A 21h c'est parti pour le début de la maraude (dans le 12 eme pour cette nuit la).
(j ai d'ailleurs pu visité le centre de montrouge) Au début je ne savais pas trop quoi leur dire, mais finalement le contact a pu s'établir et j ai aimé parler avec eux dans un autre contexte qu'aux urgences externe/patient sdf (par exemple, parler de johnny hallyday à l'arriere de la camionnette!)
On a passé pas mal de temps avec un sdf qu'on nous avait signalé en début de soirée, une fille de mon âge sortant tard de son boulot l'avait vu et avait appelé pour la 1re fois le 115.
Entre autre, nous avons pris en charge en début de nuit un réfugié politique géorgien qui avait appelé lors de la double écoute, pour malaise et douleur insupportable.
J'ai ressenti de la peur, au début il a été difficile pour moi d'aller vers l'autre, puis en prenant exemple sur l'équipe que j'accompagnais j'ai réussi à passer au delà de mes appréhensions!
Nous avons rencontré une famille au tout début de notre ronde, une mère s'occupait de deux de ses enfants pendant que son mari et les deux autres faisaient la manche plus loin afin de pouvoir dîner.
Au début on ne sait vraiment pas à quoi s'attendre, puis l'équipe nous intègre très vite et répond à toutes nos questions.
La double écoute du 115 au début de la garde permet de poser le décor avant d aller dans les camions .
ps : Les équipes de maraude étaient froides au début, je ne sais pas ce qui s'est passé avec les précédents observateurs, mais je pense qu'ils ont eu plus de préjugés envers nous que j'ai dû briser, par rapport aux hypothétiques miens envers les personnes en détresse.
La double écoute en début de soirée présente un réel intérêt pour saisir l'ampleur des efforts qu'il reste à faire.
J'ai également été marqué par un homme, diabétique, que nous avons rencontré en début de nuit.
Je me sentais dès le début à l'aise.
Les nombreuses gardes réalisés en réanimation me semblaient déja suffisante, et en rajouter une en ce début de D3 me semblait futile.
L'écoutante avec qui j'étais m'a expliqué que cela pouvait être frustrant au début mais qu'ils n'avaient pas le choix, ayant 300 lits pour 9000 appels par jour.
J'ai appris que des gens étaient là pour veillé sur les eux ( ce que je ne savais pas au début ) qu'il y a des situations auquelles ont peut trouvé des solutions du moins provisoire ( chambre ) mais d'autres non ( Sdf qui voulait seulement de l'argent ou ceux qui voulaient trouvé du travail )
Il y aurait bien Anne aussi, Anne qui toque à la vitre du camion parce qu'on a beau être début mars, il s'est remis à faire froid, d'un coup, et qu'un hébergement d'urgence, non merci, mais qu'un chocolat chaud, ce serait géant.
Début de la vague de grand froid.
Au début, un monsieur se sentait ennuyer et puis petit à petit il s’est mis à discuter du type de radio qu’il écoutait, des centres où il avait déjà été… Nous avons aussi été voir une dame avec des problème de santé, j’ai vu l’accueil dans un centre, la visite avec l’infirmière et le choix d’aller aux urgences suite à une consultation téléphonique avec un médecin en relation avec les équipes mobiles.
Au début, on ne comprend pas bien pourquoi telle personne refuse une place dans tel centre, puis, on comprend qu'il s'agit d'un centre qui entasse les personnes par défaut de moyen, ou que telle personne ne veut pas se séparer de son conjoint.
Puis lors de la maraude, j'étais assez méfiante, je n'osais pas aller vers les SDF au début, car j'avais une certaine appréhension, peur de ne pas savoir quoi leur dire, peur qu'ils soient agressifs, peur de les déranger dans leur chez-soi, puis au fil de la nuit, j'ai vu que c'était des gens, remplis de gentillesse et de courage,qui ne se plaignaient pas, malgré tous les maux qui leur tombaient dessus, ils acceptaient leur sort, simplement.
