Par contre, la nourriture est vraiment mauvaise (la moins chère possible produite par Sodexo), mais ce n'est pas pire que celle de l'hôpital où parfois seule la couleur permet de distinguer les aliments. […] Les seuls bémols sont la nourriture et peut-être aussi l'absence de données épidémiologiques et sociologiques concernant les SDF (prévalence de troubles psychiatriques, données démographiques, espérance de vie...) dans le livret d'accueil de la garde.
Quelques rencontres touchantes mais souvent assez brèves: on discute un peu, on donne du café, de la nourriture mais il s'agit que d'une aide temporaire.
La communication avec eux, le fait de les emmener dans un endroit chaud où ils pouvaient avoir de la nourriture, voir leur sourire, cela m'a marqué.
En deuxième partie de nuit, nous avons tout de même pu aider des personnes en leur apportant duvet et nourriture, ceci pour ceux qui ne désiraient pas être hébergés pour la nuit, quant aux autres, nous les avons accompagnés dans les différents centres disponibles.
La nuit a été très productive et on a pu apporté de la nourriture a pas mal de personnes.
La distribution de nourriture et de couvertures semble être un compromis pour le court terme mais une aide pour l'hygiène, l'hébergement et l'alimentation devrait être étendue car les centres sont éloignés en périphérie et difficile d'accès si on ne peut pas prendre .
Globalement les gens ont peu demander de nourriture ou de couverture au samu social, mais ils disent qu'ils demanderont quand il fera plus froid.
Lors de la maraude, j'ai été choquée qu'il n'y ait pas davantage de nourriture à distribuer, cependant le but du samu social est plutôt de rapatrier les sdf dans des centres d'accueil afin qu'ils aient un suivi social et médical.
Je me suis rendue compte que leur rôle n'est pas seulement de donner hébergement et nourriture, mais aussi et surtout d'être présents pour écouter et discuter avec des personnes, souvent très isolées.
Les personnes que l'on ramenait au refuge était habillées comme nous, étaient propres et ne donnaient pas l'impression de vivre dans la rue et de manquer de nourriture, de vêtements...
Les maraudes sont bien organisées, et le côté social est vraiment au premier plan, on ne vient pas forcément leur offrir de la nourriture mais parfois seulement un peu de compagnie.
En effet, on prend en compte l’humain qui est en face de nous dans un premier temps avant de répondre à ses besoins de survie (nourriture, logement...) et c’est peut être ce qui manque parfois dans nos hôpitaux.
Nous avons pu nous poser pendant une bonne trentaine de minutes pour discuter avec une personne que les gens du samu social connaissaient déj, puis trouver un logement pour une autre ou même distribuer de la nourriture ou des sac de couchage à d'autres.
Le but de la maraude semble principalement de proposer un hébergement, car lorsqu'une personne le refuse, il y a peu de choses à lui proposer: on arrive vite à court de nourriture et on ne donne pas de couverture sur demande.
Nous n'avions plus de sacs de couchage, plus de nourriture...
L'équipe leur a donné un peu de nourriture et de l'eau et on jouait un peu avec les enfants pour leur faire passer un bon moment.
Ils proposent des aides, des orientation vers telle ou telle structure sociale, où trouver de la nourriture, où trouver des douches, et propose des hébergements d'urgence et des consultations avec des médecins. […] Donc on part en camionnette dans les rues de Paris pour aller proposer de l'aide, de l'eau, un peu de vêtements et de nourritures à ces personnes.
J'ai été surprise de savoir qu'il n'avait pas une fonction de distribution (nourriture, duvet etc) mais d'orientation des SDF vers des lieux pour pouvoir manger, se laver, entamer des démarches pour trouver du travail ou encore avoir des papiers.
Le reste de la nuit a été calme, nous avons offert de la nourriture à quelques sdf que nous avons rencontrés mais il ne s'est rien passé d'exceptionnel.
J'étais déjà aller à la rencontre de SDF lorsque j'étais au lycée pour distribuer de la nourriture avec des amis.
Les côtoyer, dialoguer avec eux, leur venir en aide, est une expérience qui transforme, ce n'est pas la pièce dans le métro ou la nourriture donnée parfois, c'est la création d'un vrai lien, on rie avec eux, on partage leur histoire, ce n'est plus "eux" mais "nous".
