Enfin j'ai trouvé que les maraudes sont une étape vraiment forte sur le plan humain, cela à permis de prendre conscience de la diversité des sans domicile fixe, ainsi j'ai été choqué de voir des personnes de mon âge par exemple, ou encore des personnes très âgé, qui semble pourtant avoir des ressources. […] De plus j'ai été un peu déçu par l'approche au sans domicile fixe : cette relation se traduit par une transaction ( de centre, de café, de soupe, de duvet ...) mais j'ai trouvé qu'au delà de ça l'échange était assez réduit entre l'équipe et le sans domicile fixe, je pensais qu'on prendrait véritablement quelques minutes pour discuter ce qui était rarement le cas.
Cela fut très enrichissant sur le plan humain d'aller au contact des personnes sans domicile fixe.
Assistance d'une personne sans domicile fixe en état d'ébriété et mise en condition avant l'arrivée des pompiers.
L'augmentation importante de la proportion de femmes sans-domicile fixe est inquiétante car vivre à la rue est d'autant plus dangereux pour elles : viols, grossesses à mener dans la rue, allaitement, nourrissons... La maraude permet d'être en contact direct avec les sans-domicile fixe, de comprendre le rôle du SAMU social et de réaliser encore plus le manque de solutions d'hébergement, de moyens et de ressources pour leur venir en aide.
C'était très intéressant sur le plan social et relationnel envers les personnes sans domicile fixe, l'abord est specifique.
Sensibilisation sur l'objectif du Samu social = réinsertion des personnes sans domicile fixe, des grands exclus par les hébergements collectifs, la rencontre avec des assistantes sociales, et non pas leur permettre de mieux vivre dans la rue.
Cette garde au samu social permet de se rendre compte de la réalité de la rue et de la réelle detresse de certaines personnes sans domicilie fixe .
Je pense que la garde au SAMU sociale est très importante car ceci nous permet de voir réellement les conditions de vie des personnes sans domicile fixe.
Ce fut une nuit très enrichissante car elle m'a permise de prendre conscience de la détresse des sans domicile fixe.
Experience enrichissante, on comprend un peu mieux le calvaire que vivent les sans domiciles fixes, surtout pendant la période hivernale.
Elle m'a permis d'avoir un autre regard sur les problèmes rencontrés par les personnes sans domicile fixe et de mieux comprendre leurs soucis de santé.
Cette nuit m'a ouvert les yeux sur la situation des personnes sans domicile fixe de Paris et leurs conditions de vie dans la rue.
Cette garde au Samu Social permet vraiment de se rendre compte de la difficulté qu'éprouvent au quotidien les gens défavorisés sans domicile fixe.
je ne pensais pas que certaines personnes avec un revenu fixe par mois soit a la rue depuis un divorce car incapable de faire des papiers administratifs...
Ce stage permet vraiment de comprendre quelles sont les aides et les solutions sur le plan social pour les personnes sans domicile fixe.
En effet, jamais je ne m'étais aussi bien représenter les conditions des sans domiciles fixes.
Nous sommes ensuite parti sur les signalements, j'ai apprécié l'approche humaine de l'équipe envers les personnes sans domicile fixe et le fait de pouvoir les aider un peu même si j'ai constaté un manque de moyen important.
Je n'oublierai pas cette soirée qui m'a permis de poser un regard différent sur cette population marginale qui sont les "sans domicile fixe".
Cela permet d’appréhender une facette différente des personnes sans domicile fixe et que je n’avais rencontré pour ma part que dans le cadre médicale (aux urgences notamment).
Cette expérience m'a donc permi de mieux comprendre leur rôle et de voir à quel point ce métier, très humain et humaniste, apporte aux personnes sans domicile fixe.
Ce fut une expérience fort enrichissante: se confronter à la dureté de la rue et se rendre compte en discutant avec un des sans domicile fixe qu'au final on pourrait tous se retrouver dans leur situation un jour ou l'autre.
Au vu de l'accueil que l'on peut parfois voir dans nos services reservé aux personnes sans domicile fixe il semble pertinent que nous participions à une garde du samu social.
Ça permet de réfléchir dans le sens qu'il n'y a pas de profil "type" et que sans domicile fixe ne signifie pas que la personne est marginalisée.
Avoir l’opportunité d’aller à la rencontre des personnes sans domicile fixe, pouvoir leur parler et comprendre mieux leur quotidien, ou seulement leur apporter un peu de réconfort et la possibilité de passer une nuit dans un lit.
