Cette experience a permis de casser une barrière de préjugés envers cette partie de la population.
C'est bien de voir l'envers du décor et de voir ce que vivent les exclus de notre société...
C'était très intéressant sur le plan social et relationnel envers les personnes sans domicile fixe, l'abord est specifique.
J'ai été enfin touchée par le retour et la reconnaissance de certains sans abris envers le samu social.
J'ai pu discuter avec des personnes sans-abris, comprendre leur parcours, leurs difficultés alors que dans la vie de tous les jours notre attitude envers elles est plutôt l'indifférence.
Mon regard envers ces travailleurs au samu a changé.
Un grand merci à toute l équipe du 115 pour leur accueil et leur bienveillance, leur humour et leur grande bonté envers les plus pauvres.
De la même manière que ce que l'on a pu nous proposer avec le CFCV ou le Sida info service je trouve ça constructif de nous montrer l'envers du décore.
Que ce soit par l’écoute, les quelques denrées alimentaires proposées ou même le rapatriement dans un centre d’hebergement pour la nuit, on a l’impression de se rendre utile aux usagers ce qui est d’autant plus parlant lors de leur remerciement et élan d’affection envers nous.
Nous sommes ensuite parti sur les signalements, j'ai apprécié l'approche humaine de l'équipe envers les personnes sans domicile fixe et le fait de pouvoir les aider un peu même si j'ai constaté un manque de moyen important.
J'ai été agréablement surprise face aux respects des personnes sans abris envers nous.
Cela m'a permis de voir l'envers du décors pour les sans-abris.
Merci de nous donner la possibilité de découvrir le monde de la solidarité envers les plus précaires.
L'événement le plus marquant pour moi a été de retrouver un habitué, normalement calme selon l'équipe du SAMU social, alcoolisé et violent envers l'équipe qui lui offrait un toit pour la nuit.
Les équipes, que ce soit celle d'écoute et celle des maraudes, ont été très chaleureuses envers moi.
J'ai eu un sentiment mitigé en sortant de cette soirée au samu social : d'une part, j'ai été mise face au manque de moyen concernant les logements d'urgence, notamment pour les lits de femme, et d'autre part je me suis rendu compte à quel point les petits gestes envers les personnes les plus marginalisées sont importantes pour eux, à quel points ses attentions ne sont pas négligeables.
Au départ, j'appréhendais beaucoup la maraude ou plutôt le contact avec "les gens de la rue" mais mon équipe, très sympathique a réussi à me mettre à l'aise et a su me rassurer pour faciliter mon approche envers eux.
Je suis allée plusieurs fois à Montrouge au cours de la nuit, et j'ai été touchée par leur attitude et leur générosité envers le personnel du Samu social et du centre, tous remercient et nous souhaitent bon courage pour la nuit alors que c'est plus à nous de les soutenir.
Leur empathie envers les personnes qu'ils rencontrent, le respect de tout individu, ce côté serviable sans jamais forcer m'ont beaucoup marqué.
ps : Les équipes de maraude étaient froides au début, je ne sais pas ce qui s'est passé avec les précédents observateurs, mais je pense qu'ils ont eu plus de préjugés envers nous que j'ai dû briser, par rapport aux hypothétiques miens envers les personnes en détresse.
J'ai été touché par la bienveillance et l'empathie dont témoignait l'équipe du samu social envers ces personnes totalement démunis.
On y découvre des personnes très impliquées envers les autres, c'est un veritable don de soi que ce soit les ecoutants ou les maraudeurs, on aborde la rue d une autre façon, apprendre à écouter les autres, découvrir que apporter de l attention signifie énormément pour ces personnes C'est une expérience pas facile : il fait très froid, on voit beaucoup de misère mais on se sent heureux d échanger quelques paroles avec ceux qui en ont besoin et surtout de pouvoir leur apporter quelque chose A maintenir ++ De plus toutes les équipes sont très agréables et répondent volontier à toutes nos questions
J'ai été marqué par la bonne ambiance du LHSS avec l'entraide et le respect des résidents entre eux et envers le personnel soignant, la patience du personnel soignant, le peu de femmes hospitalisé (3 sur les 30), la séparation entre les migrants et les SDF "de la rue" qui peuvent parfois avoir des difficultés à cohabiter, p.
J'ai été agreablement surpris de voir la proximité qu'avaient les equipes en maraude envers les personnes en difficulté et de voir a quel point leur travail etait remercié.
De plus, l'approche du samu social sur le terrain envers les personnes sans domicile fixe est remarquable.
J'ai eu la chance de trouver un hébergement à l'ensemble des personnes que nous sommes allés voir, je garde donc de cette nuit là un réel sentiment de fierté envers les intervenants, et je n'ai pas manqué de les remercier pour leur travail.
L'EMA que j'ai eu l'occasion d'observer faisait preuve beaucoup d'empathie envers les démunis qu'elle croisait pendant la maraude et ça m'a touché de voir ces pauvres gens souriants et reconnaissants du simple café ou du simple thé qu'on leur donnait.
Je suis tombé sur quelqun de foncièrement désagréable avec un comportement totalement inapproprié envers un membre de l'équipe.
J'ai été très touchée par la bienveillance des maraudeurs envers toutes ces personnes que la société ignore chaque jour.
Soigner des patients sans domicile fixe m'a fait me sentir utile envers cette catégorie de personnes défavorisées.
L'autre chose qui m'a touché, c'est le regard des gens, envers les sdf.
Je trouve cela très dangereux de les ramener au centre social dans le camion, sachant qu'il n'y a aucune sécurité particulière envers les étudiants et le personnel soignant...
En tant qu'étudiant en médecine, cette garde nous permet de voir une autre facette de l'aide envers autrui, de nous rendre compte de la réalité de la rue etc..
La nuit que j'ai passée était calme, les deux SDF que nous étions censés voir n'étaient pas restés sur place, si bien que je n'ai pas vu grand chose, mais le fait de voir l'envers du décor m'a plu.
Je suis très contente d'avoir eu l'occasion d'assister à une garde au samu social et je suis sur que cela a changé mon attitude envers les personnes à la rue!
Constat de l'indifférence globale de la société envers les SDFs.
Je suis très admirative des travailleurs sociaux, des infirmières et des chauffeurs qui font preuve d'une grande attention et bienveillance envers les sans abris.
Ils n'ont pas un regard supérieur envers les usagers.
J'ai pris beaucoup de plaisir à côtoyer les personnes que nous avons aider qui se sont souvent montrées très reconnaissantes envers nous.
L'équipe a été particulièrement avenante envers eux sans faire de jugement et en restant toujours très professionnelle.
Expérience très enrichissante, et rétrospectivement on peut même dire quasi-indispensable de faire une maraude durant ses études de médecine : pour voir l'envers du rideau, tout ce qui se passe avant l'arrivée des SDF aux urgences, que l'on voit à toutes les gardes aux urgences en stage.
Leur gentillesse, leur accueil et leur disponibilité, tant envers les externes qu’envers les personnes en difficulté m’ont beaucoup touché.