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2. (2018) Ticket_433

Cette maraude nous a permi de trouver un toit à 6 hommes et femmes qui auraient dormi dehors sans l’aide de cette équipe.

3. (2019) Ticket_88

On est dans le camion, on écoute de la musique sur la route direction le centre d'hébergement Romain Rolland pour les quatre qui auront la chance de dormir sous un toit ce soir.

4. (2018) Ticket_387

En effet les membres du samu social apportent au personne dans la rue du réconfort tant sur le plan physique en leur apportant des couvertures, boisson chaude voir un toit dans un de leur foyer, tant sur le plan moral en leur apportant de l'attention, écoute et la possibilité de voir un assistant sociale.

5. (2015) Ticket_1267

Ça fait réaliser la chance qu'on a d'avoir un toit sur la tête tous les soirs.

6. (2013) Ticket_1806

C'était sa rue, son quartier, comme le ressentent les personnes qui ont la chance d'avoir un toit.

7. (2011) Ticket_2286

On ne mesure vraiment pas la chance que l'on a de vivre sous un toit. […] Il n'y pas de solutions miracles, juste des aides quotidiennes par des équipes qui reviennent à la charge tous les jours pour donner un toit, à manger, une écoute à des personnes qui sont tellement marginalisées maintenant qu'on dirait qu'elles font parti du décor.

8. (2014) Ticket_1404

Cela m'a rappelé combien il est confortable de rentrer chez soi le soir, d'avoir de quoi manger et d'être au chaud avec un toit sur la tête

9. (2015) Ticket_1240

Même si c'est toujours mieux que rien de pouvoir trouver un toit aux sans abris pour une nuit, c'est une situation plus que provisoire qui, pour moi, ne peut résoudre réellement un problème de fond.

10. (2013) Ticket_1760

Le visite des centres d'hébergements permet de mieux comprendre et ce qui frappe avant tout c'est que les personnes que l'on rencontre sont des hommes, des femmes avec un travail comme nous, une famille une fierté à qu'il ne manque qu'une chose un toit ou dormir.

11. (2017) Ticket_648

Même sans bien, sans argent et sans toit où dormir, elles avaient gardé ce qui est le plus important: leur humanité.

12. (2019) Ticket_195

Je me rappelle avoir été très surprise par le nombre de mères avec enfants en bas âge à la rue et qui avait du mal à trouver un toit, pour lesquelles il était difficile de trouver une place.

13. (2017) Ticket_728

L'événement le plus marquant pour moi a été de retrouver un habitué, normalement calme selon l'équipe du SAMU social, alcoolisé et violent envers l'équipe qui lui offrait un toit pour la nuit.

14. (2015) Ticket_1163

N'ayant pas fait ma garde pendant la période "hiver", le nombre de places d’hébergement était assez limité et nous avons du refuser beaucoup de personne lors de la double écoute, pas facile de dire non à un toit à quelqu’un qui dort dans la rue...

15. (2019) Ticket_124

La double écoute comme la maraude permettent réellement d'avoir un aperçu du cauchemar quotidien que vivent les personnes sans logement et les problèmes pratiques qui se posent pour leur offrir un toit.

16. (2015) Ticket_1281

Elle nous permet de nous rendre compte de la chance que nous autres avons à ne pas avoir un toit à rechercher chaque nuit, au confort d'une habitation, à la sensation de ventre rempli et repus,...

17. (2012) Ticket_2087

Arrivant à 18h au Samu Social, je commence la double écoute, et au fil de quelques appels, je saisis la principale mission: trouver un toit aux plus défavorisés pour qu'ils puissent dormir ce soir.

18. (2016) Ticket_842

Aller a la rencontre des personnes seules dans la rue dans le froid pour leur apporter une boisson chaude, une couverture, une conversation et parfois un toit pour la nuit, ce sont des choses simples mais cela permet d'améliorer le quotidien des gens qui en ont besoin.

19. (2014) Ticket_1515

Il s'agissait d'une femme qui allait vivre sa première nuit sans toit.

20. (2016) Ticket_925

Le plus frustrant durant cette nuit, c'est de ne pouvoir accueillir tout le monde en centre, avec un repas chaud et un toit pour dormir, manque de place et trop de demande.

