Nuit plutot calme quelques arrets pour distribuer boissons et vivres/couvertures.
J'ai signé pour des études de médecine et non pas pour distribuer des couvertures et du café toute la nuit.
J'ai donné des couvertures, rencontrai les gens, examiné certain.
La garde au SAMU social a été très instructive, elle m'a permis de découvrir un aspect de la couverture sociale qui ne m'était pas connu jusque là.
Je pensais que l'aide serait plus directe, je n'ai pas assisté à la distribution de repas ou de couvertures par exemple.
En effet les membres du samu social apportent au personne dans la rue du réconfort tant sur le plan physique en leur apportant des couvertures, boisson chaude voir un toit dans un de leur foyer, tant sur le plan moral en leur apportant de l'attention, écoute et la possibilité de voir un assistant sociale.
C'est une expérience très enrichissante pour moi qui pensais que le SAMU social se résumait à distribuer des boissons chaudes, des couvertures et un peu de bienveillance.
on discute avec des SDF, on leur apporte des couvertures, à boire, on les dépose dans des centres d'hebergement, etc...
S'il faut en retenir quelque chose, c'est sans doute que le SAMU social n'a pas pour vocation de sortir les gens de la misère, mais de leur proposer une aide uniquement temporaire (hébergement pour une nuit, soupe, couverture).
Intérêt de la situation devant les difficultés (plus de couverture sociale, démarches en cours), la nécessité du traitement.
Il a pas voulu venir au centre car sinon il perdait sa place dans une cabine téléphonique, il a juste accepté un café et une couverture.
La distribution de nourriture et de couvertures semble être un compromis pour le court terme mais une aide pour l'hygiène, l'hébergement et l'alimentation devrait être étendue car les centres sont éloignés en périphérie et difficile d'accès si on ne peut pas prendre .
Globalement les gens ont peu demander de nourriture ou de couverture au samu social, mais ils disent qu'ils demanderont quand il fera plus froid.
Que ce soit de leurs fautes ou non, elles se retrouvent dans le besoin pour des éléments de la vie quotidienne qui nous paraissent basiques (un lit, une couverture, un contact).
Une autre rencontre avec un homme vivant dans une cabine téléphonique, seul, refusant l'aide du Samu social, m'a surprise, il avait installé un chauffe eau, des couvertures et semblait totalement hors du monde autour de lui, renfermé dans sa solitude.
Cela m'a permis de me rendre compte que les gens à la rue sont assez vulnérables, sur le plan de la sécurité physique mais aussi sur le plan de la santé puisque le suivi médical, obtenir des médicaments ou même consulter à l'hôpital est compliqué dans la rue, soit pour une question de couverture sociale, soit par une méfiance du monde médical.
L' infirmière leur parlait avec beaucoup de respect tout en restant ferme pour ne pas se faire déborder par la situation, et gérant les réclamations sans jamais hausser le ton, en restant toujours calme pour éviter que le fait de refuser de donner plus de couvertures ne dégénère .
Nous n'avions malheureusement pas assez de couverture pour tout le monde ce qui provoqua en moi un sentiment d'impuissance et de regret.
Aller a la rencontre des personnes seules dans la rue dans le froid pour leur apporter une boisson chaude, une couverture, une conversation et parfois un toit pour la nuit, ce sont des choses simples mais cela permet d'améliorer le quotidien des gens qui en ont besoin.
Le but de la maraude semble principalement de proposer un hébergement, car lorsqu'une personne le refuse, il y a peu de choses à lui proposer: on arrive vite à court de nourriture et on ne donne pas de couverture sur demande.
Cependant je reste persuadée qu'une froide nuit d'hiver, ou une nuit pluvieuse de mi-saison aurait nécessité bien plus de denrées et quelques couvertures, quelques journaux, des petites radios? […] - Où sont les habits, les couvertures et autres denrées NON perrissables invendues il y a 3 ans?
Par contre, après réflexion je n'ai pas très bien compris l'utilité de simplement "recenser" les différences personnes que nous croisions sans leurs apporter une aide même minime ( collation, couverture...).
Le SAMU SOCIAL leur apporte une boisson chaude, une couverture, un soutien moral, parfois un lit en centre, et toujours une aide sociale.