Comme tout le monde a du le souligner, cette garde est évidemment un début d'expérience humaine qui apporte beaucoup, à nous en tant qu'individus pour nous faire prendre conscience de ce qui arrive à certaines personnes à deux pas de chez nous alors que l'on passe quotidiennement devant elles avec indifférence, mais aussi à nous en tant que futurs médecins pour appréhender la relation de ces personnes extrêmement précaires avec l'hôpital.
Un peu dur dur au début les gens parlent entre eux, je suis timide et je suis derrière du coup je me sens un peu en retrait.
Une fois dans le camion , on est parti avec 2 signalements au début fait par des passants , 2 hommes inconnus.
Les raisons en sont multiples : - deux sont subjectives mais ont un poids conséquent dans le ressenti global, et sont toutes les deux liées à l'attitude de l'IDE qui était la leader du groupe : > dès le début de la maraude, accueil très distant > par la suite au fur et à mesure des évènements, aucune explication, aucune tentative d'établir un contact avec l'étudiant ; à plusieurs reprises je me suis retrouvée seule dans un centre car elle n'avait pris la peine ni de m'attendre ni de m'expliquer ce qu'elle allait faire
La Garde au SAMU SOCIAL de Paris a été l’une des gardes les plus formatrices depuis le début de mes études de médecine : une garde pourtant sans blouse, ni stéthoscope.
Au début de la garde, nous avons été accueilli par une responsable du SAMU social qui nous a expliqué les missions, les actions et les difficultés de l'association.
Avant de venir à ma garde et au début de la double écoute du 115, on m'avait prévenu que les demandes d'hébergement étaient trop nombreuses comparé au nombre de places disponibles ; que certains SDF appelaient tous les jours mais qu'on ne leur accordait une place qu'au-delà d'un certain nombre de nuits passées dehors, pour que "ça tourne" et que ça ne soit pas toujours les mêmes qui dorment en hébergement.
très gentils avec les personnes rencontrées, ils m'ont vraiment traitée comme un des leurs alors qu'au début on peut se sentir un peu "en trop", ils m'ont fait visiter les différents centres ou l'on amenaient les personnes.
Mon équipe m'a vraiment mis à l'aise dès le début, et m'appris beaucoup de choses en étant aussi à mon écoute et en répondant avec plaisir à mes questions.
Il est 2:45, il pleut depuis le début de la soirée, et la, sur une bouche d'aération de métro, nous voyons un homme sans couverture, sans protection, sans abri de fortune allonge et trempe jusqu'aux os.
Au début, il nous faisait pas confiance, mais suite aux présentations et la persistance de l’équipe pour le convaincre qu'on était pas membres de la police, lui a permis de s'ouvrir à nous.
Début de suivit médical engagée par l’hôpital Cochin pour les troubles du comportement alimentaire du second enfant par suppléments hyperprotéinés et le sd dépressif des deux parents par anxiolytiques.
Début de maraude vers 21h dans nos arrondissements attribués.
Si j'ai un regret quant à cette garde effectuée, c'est qu'elle a été faite deux jours avant le début de mes partiels, j'étais donc stressée par les examens qui approchaient et moins dans l'action de la garde même.
Un grand bémol sur l'ambiance au début, nous, étudiants en médecine on apprend pleins de choses grâces aux infirmiers, et c'est dommage qu'ils aient cette image très négative de nous, très injustifiée.
Il est un peu gêne au début puis commence à nous parler de notre thème astral.
Au début j'appréhendais un peu cette garde au "samu social".
Début de ma "double écoute".
Si seulement ces actions pouvaient se multiplier, s'ils pouvaient être plus entendus, vus, diffusés pour se faire connaître pour un début, pour enclencher des actions solidaires, des présences bienveillantes..
Au début nous pensions qu'elle s'inquiétait et avait peur de le voir revenir, mais en réalité, elle voulait le retrouver au plus vite.