/ 47
2. (2012) Ticket_2002

J'ai été particulièrement frappée par le peu de place disponible dans les centres d'accueil, notamment pour les couples ne souhaitant pas être séparés.

3. (2018) Ticket_476

On voit aussi la misère des femmes et des enfants dans la rue qui grace à la nouvelle politique 0femme 0famille dehors presque toute les familles et les couples sont au chaud pour la nuit.

4. (2017) Ticket_498

L'une des rencontres que j'ai fait cette nuit est celle d'un couple.

5. (2017) Ticket_696

Les personnes démunies se retrouvent donc parfois déçues par rapport à leurs attentes, notamment les familles pour lesquelles il y a très peu d'hébergement: par exemple un jeune couple avec un bébé d'1 an que nous avons rencontré dans la nuit, qui se voit proposer un café à la place d'un hébergement, la mère en pleurs devant nous.

6. (2015) Ticket_1153

Des personnes seules aux familles, en passant par les couples, tous avaient en effet des histoires et des parcours très différents.

7. (2018) Ticket_283

Pendant la maraude nous avons croisé un couple dont la femme était enceinte et une femme avec un bébé, heureusement ces deux familles ont pu être hébergées dans un hôtel cette nuit. […] Pour d'autres femmes on constate que les pères les abandonnent quand elles tombent enceinte car le couple est trop précaire pour assumer un enfant, mais les femmes n'ont pas le choix et se retrouvent dans une précarité encore pire.

8. (2019) Ticket_85

La double-écoute s'est très bien déroulée et permet de comprendre le fonctionnement des centres d'hébergements, du public prioritaire sur l'hébergement, des différentes catégories de personnes sans-abris (familles avec enfants, personnes isolées, couples).

9. (2012) Ticket_1985

La double écoute nous sensibilise aux problématiques quotidiennes des gens dans le besoin, et par exemple les couples qui vivent dans la rue sont souvent séparés par manque de place dans les différents foyers... […] Ce foyer ci avait une particularité il y avait deux bâtiments et une salle commune qui communiquait ce qui permettait au couple de se retrouver.

10. (2019) Ticket_69

Nous avons vu plusieurs cas différents, variant d'une femme seule refusant une partie de l'aide proposée (car elle trouvait que le SAMU SOCIAL ne fournit pas assez de stabilité sur le long terme) à un couple expulsé de leur hébergement que nous avons pu déposer dans un centre pour la nuit.

11. (2017) Ticket_725

Enfin, j'ai été très touchée par les enfants dans la rues, d'abord une famille avec 2 enfants d'environ 5 ans qui gardaient le sourire et continuaient de chanter malgré la fatigue et le froid puis un couple avec un bébé de 11 jours, pour ces trois derniers cas j'ai trouvé la prise en charge du SAMU social à la fois extraordinaire et indispensable​.

12. (2016) Ticket_1084

Le premier signalement que nous avons eu était celui d'un jeune couple de 18 ans, à la rue depuis plus de 3 mois...

13. (2012) Ticket_2013

Une "anecdote" de ma nuit: la surprise que j'ai eu lorsque vers 2h du matin on s'est approché d'un amas de sac de couchage sous un porche, doucement, pour ne pas réveiller la personne, afin de lui venir en aide si besoin, et qu'il s'agissait d'un couple, de jeunes, de mon âge...

14. (2013) Ticket_1650

Un moment particulier m'a marquée, il est survenu près de la Gare d'Austerlitz, lorsque le camion s'est arrêté pour un couple.

15. (2012) Ticket_1894

J'ai été particulièrement marquée par un couple d'albanais de 22 et 23 ans, tout juste arrivés à Paris via des passeurs et ne parlant pas un mot de français.

16. (2019) Ticket_64

Cette garde a commencé par la double écoute qui m'a fait prendre conscience de la quantité de personnes en demande d'hébergement pour la nuit et de l'âge parfois élevé de plusieurs couples à la rue, avec des problèmes de santé.

17. (2017) Ticket_685

J'ai eu la chance d'avoir lors de la garde des cas très différents de sans abris avec des personnes seules, des migrants, un couple et une famille.

18. (2017) Ticket_693

Je me souviendrais de cette femme de 60 ans de bonne classe sociale, finissant dans la rue après une dépression terrible; cette famille égyptienne exilés politiques avec deux petits garçons, ce couple Roumain qui travaillent au black la journée; etc..

19. (2017) Ticket_705

Cependant, je m'en suis réellement rendu compte lorsque, à minuit et alors que nous recueillions un couple avec 2 enfants en bas âge, le travailleur social leur demanda s'ils avaient pu manger aujourd'hui.

20. (2018) Ticket_330

Cela me fait notamment penser à un couple qui avait une place pour homme mais rien pour la compagne et qui ne pouvait se séparer...

21. (2018) Ticket_477

J'ai constaté les moyens et l'utilité du samu social mais également ses limites avec un cas qui m'a particulièrement marqué: nous avons eu vers 3h un signalement concernant un couple, une femme handicapée en fauteuil roulant dépendante, ne pouvant faire ses transferts ou sa toilette seule et son compagnon très autoritaire à la limite de la violence.

22. (2012) Ticket_1955

Je pense que tout le monde se fait un idée des personnes pouvant demander de l'aide mais on se rend vite compte que les profils sont loin d’être ceux que l'on pense ( famille , couples , demandeurs d'asile , personnes handicapées , jeunes ) Certains appels sont frappants car ils nous montrent une réalité encore ignorée, la détresse , le désespoir , la solitude.