J’ai trouvé cette expérience enrichissante, je n’avais jamais eu l’occasion de faire des maraudes auparavant et de côtoyer le milieu difficile de la rue la nuit ; je trouve que le travail des personnes travaillant au sein du samu social est admirable et qu’ils apportent beaucoup aux sans domiciles fixes, que ce soit en leur proposant un hébergement, un repas chaud ou juste de la compagnie.
Cet appel m'a particulièrement marqué, il montre la détresse psychologique majeure de cette femme qui doit vivre sa grossesse sans lieu de vie fixe, dans des conditions de vie difficile qu'aucune femme ne devrait subir.
Cela m'a fait réaliser que malgré le courage et la patience de l'équipe il n'est pas toujours possible de trouver une solution pour les sans domicile fixe de Paris.
J'avais déjà été confrontée en stage à des patients sans domicile fixe mais la préoccupation sociale de leur orientation était restée pour moi assez floue.
J'avais l'habitude de participer à la soupe populaire donc j'avais déjà une petite expérience en ce qui concerne le contact avec des personnes sans domicile fixe.
La garde au Samu social m'a permis de mieux me rendre compte du nombre très important de sans domicile fixe présent dans les rues de la capitale.
Rien ne présageait qu'elle soit sans domicile fixe.
Ce stage court permet de découvrir les missions que remplissent le SAMU social et les moyens mis en œuvre pour aider les personnes sans domicile fixe.
J'ai pu assister à un entretien social d'une jeune fille de 20 ans vivant sans domicile fixe.
J'ai trouvé cette expérience très intéressante car on ne se rend pas compte du nombre de gens sans logement fixe et on est très peu informés sur la possibilité de contacter nous-mêmes le SAMU social lorsque l'on voit un SDF.
C'était une expérience très enrichissante, qui m'a permis de constater que le SAMU social n'est pas qu'un réseau de distribution, mais qu'il offre aussi une écoute et un contact humain avec les gens sans domicile fixe.
Nuit très intéressante, elle permet de se rendre compte du travail effectué par le samu social, chaque personne sans domicile fixe qu'ils rencontrent possède une fiche, cette personne est répertoriée, quand elle n'est pas vue pendant quelque temps, les équipes ont pour mission de la chercher et de vérifier que tout va bien.
Les premières heures de la maraude, nous allions voir un sans domicile fixe connu du SAMU social qui nous accueillait avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Cette nuit avec l'équipe du SAMU SOCIAL m'a sensibilisée aux conditions de survie des nombreuses personnes sans domicile fixe.
J'ai trouvé que la garde au SAMU social était une expérience très enrichissante qui nous sort de notre confort et de la vision que nous pouvons avoir des Sans domiciles fixes dans la vie de tous les jours.
La garde du SAMU et la double est enrichissante : le contact avec des personnes Sans Domicile Fixe permet de sortir des stéréotypes que nous avons sur ces personnes.
Par ailleurs j'ai pu voir différents "types" de sans domicile fixe, ceux qui étaient plus ou moins agressifs, ceux qui étaient plutôt calme, des femmes et des sans abris de toutes les origines.
De plus, l'approche du samu social sur le terrain envers les personnes sans domicile fixe est remarquable.
Ce qui m'a le plus plu et touché c'est la relation que les personnes du SAMU social ont avec les sans domicile fixe.
Tous les gens qu'on a rencontré au cours de la nuit ont été gentil, à part d'une femme qui était mécontente, mais je comprends bien que la vie sans domicile fixe doit être dure.
C'était une expérience enrichissante sur le plan humain, certaines rencontres avec les sans domiciles fixes étaient touchantes, et d'autres étaient plutôt angoissantes (alcool, terrain psychiatrique, ect.. ) J'ai bien compris que le rôle du SAMU social était de leur venir en aide, et de ne juger personne.
Cette nuit au SAMU social a "humanisé", des personnes considérées comme étant en marge de la société, des sans domicile fixe, des migrants.
Soigner des patients sans domicile fixe m'a fait me sentir utile envers cette catégorie de personnes défavorisées.
Une travailleuse sociale, une infirmière et un chauffeur aux petits soins avec les sans domicile fixe rencontrés.
J'ai été étonnée par l'importance de la demande d'hébergement par les personnes sans domicile fixe et surtout par l'âge de celles-ci qui peuvent parfois être très jeunes...
Tout d'abord l'écoute des appels du 115 m'a fait prendre conscience de la difficulté pour les personnes sans domicile fixe de trouver un hébergement pour la nuit et celle des travailleurs sociaux d'apprendre à ce gens qu'ils devront dormir dehors faute de place...
J'ai eu l'occasion de voir une femme sans domicile fixe passer du calme au referme ment sur soit en passant par la coopération puis les pleurs, l'énervement et la frustration.