En somme, une garde agréable qui m'a appris des choses, sans faire naître un grand intérêt pour ce domaine.
Son caractère obligatoire enlève beaucoup aux principaux intérêts de cette garde "humanitaire"qui ne serait être entière qu'une fois sa dimension gracieuse rendue.
Concernant la double écoute, on observe simplement les standardistes traiter les appels et répartir les demandeurs dans les centres sur la base du premier arrivé premier servi, ce qui est d'un intérêt limité.
L'écoute était sans intérêt pour moi.
Pour la garde en elle même, encore une obligation de la fac qui, contrairement à trop souvent, présente un réel intérêt par rapport au temps consacré.
Je pense que c'est une expérience à vivre au moins une fois car elle présente un intérêt personnel mais aussi professionnel surtout dans les filières médicales et paramédicales.
Il est juste dommage comme me disaient les personnes de mon équipe que certains étudiants ne montrent pas de motivation ni d'intérêt pour cette garde.
Intérêt de voir toute la prise en charge possible pour aider les SDF : Écoute téléphonique du 115, les orientations si possible dans des foyers pour la nuit ou sur le long terme, à l'hôtel, à l’hôpital etc...
Au début, j'appréhendais beaucoup le déroulement de cette garde, car un ami m'a raconté qu'il s'était beaucoup ennuyé et qu'il n'avait trouvé aucun intérêt à sa nuit passée au Samu social.
J'ai trouvé que cette garde était d'un grand intérêt, ça nous ouvre quand même les yeux sur la misère dans la rue.
Une discussion de 10 minutes et un café sont parfois les seules choses qu'on peut apporter à une personne sans-abri qui refuse un hébergement pour une nuit et c'est ici que se situe, je pense, le principal intérêt de cette garde.
J'avais certaines appréhensions provenant de l'opinion de plusieurs amis de promo, selon lesquels l'expérience était sans grand intérêt et globalement une perte de temps.
Parfois même a comprendre l'intérêt de certains fonctionnements ou décisions aussi injustes soient ils.
J'ai ainsi mieux compris l'intérêt de ma présence.
J'ai très bien été accueillie sur place et ai effectué la double écoute avec intérêt, au côté d'un "écoutant" sympathique, ouvert et désireux de me faire comprendre le système, qui, m'était jusqu'alors inconnu.
L'expérience m'a appris pour mon futur travail médical, de prendre en compte toutes les difficultés de la prise en charge du patient sdf, à savoir la relation psychologique, bienveillante avant tout, la résolution des problèmes de la rue qu'ils soient énoncés ou non, l'intérêt d'un examen complet comprenant les pieds, bien souvent dans un état infectieux ou diabétique extrême, et la prise en charge des dépendances.
Nous avons rencontrer que très peu de personne lors de la maraude, et l’équipe qui se connaissais depuis longtemps ne portait que très peu d’intérêt à ma présence.
Un bémol tout de même, qui n'a rien à voir avec l'intérêt immédiat que représente la garde, c'est le sentiment d'impuissance et de culpabilité que l'on peut ressentir à l'égard des familles auquelles nous sommes confrontés notamment lorsque des enfants sont concernés.
D'abord à la base du 115 pour la double équipe; c'est un moment de mise en contact avec l'équipe du samu, et surtout, ce compréhension du fonctionnement de cette grand association: c'est le principal intérêt de ce moment, qui de plus, est déjà touchant lors de certains appels.
Le SAMU social a un intérêt certain pour tous ces gens dans la rue, et les équipes sont très respectueuses et surtout pas dans la pitié ce qui m'a agréablement surprise !
Ils font très attention à l'intérêt qu'on porte à ce qu'ils font et ce qu'on pense, aux questions qu'on se pose. 1er appel, un SDF qui avait froid.
Ceci est un peu cru certes mais cela représente quand même bien le questionnement des équipes qui ont conscience de ne pas sauver le monde et qui se posent parfois des questions quant à l'intérêt réel de leurs efforts.
Seulement le responsable (je me rappele plus son nom) était gentil et montrait le moindre intérêt de ma présence.
C'est un peu l'impression que j'ai de l'intérêt de cette garde : nous déstabiliser sans grand retour par la suite sur la formation et l'expérience qu'elle a pu nous apporter.
La double écoute en début de soirée présente un réel intérêt pour saisir l'ampleur des efforts qu'il reste à faire.
