J'ai trouvé cette garde au samu social particulièrement riche d'un point de vue humain: d'un côté avec l'équipe de la maraude, avec laquelle j'ai pu discuter de leur travail, de leurs expériences avec certains sdf, de la manière dont ils appréhendaient les rencontres et de l'autre avec les personnes rencontrées dans la rue ou dans le camion pendant les transports.
C'était ma première nuit avec le Samu social, une organisation que l'on décrit comme particulièrement efficace pour prendre soin des gens de la rue.
Le professionalisme dans l'organisation des prises d'appel et dans les conversations téléphoniques des agents prenant les appels ainsi que leur sollicitude pour les appelants m'a particulièrement marqué.
De plus, elle nous permet de rester plus humble par rapport à notre condition, ce qui manque à certains étudiants particulièrement en médecine .
Un homme m'a particulièrement touchée.
Du point de vue de la réalité à laquelle on est confrontée (et qui m'était auparavant très abstraite), elle est dure, parfois désespérante, mais il me paraît maintenant évident qu'un futur médecin tout particulièrement doive en prendre conscience, ne serait-ce pour mieux appréhender la réalité de tant de patients des hôpitaux afin de mieux les accompagner.
Un appel qui m'a particulièrement marqué est un appel d'un monsieur à la rue avec ses 5 enfants dont le plus jeune est à peine âgé de 7 mois.
La double écoute des appels du 115 m'ont particulièrement marqué, car la plupart concernaient des familles entières.
J'étais particulièrement motivée pour effectuer cette garde au SAMU social et à la fois assez inquiète sur son déroulement et surtout sur ma réaction vis à vis des gens que j'allais rencontrés.
Etant une personne particulièrement intéressée par le social, j'attendais avec impatience cette garde au SAMU social.
J'ai particulièrement apprécié une intervention durant laquelle j'ai discuté avec une jeune sans abri, qui devait d'ailleurs avoir à peu près mon âge.
En effet, ce qui a été nouveau et particulièrement instructif, c'est d'avoir approché des gens devant lesquels je passe tous les jours dans une certaine indifférence.
Une situation qui m'a particulièrement marquée a été l'aide apportée à un jeune migrant de 16 ans!
J'ai été particulièrement touchée par la rencontre des familles.
Deux choses m’ont particulièrement marqué cette nuit, la première est que lorsque nous nous sommes déplacés pour récupérer un premier sans abris pour le déposer au CHU de Romain Rolland, ce dernier nous avait dit qu’il avait déjà planifié une date de suicide s’il n’avait pas la chance d’être hébergé.
J'ai été particulièrement touchée par deux familles que j'ai rencontré dans la nuit et à qui nous avons pu trouver un hébergement d'urgence pour la nuit: une mère et sa fille de un an; un père, ses 3 enfants et sa femme enceinte.
L'histoire d'un des sans-abris qu'on a vu cette nuit m'a particulièrement touchée.
J'ai particulièrement été touchée par un jeune étudiant de mon âge, poursuivant des études supérieures mais n'ayant pas de logis et vivant des produits jetés des supermarchés.
J'ai été particulièrement marquée par 3 personnes rencontrées : Une appelante tibétaine qui ne pouvait pas avoir de place cette nuit là, parce qu'elle était jeune, en bonne santé et qu'elle avait déjà dormi à l'abri les nuits précédentes, critères rédhibitoires pour obtenir un lit.
Comment choisir qui mérite de dormir au chaud en ces nuits particulièrement glaciales?
Un signalement m'a particulièrement marquée : il s'agissait d'un SDF aveugle, connu du chauffeur depuis des années, que l'on a trouvé assis par terre et que l'on a ramené dans sa chambre d'hôtel (si l'on peut appeler ça un hôtel vue l'insalubrité des locaux, bien qu'étant situé en plein coeur de Paris).
La nuit était particulièrement chaude, à la fin d'une période de canicule, j'étais dans l'EMA 1.
D'un point de vue strictement médical (on ne se refait pas, surtout en période de partiels) il est particulièrement inquiétant de voir à quel points les sdf peuvent avoir des pathologies potentiellement graves (dans ma garde j'ai vu : erysipèle, problèmes psychiatriques, mal perforant plantaire, état de mal épileptique chez un épileptique connu et alcoolique) et non prises en charge.
Placée dans le pôle urgences-réanimation elle permet le prolongement de notre formation en ce qui concerne les domaines du social et de l'humain, particulièrement importants dans ce pôle.
