Ce qui m'a le plus plu c'est les moments de discussions avec les gens.
Ce qui m'a plu : le professionnalisme des intervenants (aide sans rentrer dans la compassion et quelque soit les circonstances), l'accueil que j'ai reçu.
L’aspect humanitaire était au cœur de cette nuit et cela m’a beaucoup plu.
Ce qui m'a aussi beaucoup plu, c'est que la plupart du temps l'équipe connaissait déjà la personne qu'on allait voir. […] La double écoute m'a moins plu dans le sens où c'était très frustrant de se rendre compte du nombre d'appels passés par rapport aux places disponibles dans les centres d'hébergement.
Donc cela m'a bien plu, autant la double écoute que la maraude.
La maraude m'a beaucoup plu même si ce n'est toujours facile de gérer les usagers.
Ce qui m'a plu est l'implication de l'équipe pour nous intégrer et faire participer aux discussions avec les personnes en difficultés.
Ce qui m'a le plus plu, c'est la joie et le reconnaissance de la part des usagers lorsque les maraudeurs leur apportaient un peu de contact humain, une écoute, et un bol de soupe.
Cette expérience a été très enrichissante et m'a beaucoup plu.
Cette nuit au samu social m’a beaucoup plu, en commençant par la double écoute, un appel m’a marqué : celui d’une femme de 18 ans à la rue avec son bébé sans aucune ressource pour s’en occuper.
Ce qui m'a le plus plu c'était de pouvoir échanger avec de nombreuses personnes, toutes différentes avec des histoires de vie difficiles mais qui pour la plupart gardait encore de l'espoir et ne se plaignait pas.
Dans le camion on a marauder environ 2h avant de rencontrer des usagers il faisait très froid et il pleuvait.
Je pense que cette garde aurait pu être intéressante malheureusement il a plu toute la nuit et lors de la maraude nous avons donc rencontrer peu de personnes dans la rue.
Il pleuvait donc nous n'avons pas pu aller voir beaucoup de personne à la rue mais cela permet de prendre conscience du nombre important de personne seule et de famille vivant à la rue et essayant chaque jour de trouver un endroit pour dormir.
Ce qui m'a le plus plu c'est l'approche des personnes à la rue par les équipes de maraude.
Il a beaucoup plu cette nuit ce qui n’a pas favorisé la rencontre des personnes lors des maraudes, toutefois j’ai quand même pu interagir avec quelques unes.
Pendant la nuit au SAMU social, il pleuvait beaucoup donc nous avons fait peu de rencontres, mais j ai quand même été étonné par le peu de places d hébergements disponibles, par le choix arbitraire mais nécessaire qu'ils doivent faire pour distribuer ces places .
La double écoute m'a moins plu que la marraude, et il me semble difficile d'écrire toutes les réflexions que cette nuit au SAMU social a engendré.
Durant la nuit que j'ai passé en maraude il a plu toute la nuit et passé 23h il n'y avait plus de place nul part, c'est a dire qu'on passait juste voir les gens sans les réveiller faute de pouvoir leur offrir qu'à manger.
Cette garde au samu social m'a beaucoup plu.
Ce qui m'a plu dans les maraudes c'est le contact avec les SDF, le fait qu'on les vouvoie, que bien qu'ils ne soit pas dans une situation évidente les acteurs du samu social essayent de les réintégrer dans la société en leur parlant, leur posant des questions sur leur situation sociale, leur offrant une boisson chaude.
Nous avons maraudé dans le 2eme arrondissement, il faisait froid et il pleuvait donc les usagers que nous avons rencontrés étaient mal en point.
Mais malgré tout, cette garde au samu social m'a plu.
Ce qui m'a le plus plu et touché c'est la relation que les personnes du SAMU social ont avec les sans domicile fixe.
J’ai eu l’occasion de visiter un foyer, ce qui m’a bcp plu car j’ai été rassurée des conditions dans lesquelles sont hébergés les personnes mises à l’abri.
Ce qui m'a moins plu concerne la double écoute au 115, ou du moins j'ai trouvé difficile le travail des écoutants qui doivent refuser aux sans abris une place en centre d'hébergement.
Cette garde m'a beaucoup plu, je trouve ça très bien qu'elle soit obligatoire pour tout le monde.
Personnellement, ce qui m'a le plus plu a été l'accueil agréable par l'équipe, leur bonne humeur et leur sympatie.
