Très utile, expérience pleine d'humanité et très formatrice.
Ce fut très touchant car ils étaient pour la plupart plein de gratitude.
La double ecoute egalement est bien, j'ai pu poser plein de questions à la standardiste.
Les équipes sont particulièrement à l'écoute et pleine de gentillesse.
Cette nuit au SAMU social était très intéressante et pleine d'humanité mais j'ai été très déçue d'avoir l'impression de faire le "taxi" toute la nuit.
L'équipe était vraiment adorable, très à l'écoute des sans-abris, attentive, disponible, m'apprenant plein de chose, m'intégrant comme un vrai membre de l'équipe.
Ce fut une expérience intense à vivre qui a changé l'image pleins de stéréotypes que j'avais des SDF.
Patrick avait une culture impressionnante et connaissait plein de villages en France et avait déjà voyagé.
J'ai vraiment aimé la nuit dans le camion, l'équipe avec qui j'étais était très sympathique, ils m'ont mis parfaitement à l'aise et m'ont expliqué plein de choses.
J'en garde un souvenir déjà flou mais toujours plein d'images et d'envies.
J'ai pu apprendre plein de choses.
L'organisation est impressionnante et l'équipe du samu social pleine de motivation.
Une expérience unique car j'ai eu la chance de rencontrer plusieurs profils, un jeune homme arrivé en France il y a 2 mois plein de bonne volonté avec toujours le sourire, quand nous l'avons déposé dans le centre, je me suis sentie particulièrement privilégiée car les conditions de vie sont il me semble très rudes!
Pour ce qui est de la maraude, c'est au contraire très enrichissant, humainement parlant surtout, et les équipes sont très intégrantes, agréable, avec plein d'anecdotes à raconter.
Les conditions de ma nuit ont été plutôt difficiles (plein hiver, -15°C).
Tout de même je ne sais pas si j'en ferai d'autres de mon plein gré sans que la faculté de médecine me donne l'occasion.
A côté de nous, les passants, la ville de Paris plein feu en résonance avec la radio de cet homme sur une mélodie bien connue finissant par : "Every little thing gonna be all right".
Malgré l'heure peu tardive les centres étaient déjà plein et leur déception dure à encaisser.
Ce fut extrémement enrichissant, mais très dur aussi, la réalité de la rue, la misère humaine, l'échec du système, nous percutent de plein fouet dans nos certitudes, de soignant, et d'humain.
Concernant la double écoute, les écoutants nous expliquent pleins de choses.
Permet de prendre du recul sur plein d'autres choses.
Superbe expérience au samu social durant cette garde, pleine de diversité.
Ce soir la, j'ai rencontré pleins de gens venant de pays différents avec des histoires différentes.
Il y a pleins d'autres histoires encore, toutes très émouvantes et je pense que je ne regarderai plus le sujet de la même manière.
On se sent plein et satisfait après avoir aidé une personne dans le besoin et qu'on vous remercie avec un grand sourire.
Cela permet de nous mettre au même niveau qu'eux et de balayer ces regards pleins de pitié, de dégoût ou parfois même pas de regard du tout.
Par exemple, une de nos rencontres a été avec un jeune homme d'environ 25 ans d'origine roumaine, débordant d'enthousiasme qui nous a offert une performance vocale de chansons roumaines lors du trajet, des étoiles et des souvenirs plein les yeux.
J’ai fait ma nuit au samu social pendant le pic de grand froid, où plein de places ont été mis à dispo dans les gymnases, les centres...
Le stage d'une nuit au SAMU SOCIAL de Paris fut une expérience unique pour prendre pleine conscience de la réalité et dureté de la vie de personne que nous croisons dans la rue au quotidien sans y prêter trop attention, car les SDFs sont devenus une chose banale à Paris.
Devant son sourire plein d'espoir en nous voyant, j'ai compris que cette garde, différente de celles dont on a l'habitude à l'hôpital, m'apprendrait beaucoup.
Je respecte beaucoup cette mission et ce travail, et je souhaite plein de courage à toute l'équipe.
Et à ceux qui travaillent à temps plein mais gagnent trop peu pour obtenir un logement ou un repas tous les.
J'etais tres interressée par cette garde au samu social pour voir et comprendre leur travail -l'écoute m'a premis de voir comment se faisait le 1er contact avec une personne au 115, les questions posées et l'envie de trouver la meilleur solution pour les personnes dans la detresse -Mais ce qui m'a le plus marqué est la maraude et la diversité des personnes qui y font appel (jeune femme de 18ans, etrangers, travailleurs pauvres, grands exclus...) j'ai pu visiter un centre d'homme et comprendre le fonctionnement ce qui m'a le plus touché c'est la gentillesses et la complicité des personnes de la rue et du samu social il pleuvait beaucoup et tres vite les centres ont été pleins nous obligeant à laisser certaines personnes dans la rue sous la pluie mais ce que nous avons recu c'est uniquement des remerciements...