Obligee de payer un taxi pour rentrer Donc payer pour faire une garde ou on ne vous attends pas où tout le monde fait grise mine et où on se retrouve à 3 femmes pour parler à des sans abris parfois non connu potentiellement dangereux Je ne m'attendais pas à ça et je suis terriblement déçue J'ai bien compris le manque cuisant de moyen mais je m'attendais à une équipe plus chaleureuse et un échange entre professionnel Med et paramédicaux pour faire évoluer l'image qu'on se fait des urgences et medecins et moi à l'inverse du samu social Je suis septique sur l'intérêt de cette garde et sur notre participation Surtout qu'on vous envoie avec une équipe qui maraude dans un quartier où il y a peu de sans abri plutôt que de vous mettre avec une équipe qui maraude dans les quartiers touristiques bondés de sans abri, du coup on voit pas le fond du travail juste le haut de l'iceberg...
Pour conclure, cette nuit a vraiment été une bonne expérience humaine, pendant laquelle on réalise l’importance de cette prise en charge par le Samu Social et l’intérêt qu'il représente pour toutes ces personnes dans le besoin qui veulent réellement s’en sortir ou qui souhaitent juste avoir un repas et dormir au chaud le temps d’une soirée.
Aucun intérêt sur le plan humain, ne favorise en rien notre aptitude à l'écoute, mais exacerbe plutôt notre indignation vis à vis des personnes qui profitent d'une solidarité sociale dont ils ne se rendent pas compte de la valeur et qui estiment que tout leur est du alors qu'ils ne sont même pas français et ne parlent pas notre langue. […] Au final, à mesure que la nuit avance, les personnes que l'on rencontre sont de plus en plus alcoolisés et les échanges perdent alors tout intérêt, c'est une sorte de discours de sourd entre des clochards en état d'ébriété sur la voie publique, et nous - un peu comme pendant les gardes aux urgences, mais en moins bien car il n'y a pas le côté médical (suture de plaie ou suivi médical de l'alcoolisation chronique).
Conclusion: Nuit très instructive et d'un grand intérêt.
J'ai donc assisté à la réalisation de gestes infirmiers banals, sans grand intérêt.
Pour la partie maraude : dès le début on sent que l'image des étudiants en médecine n'est pas toujours très bonne, je pense que certains de mes co-externes ont laissé un mauvais souvenir à l'équipe, je crois principalement par manque d'intérêt, ou condescendance vis à vis des intervenants.
- si possibilité d'horaires différents : alors rencontre avec des assistantes sociales qui sont seulement présentes la journée, de plus possibilité de faire aussi des maraude en journée +++ - aucun intérêt d'être affecté à un secteur où il n'y a que de la maraude mais pas de signalement
L'intérêt des maraudes est plus incertain, en toute honnêteté.
Cette garde permet de comprendre quelle est sa vision de la vie en générale, ses centres d'intérêt et ses activités quotidiennes, quel est son ressenti par rapport à sa situation et son regard sur les gens qui ne vivent pas dans la rue.
En plus, je pense que comme la plupart des gens, j'avais certains préjugés à propos de ces personnes en situation de grande exclusion et même si je n'ai eu qu'un petit aperçu de ce que l'on peut voir au cours d'une maraude, cette garde m'a finalement montré que ces personnes, malgré leur situation précaire, restent très abordables et respectueuses si on leur montre ne serait-ce q'un tout petit peu d'intérêt.
Sur le plan médical, aucun intérêt pour des étudiants en médecine mais cette garde reste intéressante d'un point de vue humain .
Au départ, j'étais assez sceptique sur l'utilité du 115 et j'avoue que je me suis rendue à cette garde plus sous la contrainte que par intérêt.
Je ne suis pas convaincue de l'intérêt d'assister à cette réunion pour les étudiants.
Cependant je ne pense pas que cet enseignement devrait être obligatoire je pense que c'est anti-pédagogique que de forcer les étudiants en médecine à faire ça, les gens du SAMU SOCIAL sont agacés car ils savent tous que les étudiants viennent car ils y sont obligés, alors que beaucoup seraient venus par intérêt et auraient été mieux reçus.
Si nous ne tenions pas compte du refus, nous imposerions à l'autre ce qu'on pense être des bénévolences, nous violerions la liberté de l'autre à avoir leur propre opinion sur leurs propres intérêts.