Il pleuvait beaucoup et on a pu emmener plusieurs personnes au centre RR.
Néanmoins l'expérience ne m'a pas plu.
Il a énormément plu cette nuit et des personnes habituellement difficile à convaincre de venir avec nous ont accepté pour au moins faire des lessives.
La nuit que j'ai passée était calme, les deux SDF que nous étions censés voir n'étaient pas restés sur place, si bien que je n'ai pas vu grand chose, mais le fait de voir l'envers du décor m'a plu.
Il fait froid, il pleut.
J'etais tres interressée par cette garde au samu social pour voir et comprendre leur travail -l'écoute m'a premis de voir comment se faisait le 1er contact avec une personne au 115, les questions posées et l'envie de trouver la meilleur solution pour les personnes dans la detresse -Mais ce qui m'a le plus marqué est la maraude et la diversité des personnes qui y font appel (jeune femme de 18ans, etrangers, travailleurs pauvres, grands exclus...) j'ai pu visiter un centre d'homme et comprendre le fonctionnement ce qui m'a le plus touché c'est la gentillesses et la complicité des personnes de la rue et du samu social il pleuvait beaucoup et tres vite les centres ont été pleins nous obligeant à laisser certaines personnes dans la rue sous la pluie mais ce que nous avons recu c'est uniquement des remerciements...
Ce qui m'a le plus plu c'est la facilité avec laquelle ils vont vers les autres, et la facilité avec laquelle l'équipe fait abstraction des différences, telles que les odeurs désagréables,situation qu'il gère en parfaite humanité.
Cette garde m'a plu autant pour la sympathie dont l'équipe a su faire preuve tout au long de la maraude mais aussi pour l'enrichissement humain qu'elle m'a apportée.
, où on n'apprend franchement pas grand chose, qu'il fait froid et pleut à verse, et qu'on rentre à 5h du matin c'est, à mon avis, nous fatiguer INUTILEMENT.
Ce qui m'a le plus plu au cours de cette garde au samu social, est l'ambiance incroyable qui y regne.
Cette garde du SAMU SOCIAL m'a vraiment plu dans le sens où elle m'a permis de découvrir la situation d'extrême isolement dans lequel vivaient certains sans abris.
Le jour de ma garde il faisait assez froid, il pleuvait, et il y avait du vent.
Le fait qu'il ait plu toute la nuit n'a surement pas aidé vu qu'il n'y avait pas beaucoup de gens dans la rue .
Ensuite, la maraude avec les équipes mobiles, toutes très accueillantes, m'a plu et m'a montré que la bonne humeur est l'un des meilleurs atouts pour ce travail, pas si facile..
Ce qui m'a moins plu, c'est être confrontée en permanence au froid, également la conduite du chauffeur du fourgon qui était très risquée et ne mettait pas forcément à l'aise, d'autant plus qu'il s'agit d'une garde obligatoire de laquelle on aimerait bien sortir vivant et le fait de devoir rentrer à 5h du matin en passant par les rues peu sûres d'Ivry.
En ce qui concerne cette garde, c'est surtout la partie en maraude qui m'a plu.
Il faisait froid, il pleuvait.
Pendant le transport, nous apprenons que la mère de famille est régulièrement humiliée, insultée, des coups pleuvent.
Lors de la maraude, il pleuvait et toutes les places d'hébergement ont été attribuées très vite.
Ce qui m'a plu: monter dans le camion pour aller chercher des familles ou des personnes isolées, leur apporter un petit quelque chose, qui ne va pas changer leur vie mais améliorer un peu le moment présent.
L'ensemble de cette nuit m'a beaucoup plu, malgré la grosse fatigue le lendemain !
C'est terrible de savoir qu'ils peuvent passer des heures au téléphone pour essayer de joindre quelqu'un au 115, qui finalement (à condition qu'ils arrivent à les joindre) a de fortes chances de leur répondre qu'ils n'ont pas de place pour eux pour la nuit, d'autant plus que la nuit de ma garde était la première nuit vraiment froide de la saison, et qu'il pleuvait toute la nuit.
(peut-être que lorsqu'il fait froid et qu'il pleut c'est plus difficile par contre ...)
Il ne pleut pas ce soir-là : personne n'est caché sous des abris, dans des cages d'immeubles; les gens que nous rencontrons sont connus de l'équipe, à leurs "endroits" habituels.