Parmi tous ces nombreux appels, il y a eu une dame qui a particulièrement marqué notre attention. […] Cet appel nous a particulièrement interpellé et a fait déclenché « un signalement ».
Ça m'a particulièrement frappé quand à 19h15 les trois seules places proposées par le principal centre d'accueil (même s'il y en a eu d'autres plus tard) ont été pourvues en 15 secondes.
J'ai été particulièrement touchée par un homme de 25 ans, arrivé d'Afrique en 2009, qui s'était débrouillé seul jusque-là.
Cet homme était particulièrement touchant car il était très honnête, et malheureusement il nous expliquait qu'il avait des idées suicidaires et ne s'en cachait pas, tout en sachant que ce n'était pas la meilleure des solutions.
On est fiers et heureux de pouvoir les conduire dans ce Centre au sud de Paris car il est particulièrement bien conçu et de grande qualité à tous égards.
Nous avons eu l'occasion de recueillir une femme enceinte aux urgences maternité qui dormait à même le sol, d'accompagner aux urgences une usagère pour un problème somatique ainsi qu'une autre pour une prise en charge psychiatrique ; toutes les personnalités rencontrées cette nuit là m'ont particulièrement marquée par leur histoire, leur courage, leurs spécificités.
Je tiens particulièrement à saluer le courage et l'humilité de ces équipes de nuit qui assurent les maraudes.
Une histoire m'a particulièrement marqué.
Les différentes personnes avec lesquelles j'ai eu l'occasion de dialoguer se sont montrées très disponibles que ça soit pour me montrer le logiciel utilisé par le 115, pour partager une histoire de vie qui les avait particulièrement marqué, ou pour me faire visiter les locaux d'un centre d'hébergement (celui de Romain Rolland à Montrouge).
J’ai été particulièrement choquée par la situation des femmes sans-abris ; elles sont bien moins touchées par la précarité que les hommes, c’est pourquoi les centres d’accueil leur réservent bien moins de places, et celles-ci sont donc rapidement prises, d’autant plus que le nombre de femmes dans la rue est actuellement en augmentation… C’était vraiment très dur de devoir annoncer à de petites mamies de 70 ans qu’elles allaient devoir passer la nuit dehors, par le froid qu’il faisait, car il n’y avait tout simplement plus de places pour elles… En résumé, c’est une expérience que je recommande à tous, elle permet d’ouvrir les yeux sur la misère qui existe dans notre société, réputée pourtant pour sa puissance économique.
Si toute la nuit m'a parue passionnante, je retiens particulièrement la double écoute car j'ai été très surprise de son déroulement.
Cette nuit pour moi a été une première et j'en garde un souvenir touchant, particulièrement lorsque je suis rentrée chez moi dans mon petit nid, et que j'ai repensé à ces personnes croisées ou entendues ce soir, qui elles, n'ont nulle part ou dormir.
En dernier j'ai vu un sans-abri qui venait d'Europe de l'Est (beaucoup de SDF viennent d'ailleurs de ce côté d'Europe) qui était dans un état vraiment désastreux (il était pourtant assez jeune), qui buvait sa vodka au goulot, et qui à côté de ça était également très poli avec nous, il avait une lésion importante et très douloureuse de la fesse gauche (suite à une injection qu'il s'était faite dans la fesse) nous avons donc décidé de le transporter aux urgences de Bichat (où nous n'avons pas été particulièrement bien accueillis d'ailleurs).
Il faut savoir sur moi que je n'ai (presque) pas de relations ni d'expérience avec les milieux précaires, et que en temps normal je ne pense pas particulièrement aux personnes sans-abri, même si, en temps que parisienne, je suis amenée à en croiser tous les jours.
Les parents se disent exténués, la mère particulièrement affectée, perte de raison de vivre.
Il y a particulièrement une réponse qui était touchante car quand il a été dit à cette femme qu’elle ne pourrait pas être hébergée, elle a simplement dit « d’accord, je comprends, merci.
Je remercie donc les équipes du SAMU social pour leur travail chaque jour, et tout particulièrement ceux (Marie et Atef, pour ne pas les nommer!!)
L'équipe était vraiment très bien, mais c'est vrai que c'est particulièrement avec Audrey que j'ai pu longuement discuter !
J'eus la chance d'être dans une Equipe Mobile d'Aide particulièrement conviviale, dont tous les membres s'appréciaient et se parlaient franchement.