Orientation vers les différents foyers d'accueil pour la nuit et échanges avec les SDF. Je n'ai pas bien compris l'utilité de la démarche, les échanges étaient limitées par l'imprégnation alcoolique des sujets et peu des SDF souhaitaient aller dans les foyers proposés.
Toute la nuit notre rôle a été de faire le taxi, pas d'échange avec les personnes ce qui est plutôt dommage.
Un très bon échange.
Équipe accueillante et ouverte au question et des échanges très enrichissants au fil de la nuit.
Par contre le fait de rester assise seule derrière dans le camion derrière trois grands "fauteuils" plus haut que vous ne facilite en rien les échanges sociaux ce qui est fort dommage...
J'ai pu observer la différence essentielle entre des gardes à vocation médicale type Smur et celle-ci à vocation sociale où un long temps d'échange est prévu.
Par contre ils sont très exposés à des personnes avec suspicion de tuberculose et le port du masque est encore une autre barrière qui ne facilite pas l'échange entre ces professionnels et les sans-abris...
Nous avons discuter simplement avec ce jeune homme accompagné de son chien: cet échange nous a apporté mutuellement un peu de réconfort et d'humanisme.
C'était une expérience très enrichissante, à la fois à travers les rencontres des sans abris mais également au travers des échanges avec les infirmiers et assistantes sociales.
J'ai été frappé par le bonheur que l'on pouvait apporter a ces SDF juste par l'écoute et l'échange.
Malgré tout on a l'impression que c'est un réel échange, une relation entre deux monde qui évolue au fur et a mesure des années.
L'échange avec eux permet de mieux comprendre leur situation et de se sensibiliser.
Quoiqu'il en soit, j'ai là aussi été très déçue de ce que m'a apporté cette expérience, je m'attendais à plus de contact avec les SDF, plus d'échanges humains, etc. Au final, à mesure que la nuit avance, les personnes que l'on rencontre sont de plus en plus alcoolisés et les échanges perdent alors tout intérêt, c'est une sorte de discours de sourd entre des clochards en état d'ébriété sur la voie publique, et nous - un peu comme pendant les gardes aux urgences, mais en moins bien car il n'y a pas le côté médical (suture de plaie ou suivi médical de l'alcoolisation chronique). Les autres cas rencontrés concernaient des familles de Roms qui mendiaient jusque minuit-1h avant de retourner dans leur caravane bien au chaud, et même s'il est triste de voir des enfants exploités de la sorte, là encore, l'intéret de l'échange est incertain - barrière de la langue, barrière de culture, ils ne comprennent pas pourquoi on veut les aider parce qu'ils ne sont pas vraiment dans le besoin; nous avons aussi vu des sans abris type "punks à chien", et dont le chien avait mordu quelqu'un quelques jours plus tôt ... tenu négligemment par sa propriétaire, trop occupée à fumer son cannabis pour se soucier de la sécurité - dans leur cas, les échanges concernaient des demandes d'hébergement d'urgence; peu d'échanges et de discussion donc centrées sur la personne, sur son histoire, etc.
Ce qui était le plus important n’etait pas forcément de fournir un abri pour la nuit ou un repas, c’etait parfois juste l’échange que ces personnes demandaient.
L'équipe était agréable, les échanges avec les SDF n'étaient pas évidents au début (alcoolisme important chez certaines personnes).
J'ai trouvé beaucoup d'intérêt à faire cette garde : échanges avec l'équipe, double écoute, travail sur le terrain d'écoute et de prise en charge de la détresse sociale...
Cette garde a été pour moi une nuit passionnante, avant tout pour la rencontre de ces hommes et femmes que je croise toute l'année sans avoir jamais pris la peine d’établir un vrai échange.
Une nuit étonnement joyeuse, d’échange, de discussions en diverses langues, de visite de Paris et de connaissance des habitants de ses rues, passée avec l’équipe très accueillante du SAMU social.
L'écoute, l'échange et la compréhension de la situation de la personne est indispensable afin de mieux pouvoir l'aider et permettre peut être une évolution de sa situation.
Plusieurs échanges avec des sans-abri ont été vraiment poignants, même si on ne sait pas toujours quoi dire.
Cette activité d'aide aux personnes en difficultés a été particulièrement enrichissante car : 1) J'ai découvert une nouvelle manière d'aider autrui, qui diffère totalement du cadre hospitalier auquel nous sommes habitué, 2) Cela m'a permis d'avoir un réel échange avec certains des SDF que nous avons accompagné au centre d'hébergement, hors nous avons rarement l'occasion au quotidien de nous intéresser de près à ces personnes qui sont à la marge de la société.