Il n’y avait plus de places en centre d’hébergement, et lorsque nous lui avons proposé de la nourriture, une boisson chaude ou un duvet, l’homme a refusé en nous répondant que nous devrions garder cela pour d’autres personnes qui en avaient vraiment besoin.
Leurs missions sont de donner du réconfort aux plus démunis, leur apporter de la nourriture, des vêtements et un logement pour la nuit.
D'une part, il m'a donné un aperçu de l'activité du SAMU social bien plus variée et complète, qu'une simple distribution de nourritures, couvertures ou hébergement d'une nuit aux personnes sans abris.
: -cela permet de mieux comprendre la situation de nombreux sdf que l'on croise régulièrement en stage au SAU, -j'ai eu l'occasion d'assister à des prises en charges variées (transport simple / consult. infirmière + place en foyer médicalisé / maraude / distribution de nourriture et de vêtements ou couvertures), -l'équipe dans les bureaux autant que sur le terrain est habituée à encadrer des observateurs, et très accueillante, une remarque : au lieu de nous faire lire au début de la garde le carnet réalisé pour les externes (le genre qu'on aimerait recevoir au début de chaque stage), pourquoi ne pas le fournir avant par mail ?
Bien qu'apporter nourriture, boissons chaudes, draps et vêtements propres soit d'une grande aide dans l'urgence, cela ne permet malheureusement pas aux sans abris de sortir de la rue à terme.
J'ai eu la possibilité de visiter des centres et ils m'ont sembler très bien, ils servent pour la plupart de la nourriture toute la nuit et les chambres sont assez propres dans l'ensemble.
Cette aide passe par la recherche d'un logement social où passer la nuit, par le don de nourriture, par le don de vêtements, ou tout simplement par la rencontre de ces personnes qui sont le plus souvent isolées de tout lien social.
J'ai été également surprise par le fait qu'on propose beaucoup de vêtements, couvertures, nourritures mais que les gens ne prenaient uniquement ce dont ils avaient réellement besoin et n'en demandaient pas plus.
Ici nous retrouvons des personnes, étrangères ou françaises, jeunes âgées, qui essaient de se débrouiller tous les jours pour trouver de la nourriture et surtout un logement, d'un point de vue hospitalier nous ne voyons que l'aspect malade et en état d'ébriété.
Elle m'a fait comprendre l'importance de la présence du SAMU SOCIAL et de sa mission de tout mettre en oeuvre, dans la mesure des moyens disponibles (souvent insuffisants) pour briser cet isolement et permettre à ces personnes d'accéder à ce qui nous paraît trivial : des vêtements, de la nourriture, un endroit où dormir.
Allongé à même le sol, son visage, ces habits, ces affaires, sa nourriture tout était souillé par la rue.
A l'inverse, les personnes rencontrées lors des maraudes me semblent davantage prises en charge, même si leurs demandes sont parfois plus simples à satisfaire (boisson chaude, nourriture, couvertures et vêtements...)
La première personne que nous sommes allés voir était un SDF du nom de Pascal, connu du 115, qui vivait dans une cabane très élaborée, avec un sapin de noel, de la nourriture etc...
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.
Il est dans une rue isolé de l'avenue principale avec un matelas usée et des couvertures et quelques oreillés, des bouteilles d'alcool et des gamelles de nourriture et son petit plaisir une radio.
Pour ma part j'avais déjà participé à une expérience de ce genre, le projet étant de distribuer de la nourriture, vêtements aux sans-abris à noël.
Étonnée de voir dans les quartiers chics de Paris des personnes donnant spontanément de la nourriture, des vêtements aux personnes dans la rue ou nous signalant une personne en difficulté quelques rues plus loin; pas autant de déni ou d'indifférence que je pouvais imaginer.
Lorsqu'on est arrivés, on a pu leur distribuer de la nourriture et des boissons.
J'ai alors pu découvrir, sur le terrain, la véritable utilité du SAMU social, à apporter de l'aide matériel, de la nourriture mais aussi du soutien moral, de la bienveillance et une écoute auprès des Sans Domiciles Fixes, isolés dans leur précarité.