21. (2012) Ticket_1951

Après ce contact, on relativise un peu nos propres souci, et on réalise qu'on en a pas vraiment: on a un toit où dormir au chaud pour la nuit, de quoi manger à notre faim, et de quoi se laver...

22. (2018) Ticket_347

Parler à des gens dans la rue, qui n'ont pas de toit, n'est pas chose que l'on fait souvent.

23. (2018) Ticket_438

Même si nous avons pu trouver un toit où dormir pour la plupart de nos signalements.

24. (2016) Ticket_988

Certains nous remercieront d'avoir pu leur trouver un lit pour une nuit même s'ils savent que demain le ciel sera de nouveau leur seul toit.

25. (2018) Ticket_300

Pouvoir vivre sous un toit, manger à sa faim, se couvrir du froid me semblaient être des banalités mais je me rends compte aujourd'hui que de nombreuses personnes n'ont pas accès à ces choses si simples.

26. (2018) Ticket_305

Tout d’abord la double écoute du SAMU social, je ne savais pas comment se gérer un appel du 115 ni les critères de sélection des personnes qui pourront beneficier d’un toit.

27. (2019) Ticket_32

Cette garde au SAMU SOCIAL a commencé par une double-écoute de 18h à 20h, avec des appels de personnes sans domicile cherchant un toit pour la nuit. […] J'ai trouvé cela très arbitraire car selon moi, que l'on soit à la rue depuis 1 semaine ou 1 an, on est autant éligible à avoir un toit sous lequel dormir.

28. (2015) Ticket_1137

Autant de problématiques que je n'envisage pas au quotidien, ayant la chance d'avoir un toit sous lequel loger, et avec peu d'expérience dans le domaine associatif.

29. (2015) Ticket_1365

En rentrant chez moi je me suis dit que j'étais privilégiée d'avoir un toit et un lit.

30. (2014) Ticket_1551

Je me suis rendue compte que j'étais chanceuse d'être en bonne santé, avec un toit au dessus de ma tête.

31. (2013) Ticket_1608

Toute personne a droit de vivre sous un toit et c'est très bien que ces structures soient encore fonctionnelles par contre, les moyens ne sont pas toujours suffisants.

32. (2017) Ticket_634

Un homme nous a arrêté, il paraissait tout de ce qu'il y a de plus ordinaire, propre sur lui mais sans toit sous lequel dormir.

33. (2017) Ticket_722

J'ai apprécié la double écoute parce que ca permettait de se rendre compte des différentes situations des usagers ( clochardisation depuis 10 ans, migrants en demande de logement, usager rélevant de la psychiatrie et qui trouve un toit où dormir soit par le 115 soit lors d'hospitalisation ou en se rendant aux urgences...)

34. (2017) Ticket_784

On perçoit assez nettement qu'avec le fait de manger à sa faim, la plus grande précarité est de ne pas avoir un toit pour être au chaud, en sécurité et en sérénité.

35. (2016) Ticket_849

Je pense que cette garde nous aide à retrouver notre humilité face à la vie, à relativiser les choses quand on pense à ceux qui vivent dans une situation précaire, et à être reconnaissant de la "chance" que nous avons pour pouvoir vivre sous un toit, été comme hiver.

36. (2016) Ticket_1100

Des immigrés en route vers calais, ayant passé des mois en prison en Lybie mais horrifiés par le toit qu'ils se sont vu offert à la Boulangerie et qui ont préféré le ciel de Paris.

37. (2015) Ticket_1318

Et finalement un sentiment de BA accomplie 28 soupes/cafés/thés/bolinos ou couvertures distribués en plus des 3personnes qui ont trouvé un toit pour la nuit!

38. (2018) Ticket_325

Expérience très enrichissante au niveau social, change la perspective et le regard que 'loin peut porter sur les personnes sans domicile fixe et que que la société peut nous faire voir de manière péjorative mais également grande remise en question sur soi même et sur la chance que nous avons de ne serait ce qu'avoir un toit ou dormir la nuit au chaud.