Malheureusement, j'ai trouvé dommage de ne pas pouvoir parler plus longuement aux SDF, les échanges étant très brefs.
C'était donc une soirée placée sous le signe de la rencontre et de l'échange avec des personnes de toutes origines sociales ou géographiques qui éprouvaient surtout le besoin de s'expirmer soit à propos de problèmes récents (décès dans la famille, comment revoir les enfants etc...) soit à a propos de d'anecdotes passées.
Même si nous avons peu été en contact avec eux, le moindre échange avec eux était particulièrement riche que ce soit pour apprendre leur mode de vie ou pour avoir leur avis sur leur condition et le monde qui les entoure.
Le tour de " maraude " a été pour moi l'occasion de poser beaucoup de questions et d'avoir un réel échange avec l'équipe.
Malgré la présence d'une équipe géniale, avec une super ambiance et un côté humain très présent Pour ce qui m'a marqué, un échange avec trois sdf très reconnaissants et sympathiques.
J'ai trouvé les échanges avec les intervenants fort enrichissant tant sur le plan humain que sur les questions techniques.
Cela ne favorise pas les échanges et la discussion est difficile d'autant plus qu'ils sont en hauteurs.
Je me suis sentie inutile et en trop tout au long de la maraude alors que je venais dans un véritable esprit de découverte et d'échange.
La maraude à été l'occasion de rencontrer des sdf, dans un cadre qui facilite l'échange (on fait partie d'une institution et on est en équipe) et où on peut les aider.
Ce sont des êtres humains comme nous qui se retrouvent seul, et on peut leur apporter un soutien rien que par notre attention et notre écoute et en échange ils nous font réfléchir sur nous-mêmes car ce sont la plupart du temps des personnes très humbles.
un contact humain intéressant avec les gens qui travaillent régulièrement la bas,qui m'ont acceuilli très gentillement et ou l'esprit d'équipe est indispensable puis avec les SDF qui montrent un réel désir d'échange meme s'ils n'acceptent pas toujours les soins et les aides qu'ont leur proposent.
C'est complètement différent de ce que l'on fait dans les services de médecine, où il y a beaucoup de technique, de rationnel, de distance vis à vis du patient, lors des maraudes:on échange, de personne à personne sur un pied d'égalité et c'est ce qui fait que c'est plus humain.
Avec qui on peut parler de tout et avec qui on s'amuse, discute, échange, apprend.
La maraude m'a permis d'entrevoir le monde et le quotidien de gens qu'on croise mais avec qui on échange rarement : les SDF.
Les échanges que j'ai pu entendre étaient très axés sur des démarches administratives et d'orientation vers des structures de soin qui sont certes nécessaires mais étaient relativement peu intéressantes et ne me concerneront probablement pas à l'avenir dans la suite de mon parcours.
Au final on a vraiment l'impression d'apporter une aide concrète à ces personnes, que ce soit sur l'échange social de premier abord avec la discussion et le café, que ce soit sur les propositions de prise en charge des problèmes médicaux, que ce soit sur l'accompagnement des démarches administratives ou finalement que ce soit concernant le but final d'une solution d'hébergement pour la nuit.
En effet, la démarche du SAMU social va dans un sens opposé à celui qu'ont la plupart des personnes au quotidien, qui consiste plutôt en l'ignorance voire l'exclusion de ces personnes, alors que ce soir-là, nous sommes justement à leur rencontre, dans un but d'échange.
Sur le plan humain, je suis très admirative du travail des membres du SAMU social mais je trouve que le temps d'échange avec les SDF est trop limité, j'ai eu l'impression qu'ils avaient surtout un rôle de "taxi".
L'échange était interessant.
La maraude est également très enrichissante: les échanges avec les personnes SDF ou avec l'équipe de maraude...
Un échange de parole peut suffire pour rendre le sourire à de nombreux sans domiciles souvent isolés socialement.
Ce qui m'a marqué le plus c'est qu'ils connaissent les sdf qui sont dans la rue depuis longtemps et il y a un réel contact qui me semble être indispensable pour des gens qui sont complètement désocialisés et pour qui cet échange sera peut-être le seul de la journée !
Donc une expérience à conseiller à tous, vraiment, Il faut y aller sans attendre quelque chose de particulier, on reçoit beaucoup dans l'échange et les conversations avec les sans-abris, qui sont souvent disponibles et contents de parler à quelqu'un qui s'intéresse à eux.