On voit des gens qui nous émeut, d'autres qui peuvent nous faire peur mais tous nous surprennent.

J'ai été agréablement surpris par les capacités des "maraudeurs" a aider les gens dans la rue avec le peu de moyens à leur disposition, ainsi que par les relations qu'ils arrivent à établir.

Je ne connaissais pas le 115/SAMU SOCIAL avant la nuit dernière, et j'ai été surpris d'y découvrir un monde organisé autour d'une vocation commune qui allie écoute et générosité, sans distinction entre les différents "usagers" aux histoires souvent touchantes (quand la communication était possible).

-Concernant la double écoute ou les personnes rencontrées en maraudes: Surpris par le comportement des gens qui semble similaire à une partie de la population retrouvée aux SAU: impression de droit absolue, non pas à la santé, mais au bénéfice complet et permanent du système d'aide mis en place, avec de nombreux appels se ressemblant commençant par " allo, c'est pour une place" et se terminant en fonction de la réponse par "merci vous êtes la fée de ma soirée" ou "va crever salope" ... […] -Egalement surpris par la quantité de personnes demandant un soutient logistique, (hébergement, duvet, repas...) et la diversité de ces gens.

Agréablement surpris par ma garde au Samu social.

J'ai cependant été surpris et déçu de voir à quel point les moyens disponibles était largement en dessous des nécessités de cette population.

Et j'ai enfin été surpris de voir que ces personnes nécessiteuses sont plus nombreuses qu'on le croit, et que l'on en croise tout les jours sans s'en douter !

J'ai donc été particulièrement surpris en découvrant que l'aide alimentaire était uniquement une manière de créer un premier contact avec ces personnes pour, par la suite, les accompagner vers une réinsertion dans la société.

Tous ont pu être mis à l'abri pour la nuit ce qui m'a agréablement surpris car lors de la double écoute la majorité des demandes n'avaient pu aboutir.

J'ai été surpris du manque de place disponibles dans les foyers d'accueil, de la nécessité de trier les usagers, de contextualiser les demandes et de faire alterner les usagers reçus dans les centres afin que le plus grand nombre puisse y dormir régulièrement.

J'ai été assez surpris par la réaction de certains sans domiciles qui refusent l'aide qu'on leur apporte malgré l'insistance des équipes de maraude.

J'ai été surpris de voir autant de jeunes, isolés de tout ainsi que des nouveaux retraités qui n'ont pas le moyen de payer de loyer.

Ce qui m'a surpris pendant cette nuit est que rien ne s'est fait dans l'urgence.

J'ai été très agréablement surpris par le travail et la gentillesse de l'équipe avec laquelle j'ai été dans le camion.

Ce qui m'a le plus surpris est la sympathie des SDF et le lien qu'ils ont avec l'équipe.

Surpris par le nombre d'usagers propres, bien couverts, bien organisés… qui diffèrent beaucoup de la population de SDF en état d'ivresse des urgences.

Pour ce qui est de l'aspect humanitaire, je n'ai pas été très surpris, c'est ce à quoi je m'attendais.

J'ai été surpris de voir la diversité des "usager", je m'attendais à ne voir que des "clochards alcooliques et alcoolisés" comme j'ai l'habitude de les voir aux urgences.

J'ai d'abord été surpris par le refus de certains SDF qui ont refusé de quitter leur "chez-eux", cela m'a amené à réfléchir sur le libre-arbitre et l'importance de ne pas juger les gens sur leurs choix.

Le fait d'avoir vu les personnes sans domicile au sein de structures comme les anciens hopitaux m'a vraiment surpris d'une bonne maniere.

J'ai été agréablement surpris par le lien qu'avaient les travailleurs du SAMU social avec certains SDF qu'ils croisaient souvent en maraude.

La garde commença par la double écoute du 115 où je fus surpris par le peu de places d'hébergement disponibles (5 places "femme" et 5 places "homme" ce soir-là).

