Pas facile parfois de faire face aux difficultés de la rue
L'équipe était très accueillante et l'intégration trsè facile.
La maraude m'a beaucoup plu même si ce n'est toujours facile de gérer les usagers.
C'est très honorable et selfless ce qu'ils font, et pas facile au quotidien.
Elle m'a permis d'aborder des gens à qui je n'osais pas parler et qu'il était plus facile de faire semblant de les ignorer que de faire le premier pas pour aller leur parler.
Je suis très admirative des personnes qui font ce travail là tous les jours car il n'est pas facile de se "blinder" pour aider au mieux toutes ces personnes.
Je pense que par cette experience le contact avec les personnes en difficulte sera plus facile dans notre futur metier de medecin.
Premièrement je tiens à dire que j'admire tout le monde qui y travaille quotidiennement, ce n'est vraiment pas un métier facile qui nécessite du courage et une forte empathie envers toutes les personnes rencontrées pendant la nuit. […] Cependant ce n'est pas facile de se dire que le temps passé avec lui, cette nuit-là, lui a permis de passer seulement une nuit dans ce centre et que le lendemain il sera de nouveau dans la rue et qu'il faudra surement recommencer la meme chose le soir d'après.
J'appréhendais le contact avec les SDF et, mais qui a été rendu très facile par l'équipe qui est très bienveillante.
Nous avons ensuite pu en déposer certains dans les centres d'accueil pour la nuit, bien qu'une partie préfère dormir dehors que de côtoyer les centres où la sécurité n'est pas toujours facile à assurer.
Ce n'est pas facile d'annoncer aux gens que l'on ne peut rien faire pour eux parce qu'il manque des places dans les centres d'hébergement .
Le début de la maraude était un peu compliqué, une des personnes était mécontente de se retrouver encore avec un étudiant dans le pattes et nous l’a fait savoir ouvertement lors du débriefing, donc pas facile de trouver sa place dans ces conditions.
N'ayant pas fait ma garde pendant la période "hiver", le nombre de places d’hébergement était assez limité et nous avons du refuser beaucoup de personne lors de la double écoute, pas facile de dire non à un toit à quelqu’un qui dort dans la rue...
Mais il n'est pas facile de se placer à la distance adéquate par rapport aux personnes vivant dans la rue, être proche et à l'écoute sans être trop familier.
Je pense particulièrement à l'un d'eux, un homme très soigné : rasé de près et qui paraissait en bonne condition physique, ayant la conversation facile.
Je trouve que les infirmiers et AS qui font le SAMU social ont beaucoup de mérite, ça n'a pas l'air d'être un travail facile et réjouissant.
On y découvre des personnes très impliquées envers les autres, c'est un veritable don de soi que ce soit les ecoutants ou les maraudeurs, on aborde la rue d une autre façon, apprendre à écouter les autres, découvrir que apporter de l attention signifie énormément pour ces personnes C'est une expérience pas facile : il fait très froid, on voit beaucoup de misère mais on se sent heureux d échanger quelques paroles avec ceux qui en ont besoin et surtout de pouvoir leur apporter quelque chose A maintenir ++ De plus toutes les équipes sont très agréables et répondent volontier à toutes nos questions
Les conditions des maraudes ne m'ont pas semblé facile, les difficultés pour trouver une place en centre, de l'envie de donner plus mais peu de moyen..
Ça aide vraiment car voir autant de misère, ce n'est pas facile.
J'ai particulièrement apprécié la maraude: le contact avec les gens dans la rue était facile, ils étaient très curieux de voir arriver "une nouvelle".
Mais j'avais quand même un peu peur que la nuit ne soit pas facile.
Je n'avais que très peu de connaissances sur l'action du samu social, bravo à ceux qui maraudent tout les soirs, ce n'est pas facile.
Le fait d'être intégré dans une équipe n'est pas toujours facile mais je l'ai été sans difficulté et je souhaite remercier ceux qui m'ont accueilli, je pense que cela m'a permis de profiter à fond de cette expérience.
Par ailleurs, j'ai pu constaté que la mission d'accompagnement du Samu Social n'est pas toujours facile, il faut savoir respecter les choix des personnes qui ne veulent pas être aidées ou ne pas être hébergées.