Leur rapport avec les personnes rencontrées au cours de la nuit était très humain, plein de compréhension et sans le moindre jugement.
Des équipes très soudées, pleines d'empathie qui sont très heureuses de pouvoir partager leurs anecdotes, leur raison qui les ont poussé à se faire enrôler dans le SAMU Social et d'aider quotidiennement les gens dans le besoin.
L'équipe qui m'a accueillie était constituée de professionnels passionnés par leur travail, plein d'humanité et de respect pour les usagers.
Tous les gens à qui nous sommes venus en aide ne sont pas forcément touchants, ce sont des hommes et des femmes plein de personnalité et j'ai apprécié les voir comme tels.
Et en même temps l'idée qu'il y en a plein encore dehors.
Dans la nuit nous avons accompagné un sans abris dans le foyer de Montrouge, ça m'a permis de rencontrer plein "d'habitué" du SAMU social, j'ai pu ainsi réaliser la patience qu'il fallait pour qu'un grand exclu (terme employé par les infirmières) accepte les soins.
Toute l'équipe était extrêmement sympa, les gens du camion m'ont expliqué plein de choses, et j'ai beaucoup appris sur les personnes en situation de précarité extrême.
En une maraude on a vraiment le temps de voir pleins de choses et d'avoir une bonne vision du rôle du SAMU Social et du lien étroit qu'il entretient avec le milieu médical, j'en garderai un très bon souvenir.
L'équipe, très sympatique, m'a appris plein de choses en répondant à toutes mes questions.
Au total, une nuit assez riche qui permet de se rendre compte de travail fourni par des équipes pleines de courage et d'humanité et qui peut ouvrir la voie vers de nouvelles vocations.
J'ai eu l'impression de rencontrer plein de monde cette nuit la, d'entendre pleins d'histoires!
Ce fut une éblouissante expérience, pleine de rencontres, de dialogue et d'humanité.
Durant ma garde je suis vraiment passée par plein d'émotions : l'incompréhension au début des personnes refusant catégoriquement notre aide, la tristesse et la pitié envers certaines personnes qui nous racontaient comment ils en étaient arrivés à finir à la rue, tout ça contrastant avec la joie ressentie quand on les avait amenés au centre d'hébergement et qu'ils semblaient heureux d'être avec d'autres à déguster un repas chaud.
Une nuit pleine de neige comme on en a rarement vu ces derniers temps et pourtant les 7 camions quittent le siège pour marauder.
La relation établie entre les personnes de la rue et les équipes du samu social semble pleine de codes (s’asseoir, tutoyer, discuter de tout et de rien parfois) et j’ai trouvé difficile en tant que simple observateur de ne pas être trop intrusif.
C'était un moment vraiment enrichissant dont je me souviendrai, car il fait ouvrir les yeux sur les choses simples de la vie que chacun de nous peut réaliser chaque jour pour aider un peu plus ces personnes, que j'ai aussi appris à découvrir : certaines sont violentes tellement la détresse les a atteints, il est alors difficile de les aider, mais d'autres sont, malgré tous ces malheurs qui leur sont arrivés, tellement attachants, ils ne demandent qu'à parler, ils ont pleins de choses à raconter, ils sont gentils, ils nous aident à ouvrir les yeux sur les choses importantes dans la vie.
J’ai vraiment été frappés par le nombre de personne qui souhaiterai de l’aide mais que nous ne pouvons pas aider, qui souhaite un logement, un endroit à l’abris mais les centres sont pleins et il n’y en a pas assez pour le nombre de personnes en difficulté.
D'abord la double écoute, pas évident d'entendre les voix pleine d'espoir des personnes appelant pour passer la nuit au chaud, à qui l'on doit dire qu'il n'y a plus de place disponible.
Je fis la connaissance de nombreuses personnes sans-abris qui se sont toutes révélées être agréables, touchantes, humaines et surtout pleines d'humour.
J'ai pu assister à plein de type de mission ( accompagné un blessé au urgence, distribution de nourrir, rapatriement dans les centres d'hébergements pour la nuit, échange avec les sans abris ..), je n'ai pas vu la nuit passer !
Et surtout plein d'habitudes bien ancrées, pour faire ses lacets, pour mettre ses chaussettes.
Mardi 6/09 je suis partie au SAMU SOCIAL de Paris, j'y suis allée pleine d' a priori, comme la plupart de mes camarades.
C'était un homme jeune de 30 ans, qui a appelé de son plein gré car il entendait des voix qui lui disaient de se suicider.
, "vous êtes pleins de bonne volonté Vous le samu social, mais des fois il faut savoir accepter que des patients restent à la rue", "ya plus de place dans le service", "on va le remettre à la rue quand vous serez partis"...
Nous avons eu affaire à des personnes totalement différentes, qui n'hésitent pas non plus de leur côté à engager des discussions enrichissantes, et ces personnes là nous racontaient parfois que leur vie était bien plus pleine de surprises, de voyages qu'il n'y parait.