Intéressant d'avoir les histoires des sdf et de se rendre compte de la vraie précarité de ces gens
J'ai été impressionnée par l'organisation sous jacente à la prise en charge des personnes en situation de précarité, même si c'est souvent frustrant de ne pas pouvoir placer des familles ou des personnes dans le besoin pour la nuit... […] Je pense que c'est un stage très intéressant pour la pratique médicale future (en particulier aux urgences car nous ne savons pas forcément comment réagir face à des situations de précarité).
Cette expérience permet de voir la pauvreté et la précarité sociale au plus près.
Garde très enrichissante qui nous permet de constater une autre facette de notre métier qui se rapporte à l humain: le côté social , la précarité .
Elle permet de sensibiliser sur l'impact de la précarité et la nécessité de moyens humains pour aider ces personnes.
Cependant cela est très difficile moralement de faire face à ces situations de précarité.
Permet d'avoir une image globale sur la précarité.
J'ai rencontré des personnes ayant eu des parcours très différents et qui aujourd'hui, se retrouvent dans une situation de précarité quasi similaire.
La garde a été très instructive, elle m'a permis de découvrir un domaine que je connaissais mal, de voir les solutions sociales mises en place pour les personnes en grande précarité, et surtout voir le décalage entre l'offre est les besoins.
Une expérience enrichissante qui permet de briser les frontières de la précarité.
Être face à des personnes en grande précarité, n'a pas été évident pour moi , émotionnellement .
Et c'est là qu'une dame ayant travaillé toute sa vie, avec la plupart de sa famille décédée bascule dans la précarité. Cela m'a vraiment ouvert les yeux, sur les multiples visages que peut prendre cette précarité.
Personnellement, je savais que certaines personnes vivent dans une extrême précarité, mais participer à cette garde m'a fait prendre conscience que plus que de la précarité, certaines personnes vivent dans des conditions inhumaines.
La notion de précarité est une notion que tous les médecins devraient avoir expérimenté.
Ce qui m'a marqué n'est pas temps les gens que nous avons aidé, bien que leur précarité m'ai profondément attristé.
C'est une expérience intéressante qui permet de découvrir le travail du SAMU Social et de voir les difficultés d'aider des personnes en situations de précarité.
Je suis finalement un peu décue, je pense que le stage aux urgences m'a plus aider que cette garde pour me sentir plus a l'aise dans la prise en charge d'une personne en extreme précarité.
La nuit passée au sein du SAMU social et de ses différentes structures (double écoute puis maraude) nous permet d’avoir une vision plus globale sur leur rôle et leur prise en charge des personnes en situation de précarité. […] Tout ça nous permet d’apprendre à appréhender des situations difficiles face à des personnes en situation de précarité et sans ressources.
Suite à cette chaude nuit d'été, j'ai pu avoir un aperçu de ce qu'était de vivre dans la précarité, de la difficulté de ce monde, surtout pour les enfants qui depuis leur naissance ne connaissent que ce visage de la société.
J'ai été confronté à la dureté de la vie dans les rues de paris, et de l'extrême précarité et insalubrité dans laquelle les sdf sont obligés de survivre.
Bouleversant parce que même si l'on doute que des personnes vivent dans une grande précarité, on s'en rend vraiment compte qu'en allant a leur rencontre.
Une nuit ne suffit pas, je pense qu'il faudrait en faire plusieurs dans l'année car cela n'a rien à voir avec les stages et nous sensibilise à la précarité.
J’ai beaucoup apprécié la partie « maraude » de cette garde, car cela m’a permis d’avoir un premier contact avec des personnes en situation de précarité.
Cette expérience au Samu Social m'a permis de mieux me rendre compte de la précarité dans laquelle vivent de nombreuses personnes.
Se rendre compte de la précarité quand on vit très correctement me parait indispensable.
Cela sensibilise à mon avis à la précarité qui existe à Paris et plus généralement en France, qui touche même les mineurs.
Mais surtout, une précarité que le samu social tente de palier chaque soir, été comme hiver.
Petit réconfort aux victimes de la précarité à proposer par-ci par-là avec une soupe, un café quelques mots échangés entre haleine alcoolisée le plus souvent et blouson bleu, avant de proposer un hébergement, souvent refusé. […] Le samu social ne résout pas le problème de la précarité directement mais permet l’accès aux droits sociaux et la réorientation vers les services et structures de droit commun.
Elle permet aussi de mieux appréhender les conditions de vie et les difficultés rencontrées par les personnes dans une situation d'extrême précarité.
Très utile pour se rendre vraiment compte de la précarité des gens dans la rue pour tout futur professionnel de la santé, cependant peut être mettre cette garde en 2eme année, elle serait tout aussi profitable et on serait plus motivé que quand on enchaine avec la 4eme garde du mois.
Discussion enrichissante avec la personne sur sa vision sur les gens en situation de précarité actuellement et il y a quelques mois avant de connaître cette condition.
