J'ai également vu que les SDF ne sont pas bien reçus aux services d'urgences hospitaliers et que la plupart sont des habitués du 115.
c'est vrai que la plupart d'entre nous ne l'aurait jamais fait si cela ne nous était pas imposé.
Ce qui m'a le plus plu c'était de pouvoir échanger avec de nombreuses personnes, toutes différentes avec des histoires de vie difficiles mais qui pour la plupart gardait encore de l'espoir et ne se plaignait pas.
Jai beaucoup appris pendant cette nuit : premiere maraude, premiere fois que je parlais a des personnes sans abris (je ne parle pas de donner quelques euros par gentillesse, mais vraiment engager la discsussion) et on realise vite que la plupart d'entre eux sont des gens "normaux" qui veulent de l'aide sans pour autant faire des demandes irraisonnables.
J'ai eu peu de surprises quant aux gens rencontrés : certains sont émouvants, d'autres purement rationnels, la plupart reconnaissant du temps pris par les équipes.
La plupart étaient très aimables, d'autres totalement bourrées dont un assez agressif.
Quelle joie de se rendre compte que ce sont des personnes aimees, connues par le samu social pour la plupart, suivies et non des gens anonymes qui occupent les trottoirs !
La double écoute s'est déroulée sans événement atypique, les appelants ont reçu pour la plupart une place en centre pour la nuit, de même dans le camion, la plupart des personnes demandant une place ont pu en avoir une, mis à part quelque uns à cause d'un manque de place dans les centres.
La plupart ont raconté leur histoire, leur désir de s'en sortir.
Étant donné que c'était une nuit d'été où il faisait bon, la plupart d'entre eux allaient plutôt bien et c'était une bonne ambiance qui régnait à chaque rencontre.
La plupart étaient des familles de gens jeunes avec des enfants en bas âge. […] La plupart avaient mon âge et ça m'a permis de me rendre encore plus compte de la chance que j'ai d'avoir un toit et des études...
La plupart refusait des soins médicaux, pourtant indispensables, faute de sentiment de légitimité à les recevoir et également par peur de perdre un emploi du fait du temps d'hospitalisation.
la reconnaissant que l'on obtient de la plupart est très gratifiante.
Même si la plupart étaient redevables.
c'est véritablement effrayant de se rendre compte qu'il y a des familles entières à la rue, des migrants pour la plupart et qu'il y a de la place en centre d'hébergement pour à peine 10% d'entre eux.....
L'écoute était intéressante, les interlocuteur étaient pour la plupart très agréables et malgré le fait qu'on ai pu répondre à toutes les demandes d'hébergement alors qu'ils attendaient pour la plupart plus d'une heure pour nous avoir au téléphone, ils étaient très courtois et agréables.
Cette garde correspondait bien à l'idée que je m'en faisais, au moins pour la maraude et donne au moins une fois un aperçu d'une population rarement rencontrée à l'hopital (en dehors des urgences ou du Samu) pour la plupart d'entre nous.
Les horaires sont pas très adaptés pour nous, mais au final la plupart nous ramène après la pause repas en nous posant devant chez nous (ceux habitant en banlieue doivent attendre le premier RER par contre...).
La plupart m'ont touchée tant ils semblaient heureux et reconnaissants d'avoir quelqu'un à qui parler, un endroit chaud pour manger et dormir.
J'ai apprécié pouvoir parler à ces personnes que l'on voit si souvent dans la rue et à qui l'on adresse pour la plupart pas même un regard, j'ai pu entendre leur point de vue, en apprendre un peu plus sur leur condition de vie et voir que le SAMU social propose une réelle aide notamment par leurs locaux.
Ce qui m'a le plus frappé c'est que la plupart ne veulent pas venir avec nous pour dormir au chaud pendant la maraude, généralement ils ont de quoi manger et se couvrir, aidés par les gens du quartier, durant la nuit une seule personne uniquement, qui avait très froid, a été conduit dans un centre d'hébergement.
Malheureusement on ne peut dans la plupart des gars aider à trouver un logement que pour une nuit...
Nous étions 4 dans le camion, avons roulé plus de 100km pour ne jamais voir qu'une petite dizaine de SDF dont la plupart ne désiraient rien.
Ce qui est dommage est que les propositions d'hébergement sont des solutions très temporaires, les problèmes restent non résolus pour la plupart.
etc La plupart était vraiment chaleureux, parfois très drole meme !!
Cette garde est excellente à bien des égards, et elle permet de nous montrer, nous qui sommes pour la plupart issu d'une classe favorisée, la dure vie dans la rue, et nous qui sommes de futurs soignants, ce travail colossal et minutieux des travailleurs du SAMU social qui sont, à bien des égards, des gens exceptionnels.
Pour ma part, j'avais de nombreux a priori sur les sans-abri, mais cette nuit m'a permis de découvrir que pour la plupart, ce sont des personnes fort sympathiques, très généreuses malgré leur manque de ressources.
