L'accueil dans l'équipe est chaleureuse et il n'est pas compliqué de trouver sa place.
De plus il est très compliqué de communiquer avec les SDF souvent très alcoolisés et parfois violents.
J'ai trouvé le contact avec les usagers un peu compliqué, certainement du fait de mon inexpérience.
Ce fut cependant compliqué d'un point de vue émotionnel. […] La détresse de certaines personnes peut donc être compliquée à gérer.
Les missions sont souvent compliquées car les places d'hébergement manque surtout passée la trêve hivernale.
Ils prenaient le temps pour chacun et ne lâchaient pas l'affaire même quand la situation était compliquée.
Les travailleurs sociaux devraient mieux nous expliquer leur travaille même si cela est très compliqué, et que ce n'est pas vraiment de notre ressort.
Il est assez compliqué d’écouter tous les problèmes d’une personne et de lui refuser un logement par exemple faute de place.
Pour la maraudes, j'ai un peu eu l'impression de servir de taxi pour première partie de nuit puis j'ai vraiment compris l'importance de ces sorties quand nous avons aidé une dame très farouche avec un passé de toute évidence compliqué.
Nous avons vu des situations de terribles isolements où l'intervention était compliquée mais tellement utile que c'en était très gratifiant.
Nous avons vu des situations de terribles isolements où l'intervention était compliquée mais tellement utile que c'en était très gratifiant.
Les démarches administratives qu ils doivent faire pour obtenir certaines aides ont l'air particulièrement longues et compliquées....
Beaucoup de cas compliqués, pour savoir à qui on donne une chambre pour la nuit, à qui on donne les quelques ressources limitées (thé, café...) que l'on disposait pour la nuit entière.
Le début de la maraude était un peu compliqué, une des personnes était mécontente de se retrouver encore avec un étudiant dans le pattes et nous l’a fait savoir ouvertement lors du débriefing, donc pas facile de trouver sa place dans ces conditions.
Cela m'a permis de me rendre compte que les gens à la rue sont assez vulnérables, sur le plan de la sécurité physique mais aussi sur le plan de la santé puisque le suivi médical, obtenir des médicaments ou même consulter à l'hôpital est compliqué dans la rue, soit pour une question de couverture sociale, soit par une méfiance du monde médical.
J'ai pu voir à quel point donner une réponse était compliqué car vu le nombre extrêmement limité de places en centre on est souvent contraint à refuser ceux qui en auraient le "moins" besoin, quand bien même ils sont nécessiteux.
Il n'est pas trop compliqué de trouver sa place au sein de l'équipe, qui est tout à fait disponible à répondre aux interrogations de l'étudiant.
Le fait qu’ils doivent appeler tous les jours pour maintenir leur « dossier à jour » m’a paru compliqué pour eux et doit leur imposer une importante pression.
Pendant la double écoute, c'est l'histoire compliqué d'un homme demandeur d'asile qui m'a marqué avec la lourdeur et la complexité des démarches administratives.
Malheureusement, trouver 7 places en hebergement est très compliqué.
Cette garde m'a permi de découvrir que ces personnes ont tous leur histoire, souvent la volonté de sortir de la rue mais les démarches sociales sont longues et peuvent être compliquées pour des étrangers par exemple.
D'un point vue humain j'ai aimé la garde, partager tout simplement une discussion autour d'un café, écouter des parcours de vie compliqués.
Cette femme nous a ensuite raconté sa situation qui était très compliquée à gérer, notamment sur le plan médical.
J'ai pu affronter des situations assez compliquées, qui sortent du cadre médical et qu'on ne rencontrera pas forcément à l’hôpital.
Elle nous a raconté que son chien lui avait été offert par ses filles et que malgré tout l'amour qu'elle avait pour lui, c'était plus compliqué pour elle de se déplacer, d'aller voir le médecin ou même de trouver un établissement pour une nuit qui accepte les animaux.
Au final je me rends compte que malgré toute la bonne volonté des équipes et les moyens mis en oeuvre beaucoup de situations sembles très compliquées à dénouer; le chemin vers la réinsertion socio-professionnel est bien loin.
Malheureusement je n'ai pas toujours trouvé ces échanges très clairs, et les démarches administratives rendent la tâche très complexe : au cours de mon écoute, plusieurs femmes enceintes ont appelé, il leur était alors expliqué qu'elles devaient aller récupérer un certificat attestant leur grossesse puis le faxer au 115, la barrière de la langue et les difficultés de compréhension rendaient parfois ces échanges compliqués.
Ils étaient tous très reconnaissant du travail du Samu Social, et cette aide a donné à tous l'envie et l'espoir de se sortir de cette situation, parfois très compliquée.
C'est déjà bien compliqué d'apprendre le métier de médecin, si en plus on doit faire des gardes pour voir le quotidien des travailleurs sociaux, ça n'a pas de fin....
Le plus étrange dans ce cas, c'est que son âge qu'il disait de 17 ans et quelques mois lui empêchait d'obtenir l'aide du 115, son illettrisme l'empêchait de se déplacer dans la ville selon de directives précises pour atteindre un centre d'accueil, la situation était très compliqué.
Tout au long de la nuit, j'ai pu mesurer l'investissement et le dévouement des travailleurs du SAMU social qui font preuve d'une patience sans limite pour tenter d'aider des familles et des personnes en grandes difficultés dont les situations sont souvent compliquées à comprendre (du fait souvent de la barrière de la langue) et difficiles à prendre en charge.
Il m'a semblé qu'il existe un certains nombres de lieux où ces personnes peuvent avoir accès à des travailleurs sociaux, et recevoir à manger et un peu de repos, mais que le dimensionnement de ceux-ci sont bien en dessous des besoins, et surtout que le passage des infos et la réalisation concrète des démarches étaient très compliqués.
Quelque chose qui m'a étonnée, est le fait que des hommes refusent une chambre pour dormir, car celle-ci est trop loin de "chez eux", et que ça sera compliqué pour eux de rentrer.
Il y avait pas mal de personnes appelant pour avoir une place pour dormir mais il y avait aussi beaucoup de cas compliqués difficiles à gérer.
La première partie de celle-ci (double écoute) m'a permis de voir combien la gestion des appels était compliqué en me montrant que chaque situation était différente (entre les personnes déjà connues du Samu sociale, les personnes appelant pour la première fois, les familles, les personnes seules...).
Cette nuit au SAMU social de Paris est une expérience intéressante, on rencontre des gens d'une gentillesse et d'une patience rare, confronté à des personnes dans des situations plus que compliquées et souvent atteint des pathologies psy.
Ce qui m'a le plus étonné pendant cette maraude est que les gens, même dans une situation très compliquée (dans la rue et le froid, sans habits réellement adaptés) ne cherche pas forcément d'aide et ne souhaite pas forcément parler au personnel du samu social.
Nous avons eu des cas assez compliqués (psychiatriques) qui m'ont un peu choquée mais j'ai pu en parler à l'équipe qui était très à l'écoute et m'ont rassurée.
Ce qui fait que le retour chez soi en rer/metro a 5h passé du matin après une journée de stage également est physiqumenet compliqué.