Ma soirée a commencé par une discussion très intéressante d'environ 1 heure avec la coordinatrice du 115 concernant les missions du 115, les problèmes auxquels ils font face, les différents locaux à leur disposition, etc.
C’est dans un esprit convivial que l’on a ensuite commencé la maraude : en se rendant sur le lieu d’un signalement pour recueillir une personne précise, nous en avons finalement accueillies quatre par la même occasion.
Puis le coordinateur s'interessa à moi et je pus discuter avec lui, ce fut très interessant d'avoir son point de vue et je commençais a comprendre un peu comment cela marchait.
Commencer la garde par une double écoute m'a permis d'appréhender différentes situations (des familles, des couples, des personnes seules, immigrées ou non...) et de comprendre que la mission du Samu social avait ses limites notamment en nombre de places d'hébergement.
Cette garde au SAMU SOCIAL a commencé par une double-écoute de 18h à 20h, avec des appels de personnes sans domicile cherchant un toit pour la nuit.
Ne pas se laisser aller à ce même cercle ça commence par prendre soin de soi, se respecter, prendre une douche régulièrement, laver ses affaires, bouger, lire, garder contact avec le monde.
Puis un sans-abri est venu nous voir (un habitué, déjà bien connu), il nous a tous serré la main et a commencé à discuter, un bras au-dessus de mon épaule et l'autre sur celle de l'infirmière du camion !!
En arrivant je ne savais pas exactement à quoi m’attendre et j’ai trouvé intéressant de commencer par la double écoute au 115.
Tout commence par l'arrivée dans le centre d'appel à 18h, dans un grand bureau où l'on peut deviner la frénésie des appels pendant la journée; 31 lignes téléphoniques rien que dans ce centre, c'est énorme comparé aux centres d'écoute de SOS amitié ou le CFCV... […] La répartition dans les camions est faite, les lieux des maraudes aussi; nous irons donc dans le Nord vers Barbès pour commencer !
Pour commencer, l'accueil à 18h était très chaleureux par l'équipe réduite du Samedi.
En revanche, c'est vraiment très frustrant de n'avoir que ce rôle d'observateur et de ne pas avoir assez de recul sur les solutions proposées par le SAMU social (Au contraire, j'ai rencontré une étudiante à Science Po, qui avait eu plusieurs cours/interventions de la part du SAMU social, et je pense qu'il serait plus formateur d'avoir une intervention des équipes du SAMU avant de commencer les gardes).
La garde a commencé par les appels téléphoniques au 115.
Cependant, ils insistent tous sur le fait qu'il s'agit de proposer des logements d'urgence, voire de commencer les démarches sociales qui pourraient par la suite favoriser la prise en charge des usagers.
En effet, ma garde a commencé avec deux longues heures passé derrière une chaise en double écoute ou on m'a fait comprendre par un 'qui veut prendre l'étudiante?
Une conversation plus posée et tranquille put commencer avec la femme. Elle se posa sur le matelas, et tout en nous parlant, elle commença à manger toutes sortes de produits dont le mélange ne nous parut pas très sain : des filets de poulet crus trempés dans de la moutarde, des olives dans un bocal à la propreté plus que douteuse, des chips, bonbons, et pop-corn, le tout mélangé ensemble à même le trottoir et ses affaires plus que sales.
La garde a commencé par une double écoute au 115 qui m'a perturbé sur plusieurs points : - le nombre aussi faible de places d'hébergement libres en centre - le refus d'hébergement avec écoutante expliquant qu'on ne peut pas proposer un hébergement plusieurs nuits d'affilée ou du moins, que ces personnes ne sont pas du tout prioritaires - le nombre de places d'hébergement plus faible attribué aux femmes.
Autant vous dire qu'on savait pourquoi notre chauffeur commençait à avoir mal au crâne.
Le tableau de la vie parisienne la nuit était assez particulier vu du camion,entre les fêtards totalement ivres qui déambulent dans les rues,les bobo qui sirotent un dernier verre en terrasse et les sdf qui essayent de commencer leur nuit,on peut voir que les plus à blâmer ne sont pas ceux qu'on peut penser au premier abord.
En tant que première expérience sur le terrain: la première personne qu'on a rencontrée a jetée la soupe qu'on lui a préparée et est partie sans dire au revoir, autant dire que ça commençait bien.
Il commence à nous parler de ses lectures et du fait que c'est essentiel quand on est dans la rue de lire pour tenir.
Bref ça commence à être un peu long.
L'équipe comprenant un chauffeur, une infirmière et une assistante sociale était magnifique, il existait une belle ambiance dans le camion et commença donc l'aventure ...
Ma garde au SAMU SOCIAL a commencée par une mise en double écoute, entre les intervenants du 115 et les personnes appelant.
Cette garde fut un moment pour se rendre compte que les médecins, nous plus tard, auront un rôle à jouer auprès des personnes de la société en difficulté ; et cela commence dès maintenant par un regard différent aux urgences quand, sur l’observation de l’IAO, on voit « Mr X, SDF, consulte pour… »
En effet sa prothèse lui cisaillait totalement la peau de la cuisse, qui était à vif sur une longueur de 10cm, et commençait à se nécroser autours.
Pour commencer j'ai été surprise de constater que l'équipe était très hétéroclite, constituée sur le terrain de personnes jeunes mais surtout engagées à 100% dans leur mission et non des bénévoles comme je l'imaginais.
Ainsi, on a commencé la fameuse maraude.
Quand je suis arrivée au siège du SAMU SOCIAL, j'ai commencé par effectuer une double-écoute pour avoir une idée du profil des personnes qui cherchent un logement pour la nuit, dans quelles conditions elles vivent et quelles solutions nous avons à leur proposer.
Beaucoup de gens le saluaient en passant (il est connu du quartier) et il était très souriant et jovial (pourtant je pense malheureusement que son état de santé commence à décliner...).
insistait-elle, du haut de ses 56 ans) a commencé à chanter France Gall pour divertir tout le monde.
Ma garde a commencé par la double-écoute à la régulation du 115 pendant 2h, où j'étais avec une écoutante très expérimentée, Marie, qui m'a expliquée comment fonctionnait le samu social.
Cependant au fil du temps, sa soeur a commencé à la battre aussi.
On commence par les signalements, 3/4 sont présents aux lieux indiqués, stupéfaite par la diversité des rencontres, toutes touchantes à leur manière et qui bouleversent les a priori sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on imagine, des jeunes, des immigrés, des français pure souche, des gens qui vivent volontairement à la rue, des handicapés...
Les enfants vêtus de leurs habits et manteaux étaient vaguement enveloppés dans une grande couette, et commençaient tout juste à rejoindre le pays des rêves...
J’ai commencé ma garde par faire de la double écoute de 18h à 21h30.
Il est un peu gêne au début puis commence à nous parler de notre thème astral.
Quand l'équipe est arrivée, ils étaient collés serrés les uns contre les autres pour se garder au chaud, à l'entrée d'un immeuble, pour se protéger de la fine pluie qui commençait à tomber; tandis que la grand-mère restait plus à l'extérieur.
Puis commencent les signalements et le rabattage.
Il y aurait tant à dire que je ne sais par où commencer.