23. (2019) Ticket_150

Ce qui m'a alerté dès la double écoute et plus tard pendant la maraude est le manque d'endroits où passer la nuit pour la plupart des sans abris comparé au nombre de personnes le nécessitant, et malgré tout que beaucoup de sans abris refusent de passer la nuit dans certains établissements compte tenu du refus de se séparer lorsqu'il s'agit d'un couple ou d'une famille, de la distance et de la peur du vol des peu de possessions de ces personnes, et enfin la précarité sociale et matérielle parfois mal supportée de certains de ces établissements.

24. (2018) Ticket_475

J'ai été intéressé par la double-écoute qui m'a permis de comprendre les situations qui conduisent les personnes à demander un abris le temps d'une nuit, les difficultés que représente ces possibilités pour les couples et familles qui sont toujours séparés par l'absence de mixité de certains centres d'accueil.

25. (2016) Ticket_951

On a eu un signalement de deux couples, l'un avec un nourrisson de 1 mois et l'autre un enfant de 2 ans.

26. (2015) Ticket_1114

La double-écoute a été plus "choquante" pour moi, en particulier un appel : il s'agissait d'un couple dont la femme était enceinte de 2 mois ; après avoir récupéré les informations liées à leur santé etc, l'écoutante les a informé que malheureusement il n'y avait pas de place dans un centre d'hébergement pour eux cette nuit là, et que donc ils devraient repasser une nuit dans la rue. Le choc m'a saisi quand elle m'a ensuite expliqué que les couples étaient toujours moins prioritaires que les personnes isolées car le 115 part du principe que l'homme protégera la femme en cas d'agression dehors dans la nuit.

27. (2016) Ticket_904

Bien sûr, j'ai été scandalisée par ces soit-disantes solutions : 5 places par jour pour les femmes, 2 places pour les couples, 8 places pour les hommes en moyenne... […] On fait appeler des personnes sans ressource (donc souvent sans téléphone bien sûr) plusieurs fois par jour (autrement dit elles y passent leur journée), tout ça pour ne les accepter qu'1 fois tous les 3 jours quand on est un homme, voire une fois tous les quinze jours quand on est un couple !

28. (2019) Ticket_158

C'était un jeune couple sénégalais qui vivait à la rue depuis plus de 6 mois: depuis leur immigration en France.

29. (2018) Ticket_492

J'ai trouvé la double écoute intéressante, notamment la manière de traiter les dossiers d'hébergement pour une nuit du "pôle famille", concernant les couples.

30. (2016) Ticket_1051

J'ai été touché par la rencontre d'un couple sans domicile fixe depuis quelques années, toujours fidèle l'un à l'autre surmontant ensemble les soucis de leur vie.

31. (2014) Ticket_1391

D'abord celui d'une femme qui faisait part des difficultés d'un couple de roms qui vivait en bas de son immeuble, puis des appels de sans abris eux-mêmes qui étaient en grand détresse, parfois malades, et demandaient pour la énième fois une place en hébergement.

32. (2014) Ticket_1470

Au cours de la nuit nous avons pu rencontrer plusieurs personnes, plus ou moins sympathiques, dont notamment un couple de jeunes.

33. (2012) Ticket_2025

On a eu des appels de personnes seules, de familles (nombreuses) et de couples.

34. (2019) Ticket_270

Le couple a donc du se separer pour la nuit - Un jeune homme que l’on a récupéré a l’hopital Tenon et qui nous a expliqué que la veille il avait perdu de vue sa femme et leur bebe dans le metro et qu’il ne les retrouvait pas depuis.

35. (2016) Ticket_1033

Notre secteur sera le 18ème : on y trouvera une famille roumaine avec déjà une place en hôtel social dans le 78 pour la nuit, un couple soudanais que l'on conduira au centre Romain-Rolland.

36. (2019) Ticket_117

Nous avons discuté avec des sans abris des rues de Paris, redirigé un monsieur dans un parcours de soin, tenté de convaincre un couple qui avaient une place en centre d'accueil d'urgence, amené dans ce même centre 4 messieurs.  

37. (2020) Ticket_2

J’ai pu entendre plusieurs demandes de famille très différentes, de la mère seule avec plusieurs enfants qui venait d’arriver, au couple avec un enfant en bas âge, jusqu’à la mère encore la maternité, avec son bébé de 15j paniquée à l’idée de devoir retourner dans la rue.

38. (2016) Ticket_909

Commencer la garde par une double écoute m'a permis d'appréhender différentes situations (des familles, des couples, des personnes seules, immigrées ou non...) et de comprendre que la mission du Samu social avait ses limites notamment en nombre de places d'hébergement.

39. (2013) Ticket_1828

Pendant le trajet, au plein milieu de la discussion, le Mr prononce une citation commune mais prenant un réel écho venant de cet homme balafré par la vie : « Je pense donc je Suis »… A cet instant, je repense aux différentes personnes rencontrées cette nuit, au Mr jouant des airs de reggae à l’harmonica, au Mr avec son chapeau décoré, à Moustique, à ce couple se trouvant à la rue le temps d’une nuit, à ce Mr dénudé par la vétusté de ses vêtements et dont la peau était devenue noire par la saleté, aux discussions même partielles entamées le temps d’un café chaud… Sillonné Paris, ville remplie de lumière, à la recherche des coins obscures pour y apporter même un instant une étincelle aux personnes le désirant.

40. (2017) Ticket_770

Parmi les personnes pour lesquels nous nous sommes arrêtés cette nuit : un couple qui n'a pas voulu se rendre au centre Romain Rolland (Porte d'Orléans) car ne voulait pas être séparé (dortoir homme /dortoir femme), Mr D, probablement schizophrène en rupture de traitement que nous avons emmené à Saint Anne, Mr K diabétique à plus de 6g/ dL de glycémie que nous avons transporté aux urgences de Bichat, Mr S en fauteuil roulant et son ami que nous avons conduit au centre Romain Rolland.

/ 47