Les personnes que j'ai rencontrées au cours de cette nuit m'ont beaucoup touchées, je pense être soucieuse de la question de la précarité en france, mais cet aperçu concret était très formateur.
Aussi la bienveillance et la gentillesse de l'équipe est un véritable exemple à suivre dans la prise en charge des malades et des personnes en situation de précarité.
Le plus perturbant, c'est d'être confrontée à la précarité de certaines personnes ne paraissant pas dans le besoin au premier abord.
En effet nous serons confrontés dans notre vie professionnelle à la précarité sociale.
J'ai trouvé cette expérience assez enrichissante, dans le sens où cette premier contact avec cette réalité sociale m'a permis de mieux comprendre la situation précarité dans laquelle se trouvent les "usagers", des difficultés qu'ils ont à s'en sortir.
J'ai passé la première heure de ma garde avec le coordinateur qui s'occupe de la répartition des usagers dans les différents centres d'hébergement pour personne en situation de précarité. […] En effet pour moi, tout le monde mérite sa nuit dans un lit, et même si le SSP essaie d'être le plus juste et le plus impartial possible, le jugement personnel intervient toujours un peu, et on répond alors qu'il n'y a plus de place pour la nuit à un homme jeune et dans la rue depuis quelques mois pour ensuite dire oui à une femme plus âgée dont la situation de précarité remonte à des années et qui , connaissant le système, arrive très bien à faire du chantage affectif aux écoutants.
La détresse des femmes et des hommes en situation de précarité était évidente, l'indifférence et le dégoût des passants ne l'étaient pas moins.
La double écoute est aussi intéressante mais peu vite s'avérer difficile, les opératrices étant confrontées à la précarité et à la détresse des gens.
C'est cette instabilité qui empêche aux SDF de sortir de leur précarité.
Elle nous permet d’être confrontés à une précarité sociale extrême, à quelques pas de nos lieux de stages ou de vie, qui nous serait impossible de côtoyer aussi fortement lors de nos stages hospitaliers.
Partir à la rencontre des personnes démunis, sans logements, permet de mieux réaliser la précarité dans laquelle vivent ces hommes et femmes.
C'était une excellente expérience permettant de se rendre compte de la précarité sociale dans laquelle se trouve une grande partie de la population.
Nuit intéressante car originale, il était prévu de faire une maraude, mais nous avons rapidement reçu un appel pour une évaluation infirmière d'un homme en grande précarité.
On prend conscience des difficultés engendrées par la précarité à plusieurs niveaux (logement, alimentation mais également santé).
D'ailleurs, occasion de découvrir le guide Solidarité à Paris qui nous pourra être fort utile en tant que étudiants en médecine souvent confrontés à des patients en situation de précarité.
J'ai trouvé cette garde au samu social très enrichissante , nous voyons des gens malades tous les jours mais nous n'avons pas l'habitude de rencontrer des gens isolés et en état d'extreme précarité.
Cela dénote en partie un manque de moyen du samu social qui sont débordés face à une précarité de plus en plus importante en France.
Dommage qu'il n'est pas plus de moyens matériels pour pouvoir prendre plus de personnes nécessiteuses, et de ne pas aller plus vers les gens qui sont dans la plus grande précarité, même si le Samu social se veut être un hébergement d'urgence.
Il s'agit d'une très bonne occasion pour changer son regard sur la société, ces situations de précarité tendent à être de plus en plus fréquentes et à toucher les enfants, les moyens sont insuffisants.
Deuxièmement elle permet plus largement d'ouvrir les yeux, sur ce qu'est la précarité.
Ils sont vraiment très impliquées, demandent des nouvelles des personnes qu'ils ont rencontré au cours de leurs maraudes, nouent un réel lien avec ces personnes dans la précarité.
Par ailleurs, le fait de se retrouver sur le terrain fait changer la perception que l'on a des personnes en situation d'extrême précarité qui ont besoin de l'aide du SAMU social, qui ne correspondent pas forcément aux préjugés que l'on peut avoir : cela peut concerner des personnes issues de milieux sociaux variés, avec des niveaux d'éducation très différents.
Connaissant déjà le domaine de la prise en charge des personnes en grande précarité (membres de ma famille y travaillant), j'ai pu découvrir l'illustration de ce que j'ai pu lire ou entendre, et découvrir le terrain.
Leur relation avec les personnes dans la précarité est vraiment intéressante et inspirante : ils écoutent, conseillent, ne sont jamais intrusifs, prennent en compte les choix et respectent toujours la décision finale, sans insister.
La double-écoute permet de se rendre compte des situations sociales complexes et de la précarité de beaucoup d'individus, en contraste avec le nombres très (très très) réduit de places d'hébergement disponibles à Paris.
Je pense qu’il est important pour tous les étudiants en médecine, dentaire, sage-femme, pharmacie, ou dans le milieu social, d’effectuer une garde au SAMU SOCIAL, car dans nos stages on ne se rend pas forcément compte qu’il existe une aussi grande précarité, un besoin tant profond et malheureusement non assouvi d’aide au logement, d’aide à l’éducation ...