Je pense que chaque étudiant (et pas qu'en médecine) devrait faire une nuit au Samu social pour peut être mieux se rendre compte de la misère humaine qui nous entoure et dont on fini par ne plus faire attention.
Pour finir il y avait une très bonne ambiance dans l'équipe.
J'apprends que cette personne aurait pu finir esclave s'il était passé par la Lybie.
Pour finir, l'équipe est très sympathique et très accueillante, ce qui nous permet de nous sentir à l'aise et intégrer.
Pour finir on se rend compte de la situation de ces hommes et femmes sans abris ce qui changera certainement notre vision si l'on est amener à les croiser aux urgences par exemple.
La maraude est particulièrement intéressante de part la diversité des rencontres : alors que certains sont très demandeur de l'aide proposée, d'autres sont réticents mais finissent par accepter, d'autres encore refusent malheureusement tout contact...
Finir à 5h c'est probablement trop.
Il m'a raconté son histoire, qu'il aurait pu aller loin mais parce qu'il était née dans le "mauvais quartier" avait fini plusieurs fois en prison et ces séjours avaient fini par le détruire complètement.
Pour finir je remercie vraiment l'équipe avec qui j'ai effectué la maraude qui a été très sympathique et accueillante.
Fini le monde des bisounours.
La maraude commençant à 21h, si la garde se finissait à minuit l'étudiant aurait vu l'ensemble des activités du samu social et aurait pu prendre les derniers métros.
Bref pour finir toutes les personnes du samu social rencontrées cette nuit là étaient des personnes extrêmement sympathiques et ouvertes d'esprit, merci à elles.
Il a fini par perdre son boulot, sa maison, puis sa femme est partie.
Tout a commencé avec la double écoute : j’ecoutais la détresse de multiples personnes, qui après 2h, 2h30 d’appel finissent par avoir quelqu’un au bout du fil.. […] La deuxième est un SDF, qui pour des raisons médicales (non contrôle de son diabète) n’a pas pu être accepté au CHU de RR, et qui, dans un mouvement de désespoir, sorti une fourchette de sa sacoche assurant qu’il allait tenter de mettre fin à ses jours dans la nuit, tout en faisant rouler son fauteuil roulant en plein milieu de la route « pour en finir » et s’en faire renverser une voiture .
En ce qui concerne l'organisation, finir a 5h du matin quand on habite pas Paris ce n'est pas evident car il faut soit attendre le debut du service des transport Soit rentrer en voiture extremement fatigué.
Je finirais pas remercier les membres de l'équipe, qui se sont montrés attentif à notre accueil et intégration pour la nuit.
La garde a commencer à 18h30 et c'est fini à 05h00.
D'autres encore finissent par ne plus solliciter le 115 à cause de nombreux refus ou d'un retour à la situation initiale le lendemain après avoir eu une place pour la nuit dans un foyer.
Finalement en discutant avec un café et pas grand chose d'autre, ces personnes étaient satisfaites et pouvaient finir leur nuit.
Il espérait que son neveu ne finisse pas « comme lui ».
Pour finir, je pense que cette garde nous fait relativiser et nous permet de nous rendre compte des conditions dans lesquelles les SDFs vivent, ce qui nous permet d'être plus compatisant et moins enclin a les négliger lors d'hospitalisations, aux urgences par exemple.
que l'on ne peut pas vraiment plus pour eux, que la plupart de ces personnes finiront où on les a trouvées, et qu'une couverture pour la nuit paraît être une bien brève solution.
Il semble que leur acharnement finisse souvent par fonctionner, au prix souvent de semaines à nouer petit à petit le contact avec des personnes parfois totalement coupées du monde.
Pour finir je voudrais saluer la motivation ainsi que les compétences humaines remarquables des professionnels que j'ai eu la chance de suivre la nuit dernière.
J'ai, en effet , fini en larmes en entendant l'appel d'un jeune de 19 ans, "mis dehors " par ses parents, qui ont divorcé.
Pour finir Paris la nuit, c'est magnifique !
La mere quand à elle a gardé courage mais semblait tout aussi perdue, la famille residait chez une proche qui avait fini par les mettre a porte.
On ose pas trop le réveiller, mais il finit par lever les yeux vers nous.
Lorsqu'on fini par couper la chaussette, un liquide abondant et purulent suinte en transperçant le pansement, ce qui laisse a présager l'état de la plaie en dessous du pansement.
Cependant cette garde au LHSS nous permet de finir plus tôt ( vers minuit) et de rester au chaud ( non négligeable l'hiver).
Dans son fauteuil roulant, il dormait et l'équipe a supposé que s'il restait là toute la nuit, il finirait en hypothermie.
La plupart des gens sont tous connus du SAMU social, ils ont tous un dossier, et les équipes finissent par tous les connaître.