39. (2012) Ticket_1918

Cependant, le sentiment principal qui ressort de cette nuit est un sentiment de frustration : celui de ne pas pouvoir faire assez pour ces gens dans le rue, d'etre parfois heurté à leur rétissence à vouloir recevoir ne serait-ce qu'un café, ou encore de savoir qu'on ne peut les aider à avoir un abri que pour une seule nuit le plus souvent, et que de recommencer tous le jours la recherche d'un toit doit etre réellement épuisant, déroutant...

40. (2011) Ticket_2283

Grace à la double écoute du 115, on comprend combien il est difficile pour certains de se trouver un toit, chaque nuit (exemple commun++: jeune femme avec un enfant en bas âge ne trouvant pas où loger et qui passera probablement la/les nuit dans la rue).

41. (2012) Ticket_1866

On comprend que ces gens n'ont pas, comme nous, l'assurance de manger ou de dormir sous un toit chaque jour.

42. (2012) Ticket_2054

Cette nuit m'a permis d'être confrontée de près à la réalité de la vie quotidienne de certains et de réaliser que la rue n'accueille pas seulement des hommes sans emploi, sans papiers, imbibés d'alcool, mais aussi des jeunes de mon âge, qui sont en formation ou parfois même travaillent, dont personne ne sait qu'ils n'ont pas de toit pour dormir, car ils le cachent.

43. (2017) Ticket_553

Les familles sans abris ont encore moins de chance de trouver un toit pour une nuit!

44. (2017) Ticket_710

- On pense souvent mais de façon erronée que ce dont les SDF ont le plus besoin c'est un toit et de l'argent, mais en réalité ils ont surtout besoin d'un "lien" avec la société, de se sentir intégré, de ne pas être laissé à l'abandon, ce que le samu social essaie de faire

45. (2016) Ticket_855

Les gens au bout du fil ont bien souvent des histoires assez dures : certains sont des immigrés qui ne savent pas où demander de l'aide, d'autres sont des personnes n'ayant ni famille ni proches, ou d'autres encore ont un emploi mais n'ont pas les moyens de se payer un toit pour eux et leurs enfants.

46. (2018) Ticket_475

Cette nuit de maraude a été instructive par la découverte des possibilités mises en oeuvre pour accueillir les personnes démunies de tout logement mais aussi par la prise de conscience des limites de ce système par les nombreux refus formulés laissant alors certaines personnes sans toit pour la nuit.

47. (2013) Ticket_1701

La double écoute, fut mon premier contact avec l'univers du Samu social, je m'y suis installé dès mon arrivé, et écouter les gens desepérés de trouver un toit au bout de 50 nuits dans le métro ou la rue était assez dur, surtout lorsque nous n'étions pas en mesure de leur trouver un abri pour la nuit ou lorsque la solution que l'on trouvait n'était pas satisfaisante pour eux.

48. (2012) Ticket_2062

Ce qui m'a marqué dès le début lorsque j'étais en double ecoute , c'était le nombre important de personnes tout juste majeures qui appelaient pour trouver un toit où dormir la nuit, des personnes plus jeunes que moi !

49. (2011) Ticket_2247

Ces personnes, parmi les plus exclus de notre société, qui n'ont pas de toit, pas d'argent ou si peu, pas d'autre temps que le ici et maintenant, mais qui reste dignes et humaines.

50. (2017) Ticket_541

En effet, aller à la rencontre des clochards, leur parler, les écouter et les prendre en charge pour les amener dans les différents hôtels du 115 sans préjuger ni de leur état ni de leur aspect nous fait réaliser la chance qu’on a d’avoir un toit sur la tete.

51. (2017) Ticket_590

ça a été vraiment difficile de dire non à des familles ou toute autre personne qui ne demandait qu'une seule chose, avoir un toit au-dessus de la tête et un repas chaud le soir.

52. (2016) Ticket_977

Les manques de places, les méthode pour déterminer qui a la plus besoin de la seule place restante et du coup dire aux autres que ce n'est pas ce soir qu'ils auront un toit. […] Dit comme ça ça n'a aucun sens, il faut savoir que les camions du Samu patrouille dans un secteur pour aider des sans-abris, leur donner à boire, à manger, leur parler et parfois s'il reste de la place dans des centres, leur proposer un toit.

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