Cette garde au Samu Social était une expérience enrichissante sur le plan humain et professionnel, bien qu'en raison de la pluie cette nuit-là, nous n'avons pas beaucoup rencontré de personnes en difficulté au cours de la maraude, la plupart ayant heureusement réussi à trouver un abri au moins sommaire.
et certaines personnes sont tellement isolées qu'ils appellent uniquement pour discuter , pour avoir 10 min de compagnie alors que pour la plupart ils ont des familles mais qui les ont abandonnés .
En revanche c'était agréablement surprenant de découvrir la gentillesse et la reconnaissance de la plupart d'entre eux malgré des situations déplorables.
En fait, la plupart sont juste des gens « normaux » : un irlandais avec lequel j’ai eu le plaisir de pouvoir parler en anglais, et qui m’interrogeait sur mes études médicales.
Nous mettons en place également des groupes de parole qui les aident à se libérer, ayant pour la plupart un passé assez lourd (femmes battues, réfugiées, victimes de mutilation...).
La plupart ne demandaient que de l'écoute et refusaient parfois notre aide matérielle ou alimentaire.
La plupart était des gens qui avaient vecu des concours de circonstances aux conséquences ravageuse, qu'ils n'ont pas toujours étaient des marginaux et que la majorité avaient une vie bien ranger avant et que c'était finalement des "monsieurtoutlemonde" très malchanceux certes.
La plupart n'étaient pas agressifs alors que j'imaginais qu'ils le seraient plus même si une fois je ne me suis pas sentie totalement en sécurité avec un groupe de 6 sdf qui étaient tous ivres mais on sent que les équipes ont l'habitude et font tout pour que tout se passe bien.
J'ai pu être en contact avec eux que ce soit par la double écoute ou lors de la maraude, ces derniers n'iont pour la plupart jamais demandé de l'aide par eux mêmes ou bien éprouvent une certaine "gène".
Je me suis rendu compte que la plupart se sont tellement éloignés d'une vie sociale, d'une autonomie et de la réalité, que jamais ils ne pourront se réintégrer normalement.
La plupart sont heureux et reconnaissants lorsque le SAMU social vient s'assurer que tout va bien. 3-4 phrases échangées avec un café leur permettent de se sentir moins isolés, moins oubliés.
La double écoute des appels du 115 m'ont particulièrement marqué, car la plupart concernaient des familles entières.
Le contact avec la plupart des SDF s'est bien passé, ce sont des gens comme tout le monde, pas des fous (sauf pour certains), ils sont juste juste saouls et perdus pour la plupart.
Pour finir, ce fut une très bonne experience et meme si la plupart d'entre nous ne travaillera jamais au Samu Social je pense que cest bien de l'avoir vécu au moins une fois dans sa vie.
mais, de là, à passer une nuit à leur rencontre, à leur parler, à partager leur expérience, c'est une chose totalement différente et pour la plupart d'ente nous, cette nuit était la 1ère expérience sociale et elle nous fait prendre conscience que, dans la majorité des cas, nous sommes totalement démunis face à leur détresse.
Il est également difficile de changer le mode de vie de certains sans abri, qui pour la plupart étaient psy et/ou alcoolo-dépendants.
J'ai également été surprise par le fait que les employés écoutants sont des jeunes pour la plupart qui font ça à coté de leur études, ça m'a plu, j'ai pu à la fois m'identifier à eux et de plus j'ai trouvé cela très humain et mature de leur part que de donner de leur temps pour cette cause.
J'ai également été surprise par le fait que les employés écoutants sont des jeunes pour la plupart qui font ça à coté de leur études, ça m'a plu, j'ai pu à la fois m'identifier à eux et de plus j'ai trouvé cela très humain et mature de leur part que de donner de leur temps pour cette cause.
J'ai également été surprise par le fait que les employés écoutants sont des jeunes pour la plupart qui font ça à coté de leur études, ça m'a plu, j'ai pu à la fois m'identifier à eux et de plus j'ai trouvé cela très humain et mature de leur part que de donner de leur temps pour cette cause.
J'ai également été surprise par le fait que les employés écoutants sont des jeunes pour la plupart qui font ça à coté de leur études, ça m'a plu, j'ai pu à la fois m'identifier à eux et de plus j'ai trouvé cela très humain et mature de leur part que de donner de leur temps pour cette cause.
J'ai également été surprise par le fait que les employés écoutants sont des jeunes pour la plupart qui font ça à coté de leur études, ça m'a plu, j'ai pu à la fois m'identifier à eux et de plus j'ai trouvé cela très humain et mature de leur part que de donner de leur temps pour cette cause.
des gens qui ne veulent pour la plupart pas aller en centre, sauf les novices !
J'ai pu rencontrer des personnes de tous âges, majoritairement des hommes, français ou étrangers (ce qui parfois ne facilite pas la compréhension), la plupart ont eu des places en centre pour la nuit mais nous avons du refuser des places à deux jeunes hommes, de mon âge environ.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.