J'ai espéré pour eux qu'ils allaient finir par trouver du travail en France, ne serait ce que pour que leurs enfants puissent vivre normalement.
Marie, que j’ai suivie lors des doubles appels, m’a expliqué que le système était saturé très rapidement et qu’à partir de ce moment les appels qui se faisait était directement coupé et qu’un grand nombre de personnes devait ainsi rappeler de nombreuses fois et attendre en moyenne une heure pour avoir quelqu’un et que, souvent, ce temps d’attente se finissait par une demande non pourvue. […] L’un des sans abris que nous avons pris dans l’EMA nous a raconté une partie de son histoire, c’était très émouvant car c’est là que l’on comprend que finalement à tout moment notre vie peut basculée, que l'on peut se trouver isolé et finir dans la rue. […] Pour finir je voulais dire que je suis très heureuse d’avoir pu faire cette expérience avec le 115.
Le personnel du SAMU très sympathique, à mon écoute, j'étais considéré comme un membre de l'équipe Pour moi qui n'ai pas vraiment eu l'occasion de faire de l'aide humanitaire, ce fut une expérience enrichissante, notamment sur la notion de l'esprit d'équipe mais également sur le plan social avec les personnes en difficulté Voilà pas vraiment de point négatif sur ce stage, si ce n'est que n'étant pas parisien et finir à 4h du matin c'est un peu la galère pour rentrer Et puis Paris la nuit, c'est beau...
Et pour finir, la maraude.
Pour finir, je voulais dire que le Samu Social, doit continuer ses missions, pour permettre à ces gens de vivre dans de meilleures conditions et de créer du lien social entre eux.
La nuit finit par une maraude plus habituelle à Daumesnil, près du frigo solidaire, où on a pu repartir les derniers repas et duvets disponibles.
Petite remarque : commencer la garde à 18h est un petit peu tôt... 19h serait top (quand on a des ED qui finissent à 18h15 c'est dommage...)
Durant ma garde je suis vraiment passée par plein d'émotions : l'incompréhension au début des personnes refusant catégoriquement notre aide, la tristesse et la pitié envers certaines personnes qui nous racontaient comment ils en étaient arrivés à finir à la rue, tout ça contrastant avec la joie ressentie quand on les avait amenés au centre d'hébergement et qu'ils semblaient heureux d'être avec d'autres à déguster un repas chaud.
Pour finir, je respecte grandement le travail tous les gens du SAMU social de Paris, même si personnellement je ne pourrais pas en faire autant (je n'ai peut-être pas la fibre sociale), et j'ai trouvée la garde très instructive.
Au téléphone les gens racontent plus facilement leur histoire, l'entendre m'a permis d'humaniser ces personnes qui faisaient partie du paysage quotidien et qu'on avait fini par oublier.
Nous avons fini par lui trouver un hébergement pour la nuit dans un centre près de Paris ; il s'est alors installé pour diner, et je l 'ai regardé, assis, parmi ces autres hommes, marqués par le temps et la misère ; me disant qu' en face de moi, il y ' avait quelqu'un, qui avait simplement mon age.
, et d’autre part, la perte d’espoir des gens qui travaillent au SAMU social, qui eux aussi finissent par baisser les bras… Je ne sais pas ce qu’est devenu ce jeune homme, mais il n’a pas été refoulé par les urgences.
Une femme, sûrement énervée par l'attente interminable, nous insulte et nous finissons par lui souhaiter une bonne soirée et raccrocher.
Ce monsieur finit par ne pas vouloir notre aide, ni d’hébergement pour ce soir.
C'est tout imprégné de l'inconnu et de l'excitation que celui-ci provoque que j'ai fini ma garde au samu social ce matin d'avant l'aube.
Ce type d'apriori peut influencer le comportement des soignants : cela crée inconsciemment un manque d'empathie et fini par provoquer un regard différent par rapport aux autres patients.
Nous avons notamment rencontré une jeune femme d'une trentaine d'année, à la rue depuis ses 18 ans, qui finira par nous chanter d'une voix fabuleuse, certains de ces textes qu'elle écrit pour raconter son histoire.
L'une des choses qui m'as le plus marqué : cette complicité entre maraudeurs et les "habitués" de la rue, qui finissent par se connaitre et créer des liens.
Pour finir ce qui m'a attristée c'est que nous étions impuissants face à sa misère et qu'il ne pouvait qu'attendre des réponses d'un système social à bout de souffle.
Pour finir, j'ai été surprise de voir à quel point les maraudes prennent du temps pour s'occuper des personnes démunies.
Et puis certains, ne rappellent plus et finissent par dormir sur un banc, un trottoir, une bouche d'évacuation d'air du métro.
Je finirais en remerciant la faculté pour cette initiative extrêmement bénéfique et en souligne la singularité (seule fac à ma connaissance à proposer cette expérience).