D'un point de vue personnel, j'ai été surpris de voir que la relation avec les Urgences hospitalières n'était pas des meilleurs et d'entendre dire qu'il en était de même avec les pompiers.

Cette nuit m'a donc permis de découvrir toute l'organisation du samu social et je dois dire que j'ai été agréablement surpris par les moyens mis en oeuvre pour s'occuper des SDF.

J'ai été surpris par le nombre de personnes dans cette situation, mais également (sans préjugé aucun) par le fait que l'immense majorité ne soit pas d'origine française.

Il s'agit d'une première experience au sein d'une maraude qui m'a assez surpris car n'ayant aucun préjugé sur ce qui allait arriver.

On y va avec un peu d'appréhension et finalement on rentre bien surpris et vraiment satisfait de la nuit.

J'ai été surpris lors de la visite d'un logement social qui était considéré comme un "luxe" alors que les chambres ne comprenaient qu'un matelas de fortune et des toilettes.

J'ai été surpris de voir qu'il existait des "habitués"de ce service, capable d'anticiper l'heure à laquelle appeler, et connaissant déjà les infos attendues.

Il ne semblait pas surpris de nous voir arriver, au contraire, il avait l'habitude de voir le samu social, de jour comme de nuit, deux fois par semaine au moins.

Sinon, l'aspect qui m'a le plus surpris, bien que je m'y attendais, était l'apparition rapide des SDF des que nous nous arretions en camion.

Finalement c'est venu naturellement et j'ai été surpris par l'accueil souvent chaleureux des personnes rencontrées.

Ce qui m'a surpris ce que la mission du SAMU social est axée, en plus de l'aide matériel et de logement, sur l'écoute et la discussion avec des personnes qui se sentent en marge.

Agréablement surpris par l'humanité des travailleurs sociaux et des IDE, leur capacité d'écoute et la capacité d'apporter un peu de chaleur et de briser la solitude des gens pendant quelques minutes.

J'ai été très surpris par le nombre de personne qui vivent dans la rue, par le nombre de foyers qui sont majoritairement inconnus de la population active et logée.

Or, il faut dire que je suis agréablement surpris par ce qui me présentait vendredi soir.

C'est ce qui m'as le plus surpris pendant cette garde, les centres auxquels nous sommes allés n'avaient même pas un draps pour les gens et ces derniers ne passaient qu'une nuit (moi qui pensait qu'une procédure d'hébergement plus longue était mis en place pendant les maraudes).

La nuit que j'ai passée était plutôt calme (16ème) L'équipe avec laquelle j'étais était super, très humaine, mais j'ai été surpris de savoir que tout le monde était salarié, et non bénévole (ce n'est pas une critique) Rencontrer des SDF (et pas que) dans la rue m'a permis de voir un autre monde et de me rendre compte de ce monde, et que tout type de personne pouvait s'y retrouver, notamment des travailleurs précaires, des gens qui sont venus à Paris pour trouver un emploi en vain...

J'ai été surpris par le fait que toute l'équipe du SAMU Social soit salariée (et non avec une partie de bénévoles), et par le fait que les places d'hébergement proposées ne le soient que pour une nuit.

Alors laissez-le au VOLONTARIAT Les intervenants étaient surpris que je connaisse déjà tout si bien et que mon contact soit si facile avec les personnes que l'on rencontrait.

J'ai été surpris par la politesse de certain et par la clairvoyance qu'ils avaient sur leur situation.

Et à un niveau auquel je ne m'attendais pas, en fait c'est sans doute ce qui m'a le plus surpris.

J'ai été surpris par la sympathie, la générosité, la solidarité qui existe entre ces gens et également envers le personnel du Samu Social, ainsi que leur facilité de s'exprimer, leur regard sur le monde, sur leur condition, et la philosophie dont font preuve certains.

L'équipe était très remonte contre les hopitaux, ils disaient qu'ils étaient surpris quand ''ca se passait bien'' ...