Cette garde n'a pas été facile tout le temps : je prends pour exemple un jeune homme d'une trentaine d'année souhaitant rentrer à Montrouge (Centre d'hébergement du SS) et n'ayant pas de place.
Dans la vie de tous les jours, il est facile de ne pas faire attention aux plus démunis.
Puis expliquer les demarches a faire pour recevoir un logement plus permanent, mais surtout qu'il serait plus facile de rester chez son proche au vu de la duree d'attente pour un logement social.
Le travail que font les équipes du samu social est vraiment très honorable et pas toujours facile, ils connaissent et s'intéressent vraiment à toutes ces personnes en détresse et les aident tous les jours de la semaine quel que soit leur histoire, leur passé et leur comportement et surtout en respectant toujours leur souhait.
Enfin, l'ensemble de l'équipe était très sympathique et l'intégration facile.
Je pense tout de même qu'il n'est pas facile d'être à l'aise et que la motivation et le désir de nous intégrer de l'équipe aide beaucoup!
J'ai vu des Hommes démunis, des situations délicates très difficiles à gérer, la détresse sociale, tout cela me sortant de mon quotidien facile pour me rappeler qu'en bas de chez moi, des Hommes souffrent.
L'approche a été plus facile que je ne l'imaginais.
Ensuite, la maraude avec les équipes mobiles, toutes très accueillantes, m'a plu et m'a montré que la bonne humeur est l'un des meilleurs atouts pour ce travail, pas si facile..
De plus, l'ambiance au sein de l'équipe est presque familiale, on sent qu'ils sont soudés entre eux, il est facile de s'intégrer et c'est une bonne chose.
J'ai découvert durant la nuit du 20/12/11 à quel point il est facile de se retrouver dans la rue, du jour au lendemain.
Cependant, les bienfaits de la garde sont proportionnels à l'investissement de l'externe et il est assez facile de rester totalement passif face aux équipes.
Ce n'est pas une expérience facile ni psychologiquement ni physiquement (se lever le matin pour aller en stage puis rester éveillé jusqu'à 5h du matin), on devrait avoir le choix de faire cette garde ou non.
j'ai ensuite eu la chance de monter dans une EMA hyper accueillante, je sais que ça leur rajoute du boulot et de la fatigue donc j'ai essayé d'etre le plus facile a vivre possible, j'ai parlé au SDF que l'on rencontrait et pris des initiative.
En découvrant toutes les dispositions mises en place par l'Etat (cartes restaurants, douches et lieux de repos publics, hébergement, assistantes sociales), il est donc plus facile d'informer et d'orienter le patient vers une meilleure prise en charge sociale.
Je pense que d’autres personnes devraient aussi participer aux maraudes, en particulier les personnes travaillant dans les associations apportant les financements ; en une seule nuit il est facile de constater le manque des moyens, pour ces personnes faisant un si beau métier.
L'équipe du samu social est elle même très sympathique, faisant preuve d'un' sociabilité et d'un contact facile qui donnent envie de s'investir et d'aller vers les personnes démunies ou isolées.
D'autant plus que ce n'est pas une chose facile que de demander de l'aide pour ces personnes.
Ce n’est jamais facile de passer devant un sans abris en plein hiver, parce que le froid et la pluie ça fait mal et parce qu’on ne sait jamais trop quoi faire. […] C’est aussi pour ça qu’il ne veut pas d’un hébergement ce soir, c’est pas facile de bouger tout son fatras comme ça, mais demain c’est d’accord, on fera un signalement. […] Ce n’est pas facile dans la vrai vie d’aborder un sdf.
Malgré une petite appréhension face à un milieu que je n'ai jamais fréquenté du tout (en dehors de quelques patients aux urgences), j'ai trouvé cette garde très facile à vivre.
Cela m'a fait réfléchir sur les conditions de vie de certains qui ne sont guère facile.
- Briefing de 20h: rien a dire en particulier - Maraude: les personnes qui font ce métier ont beaucoup de mérite car ça ne doit pas être facile tous les jours.
En conclusion, c'était une expérience très intéressante, même si tout n'a pas été facile.