Plusieurs personnes ont refusé de nous accompagner dans des foyers sociaux, préférant rester dehors mais acceptants quand même une boisson chaude et une couverture de survie.
que l'on ne peut pas vraiment plus pour eux, que la plupart de ces personnes finiront où on les a trouvées, et qu'une couverture pour la nuit paraît être une bien brève solution.
Puis les suivants auront un peu de café, puis une couverture, mais très rapidement nous n'avons plus rien du tout.
., qui avait prévu de dormir à même le sol, sans couverture, et qui n’avait pas mangé depuis des jours. […] Enfin nous allions rentrer en pause, quand nous avons aperçu un homme couché par terre, sans couverture.
Lors de la maraude, le fait d'aller, en équipe, à la rencontre de personnes exclues et de pouvoir leur proposer un repas chaud, une couverture voire un hébergement lorsque c'est possible m'a permis de me sentir utile et de ne plus détourner les yeux devant des situations terribles et pourtant banales.
Et finalement un sentiment de BA accomplie 28 soupes/cafés/thés/bolinos ou couvertures distribués en plus des 3personnes qui ont trouvé un toit pour la nuit!
On découvre cet homme barricadé dans une cabine téléphonique pour que personne ne puisse le déloger, emmitouflé sous des couvertures.
D'une part, il m'a donné un aperçu de l'activité du SAMU social bien plus variée et complète, qu'une simple distribution de nourritures, couvertures ou hébergement d'une nuit aux personnes sans abris.
Il s'agissait simplement de donner 2-3 cafés et 1 couverture à très peu de personnes au final, et même si ce travail est très important et utile, il ne concerne pas du tout nos études.
: -cela permet de mieux comprendre la situation de nombreux sdf que l'on croise régulièrement en stage au SAU, -j'ai eu l'occasion d'assister à des prises en charges variées (transport simple / consult. infirmière + place en foyer médicalisé / maraude / distribution de nourriture et de vêtements ou couvertures), -l'équipe dans les bureaux autant que sur le terrain est habituée à encadrer des observateurs, et très accueillante, une remarque : au lieu de nous faire lire au début de la garde le carnet réalisé pour les externes (le genre qu'on aimerait recevoir au début de chaque stage), pourquoi ne pas le fournir avant par mail ?
Nous avons aidé à plusieurs reprises des personnes qui vivaient à la rue, en leur donnant à manger, à boire, en leur donnant des couvertures, ou en cherchant un centre d'hébergement d'urgence pour eux.
A propos de la maraude, j’ai été impressionnée par le nombre de personnes dans la rue refusant notre aide ou qui disent n’avoir besoin de rien (pas même une couverture ni une boisson chaude!!).
J'ai été également surprise par le fait qu'on propose beaucoup de vêtements, couvertures, nourritures mais que les gens ne prenaient uniquement ce dont ils avaient réellement besoin et n'en demandaient pas plus.
On a réellement l'impression d'aider, le fait de leur donner des cafés, des soupes, des couvertures...
Il était allongé sur des tas de vêtements et couvertures.
Il répondit qu'il avait fait un abri de fortune sous un pont, et qu'il avait un matelas et bien assez de couvertures pour se tenir au chaud la nuit.
Je pense notamment à une personne âgée que l'on a rencontrée, dans une situation très difficile depuis plus de trois ans, mais très digne et indépendante, refusant la moindre aide (un hébergement, ce qui en fonction des cas peut se comprendre, mais même une boisson chaude ou une couverture).
C'est une situation qui peut arriver à n'importe qui et il ne faut pas mépriser ces personnes mais au contraire tenter de les secourir en leur donnant des couvertures, une soupe, une boisson, ou bien les emmener dans un établissement pour passer la nuit.
.) , et me faisant participer à la prise en charge des SDF de façon active (distribution de café, de soupe chaude, de couverture de survie, discussion avec les SDF à l'extérieur puis à l'arrière du camion,...).
Puis le briefing, avant de charger « le camion » du nécessaire alimentaire et de quelques couvertures de survie.
Il était ainsi rémunéré et déclaré, et avait ainsi accès à une couverture social.
A l'inverse, les personnes rencontrées lors des maraudes me semblent davantage prises en charge, même si leurs demandes sont parfois plus simples à satisfaire (boisson chaude, nourriture, couvertures et vêtements...)
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.