtout de la personne qui leur a donné l'ordre de tout enlever à cette femme.
Pour ensuite, dire a ces personnes ayant attendu souvent plus de 30 min, qu'il faut rappeller dans 15 min par manque de place dans les centres d'hébergement...
On se dit alors que les champs d’action des équipes du Samu Social et des travailleurs sociaux sont restreints par un manque de moyen, de ressources tant financières qu’humaines pour prendre en charge le mieux possible ces personnes en difficulté.
J'ai au final beaucoup aimé cette garde, ou j'ai pu trouver un coté social qui manque selon moi à la médecine hospitalière, je pense vraiment refaire des maraudes plus tard.
Et c'est là qu'on se rend compte qu'en plus d'un toit, les personnes rencontrées manquent de contact humain, de discuter, d'échanger, de parler de tout de rien avec d'autres.
En effet, la principale cause de refus de notre aide en maraude ou en double écoute était le manque de sécurité dans certains centres (violence, vol...)
Le manque de place dans les centres d'hébergements sont des situations vécu comme difficile : soupe chaude et duvet, ce sera tout pour cette fois ci..
Les manques de places, les méthode pour déterminer qui a la plus besoin de la seule place restante et du coup dire aux autres que ce n'est pas ce soir qu'ils auront un toit.
Par la suite, le reste de la maraude fut également très chargée, mais j'ai trouvé ce moment le plus intéressant sur le plan social, et je manque de place pour tout raconter ... ^^
Tant de sympathie ne manqua pas de m'étonner, d'autant qu'à force de voir chaque soir un étudiant en médecine différent, je les aurais plutôt imaginés blasés.